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  • Andaluces : « Mohamed, capuyo, el Sáhara no es tuyo!! »

    Ayer, Andalucía gritó fuerte y claro que Marruecos tiene que irse de una vez fuera del Sáhara Occidental. No se puede estar al lado de los ladrones, violadores y asesinos.

    Deben devolver lo que han robado y ser castigados por ello. Una sola voz para las personas que ayer llegaron a Sevilla desde todos los puntos de Andalucía. El pueblo andaluz y el pueblo saharaui, juntos siempre, le pese a quien le pese.

    Libertad para los presos políticos saharauis!! Abajo el muro marroquí!! Mohamed, capullo, el Sáhara no es tuyo!!

    Muchísimas personas en la manifestación, más que nunca. Con nosotros viajó la Delegada de Infancia y Educación del Ayuntamiento de Lebrija, Encarni, muchas gracias por acompañarnos. Nuestro bus y varios coches iban llenos de lebrijanos, cabeceños, cuerveños y marismeños.

    Todos juntos para que estos niños puedan volver pronto a su tierra robada.

    Fuente : Esperanza Jaén

    Tags : Sahara Occidental, Marruecos, derechos humanos,

  • 12 palais, 600 voitures, des montres à un million… La fortune de Mohammed VI en 20 ans de règne

    Sonia Moreno

    Une fortune de plus de 5 milliards d’euros selon les estimations. Le monarque du Maroc voyage toujours avec un entourage de 300 personnes
    Le monarque marocain Mohammed VI a accumulé une richesse inestimable au cours des deux décennies de son règne, mais il a également hérité d’une grande fortune de son père Hassan II, décédé le 23 juillet 1999, avec qui il partage l’amour du luxe.

    Le Maroc alloue 250 millions d’euros par an à la famille royale, bien que cela ne figure pas dans le budget général. En 2015, il avait déjà accumulé une fortune estimée à 5 milliards de dollars. Le magazine américain Forbes le place en tête de la liste des plus riches au Maroc et au cinquième rang des plus riches du continent africain.

    1. Douze palais et 1100 domestiques pour un million d’euros par jour
    Le monarque alaouite a 12 palais dans le royaume fonctionnant avec 1100 serviteurs au cas où il viendrait à tout moment. Son entretien est d’un million d’euros par jour..
    Dans le palais royal de Rabat , le plus grand, il a son bureau. Il y reçoit les chefs des gouvernements étrangers, les monarques et des invités de marque. En fait, à l’intérieur de l’enceinte, se trouve un autre palais, celui des invités, où les rois d’Espagne passent la nuit lorsqu’ils visitent le Maroc.

    En fait, c’est une ville entière car à l’intérieur du palais se trouvent une clinique , une école, une écurie, deux piscines, deux terrains de golf, des terrains de tennis, une forêt, un cimetière, un abattoir et même une prison. . Tout cela est reflété dans le livre Le Dernier roi de l’auteur français Jean Pierre Tuquoi.

    Pendant les vacances d’été, il choisit le nord du pays où il profite cette année du palais de Tétouan, situé au cœur de la vieille colonie espagnole, où des centaines d’agents de sécurité sont déployés. Le bâtiment de style hispano-mauresque a abrité le représentant du sultan placé sous le protectorat espagnol.

    2. Le château de Betz en France… à 2 000 km de Rabat

    Il en a hérité de son père Hassan II et sert de résidence à la veuve de ce dernier, Lalla Latifa, et mère du roi actuel [Lallahoum Latifa Chelhia habite à Neuilly, environ 10 km de Paris, avec son amant Mohammed VI, ex-garde du corps de Hassan II]. Il l’a acheté en 1972 à un riche norvégien qui possédait un hôtel de luxe. Selon une anecdote, ce château appartenait eau XVIIIe siècle à une princesse de Monaco et qui a dû fuir à cause de la Révolution française.

    Dans la propriété de 71 hectares traversée par une rivière, il y a un autre petit château, le pavillon du prince, construit par Hassan II.

