Étiquette : Lalla Salma

  • L’article sur la princesse Lalla Salma du Maroc continue à la tête des publications francophones en Belgique

    La princesse Lalla Salma du Maroc refuse de descendre du haut des listes des articles les plus lus dans la presse francophone belge.

    On ne sait plus si elle est toujours mariée au roi Mohammed VI puisque le palais royal continue de garder le silence sur l’affaire.

    Par contre, ce qu’on connaît et dont tout le monde parle est son élégance, sa grâce, son style et sa finesse avec lesquels elle s toujours su éblouir ceux qui l’entourent avec ses looks flamboyants et magnifiques.

    Qu’elle soit habillée en tenue traditionnelle ou moderne, la « princesse fantôme », comme on l’appelle à cause de sa soudaine disparition et ses apparitions jamais confirmées, a toujours été une icône de mode au point d’être un modèle pour une grande partie de femmes.

    Grâce à ses nombreuses qualités, Lalla Salma a honoré le caftan marocain là où elle l’a porté. Porté par l’ex-épouse du roi du Maroc, le caftan est une valeur sûre lorsqu’il a la chance d’avoir un modèle si charmant.

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, disparition, princesse fantôme, princesse, caftan, élégance, grâce,

  • Belgique : l’article sur Lalla Salma fait des ravages

    Qui a dit la princesse Lalla Salma n’était pas populaire au Maroc? Les statistiques de l’article de la DH ont prouvé le contraire. Les nouvelles de la princesse fantôme sont très convoitées par les internautes marocains et étrangers.

    En effet, le premier jour de la publication de l’article  » Où est passée l’épouse du roi du Maroc? Les marocains s’inquiètent » au sujet de la disparition de la princesse Lalla Salma, est resté en tête de tous les articles de la Dernière Heure!.

    Le deuxième jour, il faisait déjà une tâche d’huile. Il était en tête de tous les articles de la presse francophone belge.

    Pour la communauté marocaine en Belgique, l’ancienne première dame du Maroc risque de connaître le même sort que Lady Diana !

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, Lady Di,

  • Maroc : étalage de luxe royal en mer pendant que les Marocains émigrent en masse

    La diffusion de chiffres, en général tenus secrets, sur l’augmentation de l’émigration clandestine marocaine vers l’Espagne rappelle une douloureuse réalité qui contraste avec les vacances de la famille royale en Méditerranée, entre yacht et voilier

    Ignacio Cembrero

    Ils étaient à peu près une centaine de convives, le dimanche 14 juillet, à bord du Badis 1, le nouveau bateau du roi Mohammed VI, qui avait jeté l’ancre face à la résidence royale de M’diq, sur la côte nord du Maroc, pas loin de Tétouan.

    Le souverain âgé de 55 ans avait invité le gratin de Casablanca et de Rabat à venir assister, pieds nus pour que leurs semelles noires ne salissent pas le pont, à l’inauguration de ce voilier de 70 mètres de longueur, parmi les dix plus grands du monde.

    En fait, ces hôtes de marque ont dû se rendre deux fois à M’diq. D’abord le samedi, le jour fixé pour l’invitation. Une fois sur place, on leur a indiqué, sans autre explication, qu’elle était repoussée de 24 heures. Ils sont donc revenus, vêtus de leurs plus beaux costumes, le lendemain.

    Cette fois, le roi était bien là pour les accueillir, accompagné de ses trois fidèles amis depuis quatorze mois, les frères Azaitar, trois boxeurs allemands d’origine marocaine avec qui il passe le plus clair de son temps.

    Mohammed VI possédait déjà une vielle goélette retapée, El Boughaz 1, longue de 62 mètres, mais pour le vingtième anniversaire de sa montée sur le trône, il s’est offert un autre voilier encore plus long et bien plus moderne.