    La création d’emplois du roi marocain à Betz, petite ville de mille habitants à 60 kilomètres au nord-est de Paris, lui assure une popularité. Il compte 20 employés tout au long de l’année. les jardiniers, les ménagères, le personnel responsable de l’entretien du bâtiment, du parc et des vrais chevaux. Lorsque vous y restez, au moins trois fois par an, le service, recruté dans la localité et ses environs, augmente. À ces occasions, l’économie locale en bénéficie, puisqu’un jour seulement, le boulanger livre 300 baguettes, puisque Mohamed VI voyage avec 200 personnes dans son entourage.

    3. Le quatrième hôtel le plus luxueux du monde

    Il a construit l’hôtel Royal Mansour en 2007 et a ouvert en 2011 sur le site d’un ancien jardin municipal de Marrakech. Il abrite 53 riads – bâtiments traditionnels autour d’un patio central – sur trois étages pour accueillir vos amis et votre famille lorsque vous séjournez dans la ville rouge. En fait, non loin de la place Jemaa El Fna, un site du patrimoine mondial et l’union entre les nouveaux quartiers et l’ancienne médina.

    Il emploie 500 personnes et dispose de salles privées pouvant atteindre 850 mètres carrés. Le service est invisible car le personnel se déplace dans un conduit souterrain parfaitement conçu pour communiquer avec les différents rites individuels des clients et assurer ainsi l’intimité et la tranquillité des clients.

     Il possède une bibliothèque et un spa en marbre blanc de 1 500 mètres carrés proposant des soins complets du corps, une piscine intérieure et une salle de sport. En outre, il dispose de trois restaurants sous la direction du chef Yannick Alléno, étoilé au Michelin.

    4. L’un des dix plus grands yachts au monde, Badis 1

    La dernière acquisition, le yacht Badis 1, a été dévoilée cette semaine dans la ville nord de Rincón, face à la baie du Sofitel Tamuda, où Mohamed VI profite actuellement de ses vacances.

    Le bateau, long de 70 mètres et large de 13 mètres, est l’un des 10 plus grands voiliers au monde. En fait, il ne pourra accoster que dans trois ports du pays, Tanger, Marina Smir et Mohamedia.

    Il dispose d’un salon de 157 mètres carrés et de six cabines: une suite principale, deux VIP et trois doubles, avec une capacité de 12 personnes, en plus des 12 membres d’équipage. Le bateau, arrivé à Casablanca le 24 juin, avait déjà traversé l’Atlantique le 26 au nord, avait traversé le détroit de Gibraltar et s’était amarré sur la côte méditerranéenne.

    Le bateau de luxe appartenait à l’homme d’affaires américain Bill Duker, qui avait demandé 88 millions d’euros et portait le drapeau marocain depuis mars 2019. Bien que, tel que publié par le magazine Telquel, il aurait pu être un cadeau.

    Le roi possédait déjà un autre voilier plus petit, le Boughaz 1. Il s’agissait d’une goélette de 41 mètres construite aux États-Unis en 1930 et transformée en yacht de luxe dans les années 1980.

    Mohamed VI confirme que la navigation est une nouvelle passion partagée avec son père. Hassan II possédait lui-même deux navires, Oued Eddahab et Al Mass.

    5. se déplace avec deux avions privés et un militaire

    Mohamed VI n’utilise fréquemment que deux avions privés, un Boeing 737 et un Boeing 747 pour ses voyages; et un Hercules C-130. Dans la première, entre 250 et 300 personnes volent; et le Hercules militaire C-130 est réservé au mobilier et aux bagages.

    La flotte réelle comprend deux autres appareils Gulfstream (modèle G550). Et l’été dernier, un nouveau jet privé a été ajouté, un Gulfstream G650, l’un des plus performants du marché, vendu pour 57 millions d’euros. Le dispositif est décoré d’une manière spéciale, il a un système anti-missile israélien; et peut atteindre 1 000 kilomètres à l’heure et parcourir 13 000 kilomètres sans escale. Bien qu’il soit disponible à la maison royale, c’est un cadeau à l’héritier, Moulay Hassan, comme on peut le voir dans les initiales du numéro d’enregistrement.

    6. 600 voitures dans le vrai garage

    Son grand-père Mohamed V et son père Hassan II ont hérité du goût des voitures, également des collectionneurs de véhicules. Devant les Rolls et les Cadillac de ses ancêtres, Mohamed VI opte pour le confort dans les modèles sportifs.