    Combien l’a-t-il payé ? L’hebdomadaire Tel Quel de Casablanca signale que son ancien propriétaire, le milliardaire américain Bill Duker, l’avait mis en vente pour 88 millions d’euros. On ne saura cependant pas son prix de vente car le palais royal ne communique pas sur ce sujet.

    Un yacht qui se loue jusqu’à 600 000 euros la semaine

    Pendant que Mohammed VI recevait ses invités à bord, son fils, le prince héritier, Moulay Hassan (16 ans), sa fille, Lalla Khadija (12 ans), et son ex-femme, Lalla Salma (41 ans), étaient eux aussi en vacances à l’autre bout de la Méditerranée, en mer Égée, d’après la presse grecque.

    De l’île de Skiathos, ils ont appareillé le 7 juillet pour une croisière de dix jours à bord du Serenity, un yacht de luxe dont la location coûte entre 550 000 et 600 000 euros la semaine, un chiffre donné également par la presse grecque et repris par certains médias marocains.

    Cet étalage de luxe maritime a coïncidé avec la divulgation de chiffres, en général tenus secrets, sur la montée en puissance de l’émigration clandestine marocaine par mer vers l’Espagne.

    Au cours de l’année 2018, les Marocains ont représenté un peu moins de 22 % des 57 498 harragas (sans papiers) arrivés à bord de 2 109 rafiots sur les côtes espagnoles.

    Au cours du premier semestre 2019, le nombre total d’immigrés irréguliers a certes baissé (- 27 %), mais la proportion de Marocains a grimpé jusqu’à 29,9 %. Au moins de mai, ils ont même atteint un pourcentage record (48,08 %).

    Ces statistiques ne figurent pas sur le site du ministère de l’Intérieur espagnol, qui se refuse à donner un décompte des arrivées par nationalité pour ne pas froisser les autorités à Rabat en pointant du doigt l’épidémie migratoire dont souffre le Maroc.

    Mais Madrid communique les données qu’elle recueille à des organismes comme Frontex (l’agence européenne chargée de la surveillance des frontières) qui, à son tour, les transmet à la Commission européenne. Ils figurent donc dans un rapport du Service européen pour l’action extérieure daté du 9 juillet.

    Ces statistiques ne prennent en compte qu’une partie du phénomène migratoire marocain. Quand les immigrés subsahariens posent le pied sur les plages andalouses, ils cherchent à se faire prendre, sachant qu’ils vont être logés et nourris pendant près de deux mois et que leurs chances de se faire expulser sont minimes.

    Il en va tout autrement des Marocains et des Algériens dont 36 % et 32 % des harragas appréhendés à leur arrivée ont été rapatriés en 2018. Une fois débarqués, ils cherchent donc à tout prix à passer entre les mailles du filet des forces de sécurité espagnoles. Combien sont-ils à y parvenir ?

    À ceux-là s’ajoutent ceux qui rentrent légalement en Espagne mais qui y restent de façon irrégulière une fois leurs économies expirées.

    À peu près 17 % des 15 000 saisonnières marocaines embauchées en 2017 pour la cueillette des fraises dans la province de Huelva (sud-ouest) ne sont pas rentrées au pays, selon une enquête de l’agence de presse espagnole EFE. Revenir chez soi était pourtant une condition indispensable pour toucher une partie du salaire qui leur est retenu jusqu’à leur retour.

    L’Espagne est certes la principale porte d’entrée des Marocains en Europe, mais elle n’est pas la seule. « Les émigrés marocains arrivant en Libye confirment que la route aérienne du Maroc vers l’Algérie et, ensuite, vers la Libye, en traversant la frontière terrestre, reste active », signale le rapport européen. Pour les clandestins qui veulent rejoindre l’Europe, la Libye est cependant devenue un cul de sac.