    Sa collection de voitures de luxe et d’anciennes voitures s’élève à 600, soit six millions d’euros provenant du budget marocain. Des équipes spéciales sont responsables de son entretien sur un parking situé sur la route des Zaers à Rabat, bien qu’elle ne les conduise presque jamais.

    Ce n’est pas seulement une question d’image, mais une vieille histoire d’amour qui a commencé à l’âge de 10 ans et qui a reçu comme cadeau d’anniversaire une mini Jeep Renegade qu’il a conduite dans les rues du palais. Une photo de lui, à bord de ce jouet, a visité les réseaux sociaux. Et puis son fils Moulay Hassan lui a également donné une voiture similaire à l’âge de 5 ans, ce qui compliquait la tâche des chauffeurs du palais, car le prince pouvait monter dans la voiture à tout moment.

    Pour ses escapades dans des villes incognito, il préfère conduire lui-même et le fait le plus souvent au volant de plusieurs modèles de luxe de la marque Mercedes, Ferrari, Bentley, Rolls-Royce ou Aston Martin.

    En 2009, il a envoyé réparer son Aston Martin DB7 à bord d’un Army Hercules à Newport (Angleterre). Les journaux britanniques ont repris les plaintes des environnementalistes pour la pollution générée par un voyage de plus de 2 000 kilomètres, alors qu’il aurait pu être réparé à Malaga, une destination à proximité.

    Le goût du roi pour les voitures de luxe et les antiquités est mondialement connu; et lors d’une visite de travail à Prague en 2016, le président tchèque l’a diverti avec cinq voitures de collection.

    Au Maroc, cela a créé une tendance et est imité par ceux qui ont la possibilité d’acheter des voitures haut de gamme. C’est ce qui s’est passé en 2002, après le tremblement de terre à Alhucemas, lorsque le monarque est apparu à Riffa dans une Land Rover Sport Supercharged et que les riches Marocains ont acquis cette voiture de sport britannique à partir de 85 000 euros. En un an, ses ventes ont augmenté de 200% au Maroc.

    7. La véritable holding

    Les analystes politiques disent que Mohamed VI est plus doué pour les affaires que pour la politique ou qu’il se sent au moins mieux dans le monde des affaires. En effet, elle contrôle le groupe financier le plus important au Maroc, Al Mada, présent dans les secteurs les plus stratégiques de l’économie marocaine.

    La famille royale, en plus de ses nombreuses terres et résidences, tire l’essentiel de sa fortune du plus grand groupe privé du pays. La société holding était un véritable héritage, mais seulement 13% de l’ancienne Société nationale d’investissement (SNI), le plus grand groupe privé du pays. La société de portefeuille était un véritable héritage, mais seulement 13%. Cependant, au cours de ces 20 années, il s’est renforcé et le groupe s’est élargi. Aujourd’hui, c’est un empire qui détient des actions dans plus de trente sociétés, certaines multinationales, réparties dans quinze secteurs économiques importants.

    Certains citoyens voient dans la présence du roi dans les affaires un moyen de stimuler les investissements dans l’économie du royaume. Cependant, loin des bureaux, les citoyens ont fait face au pouvoir économique du roi et de ses employeurs en boycottant trois grandes marques, Sidi Ali Water, les produits Danone et les stations-service Afriquia. Un appel mystérieux de plusieurs pages de Facebook en avril 2018 a été appuyé par près de la moitié de la population pendant des mois pour dénoncer non seulement les prix élevés en relation avec les salaires, mais également le fait que ces sociétés sont la propriété de personnes influentes du secteur des télécommunications. l’économie et la politique du pays.

    8. Vêtements et accessoires sur mesure de caprice

    La garde-robe excentrique du roi a également un coût pour le budget de l’État: deux millions d’euros par an. Un tailleur de Londres a confectionné un manteau en laine dont le billet s’élevait à 39 021 £.

    Il aime porter des costumes parfaitement sur mesure, avec un mouchoir de poche dans le motif et la couleur de la chemise. Il ressent également une faiblesse pour les chaussures en cuir de style italien avec une finition pointue. Et il a une prédilection pour le shopping de luxe dans les magasins du designer Gianfranco Ferré à Paris ou à Milan.