    Un changement politique rapide dans leur pays

    Il n’y a rien d’étonnant à ce que les Marocains soient de plus en plus nombreux à quitter le royaume. Le baromètre du monde arabe publié par la BBC fin juin indique que 44 % d’entre eux souhaitent émigrer – 17 % de plus qu’il y a trois ans – mais ce pourcentage grimpe jusqu’à 70 % quand la question est posée aux moins de 30 ans. Les Marocains étaient aussi, parmi les Arabes, ceux qui souhaitaient en plus grand nombre (49 %) un changement politique rapide dans leur pays.

    Si les autorités marocaines cherchent à endiguer, surtout depuis février, l’émigration des subsahariens vers l’Europe, elles ne montrent pas le même empressement quand il s’agit de leurs propres citoyens. Les statistiques espagnoles le démontrent, mais aussi les témoignages de certains harragas, surtout des Rifains, qui racontent souvent aux officiers de police qui les interrogent à quel point il leur a été facile de partir par la mer.

    Au ministère de l’Intérieur à Rabat, on doit sans doute tenir le raisonnement suivant : moins les jeunes contestataires resteront au Rif, plus la région la plus frondeuse sera tranquille. C’est dans la baie d’Al Hoceima, la capitale du Rif, que le Badis 1 mouille, avec le roi à bord, depuis la nuit du mercredi.

    « Est-ce qu’après le Soudan et l’Algérie, la prochaine révolte aura lieu au Maroc ? », se demandait la BBC en analysant les résultats marocains de son sondage sur le monde arabe. La question est plus que jamais d’actualité après l’étalage de luxe maritime à M’diq et en mer Égée pendant que d’autres Marocains traversent cette même mer sur des barques de fortune.

    Un peu plus de 200 clandestins, en majorité subsahariens mais aussi quelques Marocains, se sont déjà noyés cette année sur le chemin de l’Espagne d’après Frontex.

    La presse marocaine est discrète sur l’ostentation de la famille royale, quand elle ne l’ignore pas complètement. Elle ne traite presque pas non plus le phénomène migratoire. Les réseaux sociaux foisonnent, en revanche, de commentaires scandalisés qui versent parfois dans l’insulte. Les plus prudents comparent simplement le prix supposé du voilier avec certaines parties du budget de la santé publique ou de l’éducation au Maroc.

    L’image de la monarchie en prend encore un coup, comme ce fut le cas lors des longs séjours du roi à l’étranger ou durant l’épisode de la montre à plus d’un million de dollars que le roi afficha à la fin de l’été dernier. Est-ce suffisant pour que le Maroc suive le chemin du Soudan ou de l’Algérie ? Difficile à dire, même si bon nombre de Marocains vivent depuis février les yeux rivés sur ce qui se passe chez leur voisin de l’est.

    Les opinions exprimées dans cet article n’engagent que leur auteur et ne reflètent pas nécessairement la politique éditoriale de Middle East Eye.

    Ignacio Cembrero

    Ignacio Cembrero est un ancien journaliste des quotidiens espagnols El País et El Mundo pour lesquels il a couvert le Maghreb entre 1999 et 2016. Il est aussi l’auteur de plusieurs livres sur les relations entre l’Espagne et le Maroc et sur l’immigration musulmane en Espagne. Vous pouvez le suivre sur Twitter : @icembrero

    Middle East Eye, Samedi 20 juillet 2019

    Tags : Maroc, migration, Mohammed VI, Lalla Salma, yacht, luxe,

  • Belgique : La princesse Lalla Salma du Maroc dans la DH de ce jeudi !

    La dh.be consacre son édition de ce jeudi une page à la princesse marocaine Lalla Salma.

    Sous le titre de « Où est passée la Princesse, les Belgo-Marocains s’inquiètent », le journal belge revient sur la disparition de celle que fut jusqu’à décembre 2017 la première dame du Maroc.

    Dans le but d’éclairer ses lecteurs, La DH publie une interview avec le journaliste bruxellois d’origine marocaine Khalil Zeguendi, rédacteur en chef du magazine Le Maroxellois.