    Leurs regards informels sont très différents. La dernière djellaba, incroyablement pop et frappante, illustrée par les voyages en Afrique fait fureur parmi les fans du style beldi du monarque.

    Les selfies de ces dernières années avec des citoyens, dans lesquels il évolue dans une ambiance décontractée et personnelle avec des vêtements pop-rock remarquables, constituent un marketing bien étudié qui s’est déjà étendu sur les réseaux sociaux. De telle manière qu’avec son style il est passé de «roi des pauvres» à «roi des jeunes».

    Son complément idéal est les liens de pise. Les lumières d’or, avec le bouclier du royaume ou avec leurs initiales. Il collectionne également les lunettes de soleil. En fait, de nombreux actes officiels omettent une partie du protocole pour les porter, mais sont justifiés par des problèmes de santé.

    Cependant, ce qui a attiré le plus l’attention l’année dernière est une montre suisse avec 1 000 diamants de plus d’un million d’euros qu’elle portait à Dubaï l’année dernière. Sa provenance est inconnue, qu’il s’agisse d’un cadeau d’un émir du Golfe ou d’une acquisition personnelle du souverain.

    La passion horlogère des rois alaouites, héritée également de Mohamed VI, a toujours fait l’objet de commentaires, de ragots et de scandales. Au cours de ses voyages privés, Mohammed VI semble laisser libre cours à ses goûts personnels et utilise des montres de plongée, ainsi que d’autres plus excentriques et inclassables.

    9. Gaspillage dans le sport et les voyages

    Il a effectué son premier voyage à l’étranger en décembre 1999, cinq mois après son accession au trône. Cependant, la première visite d’Etat a lieu en mars 2000 en France, premier partenaire commercial du Maroc et son fidèle allié sur la scène internationale.

    Ses voyages officiels ou privés à l’étranger fascinent par sa nature spectaculaire et secrète. Les déplacements de plaisance ou de santé sont récurrents avec un entourage qui le suit de 300 personnes et une dépense de 7,75 millions d’euros.

    Voyager avec le monarque est un luxe et n’est pas accompagné par ceux qui le souhaitent. Dans le cabinet royal, le casting est fait sur mesure. En plus des membres du Cabinet et du gouvernement, vous pouvez également trouver d’excellents chefs de section. Bien qu’il n’y ait généralement qu’une poignée de présidents de sociétés ouvertes, le dirigeant peut parfois élargir le cercle aux entrepreneurs privés.

    Bien entendu, le budget public consacré aux voyages réels n’inclut pas les escapades privées, généralement accompagnées de membres de la famille, de frères et sœurs, de cousins, de leurs deux enfants et, jusqu’en 2018, de leur femme Lalla Salma, dont elle vit actuellement séparément. Exceptionnellement, des amis l’ont également accompagné. Lors de ces voyages, vous bénéficiez de la protection du pays hôte, assurée par un groupe de gardes du corps.

    Les destinations de vacances du souverain sont nombreuses, la Grèce ou Cuba ces dernières années; mais la capitale française est sans aucun doute l’un de ses favoris.

    De plus, l’état de santé délicat du monarque qui recourt à la santé française, l’emmène fréquemment à Paris; Même au début de 2018, il devait rester hospitalisé à la suite d’une opération pour une arythmie cardiaque et se rendre en France pour des examens médicaux ultérieurs.

    Il y a aussi des sports, dont il est un défenseur. Le souverain est un amoureux du ski nautique et de la montagne et, comme le roi émérite Juan Carlos Ier, est un fan de chasse au gros gibier.

    10. Œuvres pharaoniques du royaume

    Sous le règne de Mohamed VI, le patrimoine national a été restauré et d’importantes infrastructures culturelles ont été construites: les grands théâtres de Rabat et de Casablanca, le musée Mohamed VI ou la bibliothèque nationale.

    Cependant, les deux décennies de règne laissent deux œuvres pharaoniques sous le sceau de Mohamed VI. L’un dans le sud, le plus grand complexe d’énergie solaire au monde, le Noor central à Ouarzazate; et le complexe portuaire de Tanger Med au nord.