    Selon M. Zeguendi, les marocains sont réellement inquiets sur le sort de la princesse Lalla Salma qui « occupait l’avant-scène médiatique. « On la voyait constamment aux côtés du Roi lorsqu’ils recevaient les têtes couronnées et les Chefs d’État, précise-t-il. Depuis deux ans, plus aucune photo ou aucun enregistrement ne la montre, si ce n’est des montages avec des photos d’archives. Lalla Salma est devenue un fantôme ».

    On y reviendra sur cette intéressante interview qui relance le sujet de la disparition de la désormais Salma Bennani, de son nom de jeune fille.

    Tags : Maroc, Lalla Salma, Mohammed VI, têtes couronnées, couples royaux, divorce, disparition, Salma Bennani, Khalil Zeguendi,

  • Aparece Lalla Salma en Nueva York con sus dos hijos

    Marruecos : Mohamed VI intenta calmar la opinión pública sobre el paradero de la princesa Salma Bennani

    El diario digital marroquí ‘Goud‘ publicó este jueves una foto exclusiva que no déjà lugar a dudas sobre la libertad de movimiento de la princesa Lalla Salma y su derecho a viajar al extranjero con sus dos hijos.

    Por primera vez, desde su polémico divorcio con el rey de Marrueco en marzo de 2018, las autoridades marroquíes permitieron a la ya ahora ex-esposa de Mohamed VI fotografiarse mientras realizaba sus compras en las iendas de Nueva York acompañada de sus dos hijos Moulay Hassan, de 16 años, y la princesa Lalla Khadija, de 12 años, rodeados de un grupo de guardaespaldas. En julio hicieron con su madre un crucero por el Egeo a bordo de un yate de lujo que fue ampliamente comentado por la prensa internacional debido a su coste (555.000 euros a la semana).

    Cabe recordar que desde que se consumó el divorcio, anunciado hace 19 meses por la revista ‘¡Hola!’, Lalla Salma ha podido disfrutar de vacaciones con sus hijos en el extranjero en al menos dos ocasiones, pero nunca fue fotografiada. El año pasado ya estuvo en Grecia, aunque sin alquilar ningún crucero, y después cerca de Niza (Francia), desde donde fue de excursión a Portofino (Italia). Allí fue vista por una periodista marroquí que lo anunció en las redes sociales, pero sin aportar ninguna prueba ilustrativa que avalara su testimonio.

    En el pasado mes de abril, el palacio real intentó desmentir los rumores sobre su paradero organizándole una cena en la famosa Plaza de Jamaa El Fna en pleno centro de la ciudad turística de Marrakech donde le fue tomada una foto cuya mala calidad no permitió su autentificación.

    Bajo presión de los medios de prensa que no cesan de preguntarse sobre su repentina desaparición, Mohammed VI cedió permitiendo que se le vea con sus dos hijos fuera de Marruecos. Algunos medios de la prensa de corazón habían afirmado que se había visto obligada a exiliarse en EEUU y otros no dudaban en sostener que estaba encerrada a cal y canto sin ni siquiera poder ver a sus hijos. En los medios populares marroquíes corría el rumor de que había sido asesinada por una de sus cuñadas.

    Tags : Marruecos, Mohamed VI, Lalla Salma,

  • El rey Mohamed VI anula la fiesta de su cumpleaños para evitar el tema de la desparición de la princesa Lalla Salma

    El rey de Marruecos ha decidido cancelar la celebración de su cumpleaños que se preveía para el 21 de agosto.

    De ahora en adelante, serán suprimidas las festividades que marcan su cumpleaños. La noticia se ha hecho oficial a través de un comunicado publicado por el palacio real la semana pasada.

    Por que el soberano alauita ha adoptado esta decisión ? Es la pregunta que se plantea la opinión pública y que necesita una respuesta. Esta decisión, tiene algo que ver con su declarado divorcio y la desparición de su ex-esposa Lalla Salma ? Una hipótesis muy probable ya que el rey de Marruecos será obligado, con esta ocasión, a aparecer solo durante los festejos. Probablemente al lado de sus hijos, pero sin la princesa cuyo paradero sigue estando al origen de las versiones más inimaginables.