    Le complexe de Noor Ouarzazate, qui compte quatre centrales, est le plus grand centre de production d’énergie solaire multitechnologies au monde, avec un investissement total de 2 400 euros. Ces infrastructures répondent aux besoins de raccordement électrique, de transport routier, d’approvisionnement en eau brute et potable, de drainage, de télécommunications et de sécurité.

    Ces projets sont également une opportunité pour activer les leviers du développement socio-économique à travers la mise en œuvre d’actions dans les domaines de la santé, de l’éducation, de l’agriculture, de l’entreprenariat et des activités culturelles et sportives. Ainsi, plus de 20 000 personnes ont bénéficié de ces mécanismes de solidarité, plus de 30 millions de personnes ont pu avoir de l’eau potable.

    Tanger Med, un groupe logistique mondial situé dans le détroit de Gibraltar, est relié à 186 ports avec une capacité de traitement de 9 millions de conteneurs, 7 millions de passagers, 700 000 camions et un million de passagers. véhicules. Il représente un chiffre d’affaires de 8 milliards d’euros dans différents secteurs: automobile, aéronautique, logistique, textile et commerce.

    Il s’agit de la première capacité portuaire en Méditerranée, espace d’échanges entre l’Europe et l’Afrique, qui continuera à être mise en œuvre avec un nouvel investissement de 900 millions d’euros dans le développement d’un projet d’extension.

    Source : El Español, 14 jul 2019

    Tags : Marruecos, Mohamed VI, monarquía alauita, fortune, forbes, roi des pauvres, roi des selfies,

  • Marruecos : reaparece princesa Lalla Salma, pero sin fotos

    La ex esposa del rey Mohamed VI, Lalla Salma ha sido noticia desde su reaparición la semana pasada en las encantadoras islas helénicas junto a su hijo, el heredero de la corona marroquí, Moulay Hasán.

    La prensa griega ya estaba al corriente de su llegada y fue la primera en publicar la noticias. Sin embargo, no aparece ninguna foto de la que fue hasta hace poco la primera dama de Marruecos, a pesar de la necesidad de una ilustración gráfica para contrarrestar los numerosos rumores emergidos desde su desaparición hace casi dos años. En los medios populares marroquíes, se contaba que fue asesinada por una de sus cuñadas o que Mohamed VI la tiene encerrada en uno de sus lujosos palacios. Por ello, tanto la opinión pública interna como externa necesita una explicación para despejar a la incógnita que rondaba entre los ciudadanos de Marruecos su paradero.

    La prensa griega también anunció que Lalla Salma conserva su título de princesa porque es la madre del príncipe heredero, al mismo tiempo que se plantea interrogantes sobre la ausencia de la princesa Lalla Khadija. Nadie se explica por qué no acompaña a su madre y a su hermano en estas lujosas vacaciones en las que, según la misma fuente, gastaron la suma de 600.000 euros para alquilar el « Serenity », un barco de lujo que mantendrá a la familia real lejos de las costas y de los paparazzis. Según fuentes fidedignas de Rabat, el monarca marroquí no quiere una repetición del escenario de la princesa Haya de Jordania en el que vería a Lalla Salma escaparse con sus hijos y pedir el asilo político en Grecia.

    Según la web in.gr, la princesa de Marruecos almorzó junto con los miembros de su acompañante en una famosa taberna en Skiathos y probó las especialidades locales.

    Entre otras cosas, disfrutó la langosta, el estofado de ruibarbo, la ensalada, el pulpo y el cardo, así como el famoso pastel de queso Sopelian.

    Según la misma fuente, Lala Salma se mostró simple, sonriente y alegre mientras disfrutaba de los platos griegos.

    Parece ser que el palacio real de Rabat no quiere fotos de la princesa cuya enigmática historia está vertiendo mucha tinta al igual que quiere alejarla de la lujosa mansión que había comprado en la isla de Kea por 3,5 millones de euros.

    Para la prensa francesa, la historia de Lalla Salma surge de nuevo con la de la princesa Haya de Jordania. « La fuga de la princesa Haya de Jordania, exiliada en Londres con sus dos hijos para divorciarse de Mohammed Ben Rachid Al-Maktoum, recuerda la de Lalla Salma de Marruecos, fotografiada por última vez en diciembre de 2017 », escribe Gala, especializado en historias de corazón.