    Hacerse fotografiar celebrando su cumpleaños estará acompañado de interrogantes sobre Lalla Salma que Mohamed VI intenta evitar a toda costa.

    Si, según la version oficial, su hijo Moulay El Hassan, ha regresado a Marruecos después de sus supuestas vacaciones con su madre en Grecia, Lalla Salma sigue perdida de vista y el palacio real se niega a presentar una prueba de vida de la princesa tan apreciada por todos aquellos que tuvieron la ocasión de cortejarla.

    Cabe recordar que según varias fuentes, la ex esposa del rey de Marruecos fue asesinada en una disputa con una de las hermanas del soberano marroquí. Las mismas fuentes señalan que Mohamed VI fue herido por una bala en el pie durante esta altercación. Es por ello que fue hospitalizado en febrero del 2018 en una clínica de París, añaden.

    Tags : Marruecos, Mohamed VI, Lalla Salma, cumpleaños,

  • La ingratitud, punto común entre el rey de Marruecos y la reina Letizia de España

    La boda de Lalla Salma con el rey de Marruecos Mohamed VI en 2002 tuvo un efecto conmovedor porque, por una parte, representaba la ruptura de palacio con las tradiciones que imponían la discreción a las mujeres del monarca.

    Con ella, Mohamed VI realizó por completo los objetivos perseguidos con esta unión ya que contribuyó a proyectar

    Tanto en la prensa nacional como internacional no faltaron adjetivos para calificar a la princesa : modesta, inteligente, dulce, radiante, elocuente, sútil, carismática, encantadora, combativa… los epítetos provienen de todos aquellos que tuvieron la ocasión de cruzarse con ella o cortejarla, sobre todo las revistas de corazón que la colocaron en el podio de las «primeras damas más bellas del mundo».

    Porque, lejos de ser un simple rubí incrustado en la corona de Mohammed VI, Lalla Salma ha venido a aportar una gran innovación en el sistema monárquico alauita y contribuyó ampliamente en la realización del objetivo de Mohammed VI de proyectar una imagen exterior positiva de una monarquía conocida por sus arcaismos.

    Su acceso al título de princesa y al estatuto de primera dama le permitió hacer uso de su talento como anfitriona de los huespedes de su marido. Entre ellos, la reina Letizia de España con la que tejió una sólida amistad y complicidad de la que varios portales se hicieron eco. Incluso hablaron de rasgos y matices compartidos por las dos damas.

    « A primera vista, podría parecer que Doña Letizia y la princesa Lalla Salma de Marruecos no tienen nada que ver. Sin embargo, son muchas las coincidencias entre las vidas de estas dos mujeres. Ambas están casadas con reyes de países que mantienen una muy buena relación y son madres de dos hijos de casi la misma edad. Lalla Salma tiene un niño y una niña, los príncipes Moluay Hassan y Lalla Kadhija, y Doña Letizia es madre de Leonor y Sofía. Aunque sus agendas institucionales no son comparables, estas dos soberanas tienen un objetivo en común, que es la prevención del cáncer y el apoyo a aquellos que sufren esta enfermedad. Además de todo esto, tanto Salma como Doña Letizia son consideradas verdaderos iconos de estilo. La princesa de Marruecos lleva la moda de su país allí donde va y la Reina de España es una fiel defensora del made in Spain », decía El Confidencial en un artículo titulado « Doña Letizia y Lalla Salma, dos mujeres muy parecidas » publicado en 2014 con motivo de la visita de los reyes de España a Marruecos.

    Las fotos de las visitas de los reyes de España a Marruecos testimonian la estrecha relación nacida entre Lalla Salma et Letizia. La primera siempre atenta a la segunda, permitió que su estancia en Marruecos fuera más agradable gracias a las múltiples escapadas que hicieron en la ciudad.