    « Mujeres que se largan. El paradero de la princesa Haya, media hermana del rey Abdullah de Jordania, quien abandonó Arabia Saudita y su esposo Sheikh Mohammed al-Maktoum, líder de Dubai, llevando consigo a sus dos hijos, recuerda el de Lalla Salma de Marruecos. Mientras que los primeros huyeron a Inglaterra en busca de un divorcio, la segunda reapareció este verano casi dos años después de haber sido visto por última vez », añade.

    Tags : Marruecos, Mohamed VI, Lalla Salma, palacio real, Moulah Hasán, monarquía marroquí,

  • Felipe Briones : « El uso legítimo de la fuerza armada es un derecho a disposición de los movimientos de liberación »

    Felipe Briones, sobre el Sahara: “A los movimientos de liberación les corresponde el uso legítimo de la fuerza armada”

    Detrás de su aspecto informal y su rostro cansado se esconde una de las mentes más lúcidas y combativas sobre una injusticia que no llena portadas de periódicos ni quita el sueño a los españoles. Hablamos con Felipe Briones, fiscal Anticorrupción de Alicante, bueno, mejor dicho escuchamos con atención a Felipe Briones diseccionar el caso Sahara, territorio donde prácticamente nació y pasó su infancia y primera juventud, y al que sigue defendiendo de los ataques continuados de Marruecos y de la pasividad de España. Fue observador de la ONU para la colonia española y desempeña en la actualidad el cargo de secretario general de la Asociación Internacional de Juristas para el Sahara Occidental.

    Partimos de un hecho que va a sorprender a más de un lector que asocia el Sahara con una colonia española que fue cedida a Marruecos en la agonía del dictador Franco, hace ahora 40 años. “Desgraciadamente no es conocido pero a día de hoy, según Naciones Unidas, el Sahara sigue siendo territorio español y según también un auto de la Audiencia Nacional de España de 2014”.

    Es decir, que la jurisdicción española aún tiene competencias en el Sáhara “por el principio de territorialidad”, matiza Briones. Esto significa, y es muy importante, que el código civil rige en el pueblo saharaui.

    _(PREGUNTA) Los gobiernos españoles desde Suárez hasta Rajoy, ¿han mirado para otro lado en el caso del Sáhara para no vérselas con Marruecos?

    _(RESPUESTA) No. Han contribuido a la anexión del Sahara por parte de Marruecos.

    _(P) Pero Marruecos ha hecho un uso continuado de la violencia contra la población saharaui.

    _(R) Marruecos ha practicado la represión desde la Marcha Verde (1975).

    Es más, Briones recuerda otro hecho que parece que haya pasado desapercibido. El caso Sahara se encuentra en los juzgados españoles (en concreto en el juzgado central número 5 de la Audiencia Nacional) para dilucidar si hubo o no genocidio contra la población. De momento se han procesado a once personas y en palabras de Briones, “hubo un intento de hacer desaparecer a esta población”. ¿Cómo? “Con violaciones, torturas, desapariciones forzosas…”.

    _(P) El líder del Frente Polisario Mohamed Abdelaziz ha dicho recientemente que contempla la lucha armada “como una opción legítima”. ¿Qué opina?

    _(R) A los movimientos de liberación les corresponde legítimamente el uso de la fuerza armada para defender sus derechos en base a lo que ha establecido las Naciones Unidas.

    Pero tampoco esperen encontrar pesimismo en las palabras del fiscal alicantino. Porque Briones considera que el caso Sahara, “desde el plano político, va ganando enteros” de unos años a esta parte. Y se refiere al peso que ha logrado la república del Sáhara en la Unión Africana donde es miembro de pleno derecho (ocupa una vicepresidencia) y donde, por cierto, no pertenece Marruecos, precisamente porque acoge a los saharauis.

    La Unión Africana a través de una comisión de cinco jefes de Estado ha hecho un llamamiento a la asamblea de la ONU para que fije una fecha concreta para la celebración de un referéndum sobre la autodeterminación del Sáhara, cuestión que se lleva alargando tanto en el tiempo…

    Y mientras tanto, ¿qué ha hecho Europa?. “Bueno, la Unión Europea, que va en decadencia, ha seguido el proceso inverso de la Unión Africana”. Aún así Briones saca a relucir, por ejemplo los acuerdos de pesca con Marruecos, “ilícitos” para los servicios jurídicos europeos porque, entre otras cuestiones, no se solicitó la opinión del Frente Polisario; o la resolución todavía pendiente sobre el Sahara del gobierno de Suecia.