    Tags : Marruecos, España, Mohamed VI, Lalla Salma, Felipe VI, Letizia,

  • Nuevas revelaciones sobre el caso de Lalla Salma de Marruecos

    El rey de Marruecos habría sido herido en una altercación entre une de sus hermanas y su ex-esposa Lalla Salma

    En ausencia de iniciativas de palacio para acallar los rumores sobre el paradero de la princesa de la ex-esposa del rey de Marruecos, Lalla Salma, siguen llegando noticias que evocan informaciones que lanzan graves acusaciones al palacio real de Rabat.

    Según la página Maghreb Online, que cita « fuentes bien informadas », hubo una violenta disputa entre Lalla Salma y Lalla Hasna, una de las tres hermanas del rey Mohamed VI que acabó de una manera dramática. La misma fuente va más allá, revelando que la ex-esposa del soberano marroquí habría « sacado una pistola y tirado sobre la hermana del rey. Este habría sido herido en el pie y su hospitalización en la Clínica Ambroise Paré era para curar sus heridas ».

    En febrero 2018, VI la prensa marroquí publicó una foto del rey Mohamed VI tendido sobre una cama en la citada clínica para solucionar un problema de « aritmia cardíaca », según un comunicado de su equipe médico. En la foto, estaba rodeado por todos los miembros de su familia, excepto su ex-esposa. Según la nueva versión, en realidad fue hospitalizado para curar la herida en el pie causada por la disputa entre las dos princesas Hasna et Salma.

    En efecto, esta versión es la más propagada en los medios populares marroquíes que conservan buenos recuerdos de la princesa desaparecida.

    Mientras tanto, se espera de las autoridades marroquíes más comunicación sobre un tema candente en la opinión pública tanto interna como externa.

    Tags : Marruecos,  Mohamed VI, Lalla Salma, Lalla Hasna, rumores,

  • Mohamed VI, dos décadas de expectativas frustradas

    El rey de Marruecos cumple 20 años en el trono sin haber hecho las reformas que se esperaban

    RICARD G. SAMARANCH

    Los meses posteriores a la subida de Mohamed VI al trono de Marruecos, el 30 de julio de 1999, generaron grandes expectativas entre la sociedad marroquí. El flamante rey, de 35 años y educado en el extranjero, quiso romper con los oscuros años de represión de su padre, Hassan II, y una de sus primeras medidas fue el relevo del odiado Driss Basri, ministro de del Interior desde 1979. Unos años después anunciaría una reforma del Código de Familia que otorgaba nuevos derechos a la mujer marroquí, y entre la oposición ya se hablaba sin temor de una reforma que convierte al país en una monarquía constitucional.

    Sin embargo, después de un inicio prometedor, el proceso de reformas políticas y sociales se frenó en seco. Dos décadas después de la entronización de Mohamed VI, el Majzén, como se conoce al grupo de consejeros y potentados que forman el entorno real, continúa controlando el país, y cualquier amenaza seria a su gobierno es reprimida sin contemplaciones, como sucedió hace un par de años con la revuelta del Rif. A pesar de la naturaleza pacífica del llamado Hirak, sus principales líderes cumplen largas condenas de prisión. Tampoco este año el monarca les ha incluido entre los presos que se benefician de la gracia real en la señalada fecha del 30 de julio.

    « Edificar un Marruecos moderno »

    Mohamed VI dirigió ayer un mensaje a la nación en la que hizo un balance bastante positivo de su reinado. « Hemos conseguido gracias a Dios continuar el proceso de edificación de un Marruecos moderno superando las dificultades que se han interpuesto en nuestro camino », proclamó en el discurso del trono de este año. Entre sus logros señaló la construcción de nuevas infraestructuras, pero también « importantes avances a través del afianzamiento de los derechos y las libertades de un sano ejercicio democrático ». Mientras su gestión de la economía es discutible, las carencias en el ámbito político son evidentes.

    La convulsa primavera del 2011 en Marruecos experimentó también su movimiento popular de protesta, si bien de menor intensidad que en otros países de la región como Túnez o Egipto. El astuto Majzén logró apaciguar los ánimos con una mezcla de promesas de apertura y represión. La reforma de la Constitución fue sobre todo cosmética y el dossier del Sahara Occidental continúa completamente estancado.

    « El monarca puede disolver la legislatura, gobernar por decreto, y cesar o nombrar miembros del gobierno », sostiene la Fundación Freedom House, que define Marruecos como un país « parcialmente libre ». Y es que se celebran elecciones y, al menos de manera formal, el país tiene instituciones y procedimientos propios de una democracia. Es este híbrido político lo que ha permitido el régimen sobrevivir a los vientos de cambio en el mundo árabe.

    Los defensores del monarca esgrimen el desarrollo de algunos sectores económicos clave, como la producción de energía solar, para ensalzar su reinado. Sin embargo, algunas cifras macroeconómicas y las flamantes nuevas infraestructuras, como el puerto de Tánger, no pueden ocultar la persistencia de las desigualdades, la pobreza rural y un bajo nivel educativo. Una prueba del descontento: un 40% de los jóvenes dicen querer emigrar al extranjero, una de las cifras más altas del mundo árabe.

    Fuente: ara.cat

    Tags : Marruecos, Mohamed VI, Lalla Salma, 20 años, monarquía alauita,

  • El Mundo destapa las maniobras del Majzén para cubrir los verdaderos motivos de la desaparición de Lalla Salma

    Francia es el mecenas, la póliza de seguro y valedor de Marruecos en la Unión Europea y sobre todo en el conflicto del Sáhara Occidental. Por ello, el rey de Marruecos vela por su reputación en el país de Asterix y Obelix. Por eso, cuando los cotilleos sobre el rey y la desaparición de su esposa se limitaban a la prensa española, Mohammed VI se pasaba olímpicamente. Pero cuando el asunto vino de la revista Gala, el mayor magazine people en el pais aliado, intervino el rey en persona para silenciar a la prensa recurriendo incluso a las amenazas. Lo hizo a través de su abogado para recordar que la difusión de « informaciones maliciosas » es un « acto punible por difamación ».

    Con este gesto, Mohammed VI quiso parar el tema de la desaparición de su ex-esposa Lalla Salma, una desparición acompañada de múltiples rumores. Mediante un montaje escenógráfico de baja calidad quiso mandar un mensaje de apaciguamiento publicando antiguas fotos de Lalla Salma en la mayor de plaza de Marrakech y otra en el centro oncológico de Beni Mellal, pero la fuga de la princesa Haya de Jordania tiró sus planes por la borda. Ante las dimensiones del escándalo que suscitó de nuevo el tema de la desaparición de Lalla Salma, las autoridades marroquíes organizaron otra farsa en Grecia coronada por el fracaso a causa de la falta de pruebas ilustrativas.

    En un artículo publicado esta mañana, El Mundo trata el tema con una singular objetividad destacando que las fotos de la princesa marroquí desaparecida no tienen ningún valor ya que « on de archivo, con una antigüedad mínima de año y medio » y que lo que se conoce hoy de sus actividades son informaciones que se destilan « a cuentagotas » subrayando que nadie las ha visto ni puede confirmarlas.

    Según el diario español, « las filtraciones repentinas sobre el lujoso paradero de Salma, que buscan dar aparente normalidad a la vida de una princesa divorciada en no muy claras circunstancias y repudiada de forma radical por la realeza, se están intensificando a medida que pasa el tiempo con ella desaparecida ».

    Esas filtraciones y las amenazas de palacio no auguran nada bueno y sólo sirvieron para alimentar los rumores según los cuales, Lalla Salma fue asesinada de un tiro de pistola por Lalla Hasna, hermana del soberano marroquí.

    Tags : Lalla Salma, Marruecos, Francia, Mohammed VI,