    Briones concluye con una frase que ha repetido a lo largo de la entrevista y que quiere “que le quede claro al lector”: “Hay que denunciar siempre, siempre, que Marruecos carece de soberanía en el Sahara”. Por nuestra parte, rescatamos otra frase contundente del fiscal Anticorrupción que si bien no lanzó al final de la entrevista, sino al principio de la misma, entronca bien con la anterior afirmación: “El Sahara está sedimentado sobre la corrupción marroquí”. Pensemos.

    Fuente: La voz del Sáhara Occidental en Argentina, 22 nov 2015

    Tags : Sahara Occidental, Frente Polisario, Marruecos, lucha armada, movimientos de liberación,

  • Un gesto de simpatía hacia Argelia desde los territorios ocupados del Sáhara Occidental (Video)

    Los saharauis llevan Argelia en lo más profundo de sus entrañas. Nunca podrán pagar la ayuda prestada por este país en un momento en el que la necesitaban para combatir esta abominable injusticia que es la invasión por parte de Marruecos del territorio por el cual lucharon contra el colonialismo español que gozaba con el apoyo del régimen del rey más sanguinaro en la historia de Marruecos, Hassan II.

    En los territorios ocupados, saben que cualquier manifestación de simpatía hacia Argelia será severamente castigada. A pesar de eso, no resistieron a la tentación y salieron numerosos en las calles de la ciudad de El Aaiun cantando « ¡One, Two, Three, viva l’Algérie! « . Un pequeño guiño a Argelia desde la parte ocupada del Sahara Occidental.

    Etiquetas: Sahara Occidental, Marruecos, Argelia, fútbol,

     

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  • “Si España hubiera aguantado el tirón a Marruecos en el Sáhara no hubiese habido una guerra. No había riesgo” – José Luis Rodríguez

    ALEJANDRO TORRÚS

    MADRID.- El 14 de noviembre de 1975, hace ahora 40 años, España violó la legalidad internacional y entregó el Sáhara Occidental a Marruecos y a Mauritania faltando a su propia palabra. España se había comprometido a descolonizar y a realizar un referéndum de autodeterminación en el territorio y, por contra, ejecutó una entrega del mismo a los mencionados países. Cuarenta años después de aquello y 24 años después del alto al fuego entre el Frente Polisario y Marruecos, la mitad de la población saharaui vive en condiciones infrahumanas en los campamentos de refugiados de Argelina y la otra mitad bajo ocupación marroquí en el Sáhara Occidental.

    El profesor de Historia en la Universidad rey Juan Carlos de Madrid José Luis Rodríguez Jiménez publica Agonía, traición y huida (Crítica), una crónica llena de testimonios y papeles privados de políticos y militares que da buena cuenta del abandono de España del Sáhara en medio del desinterés y la incompetencia del franquismo. “Lo he llamado así porque es la agonía del franquismo, con un dictador muriendo en la cama y su mano derecha asesinado; huida, porque la salida de España va a ser precipitada obligando a los civiles a marcharse; y traición, porque España en mayo de 1975 cambia su discurso y va a actuar de forma contraria a lo que lleva décadas diciendo que va a hacer respecto al Sáhara”.

    Para José Luis Rodríguez los motivos por los que España huye del Sáhara son tres: miedo por la situación interior con Franco agonizando; la opinión favorable de Estados Unidos para que Marruecos se quedara con el Sáhara y, por último, porque “hay gente que juega a favor de Marruecos a cambio de dinero”. Así, este hombre también denuncia que la mayor parte de la documentación sigue estando cerrada a los investigadores. ” España incumplió su palabra, tomó decisiones que no podía tomar en derecho internacional y ahí está el nombre de las personas responsables. Por eso están cerrados los archivos”, zanja Rodríguez.

    El 21 de octubre de 1975 el ministro Solis acude a Marruecos a una reunión con el rey Hassan II y transmite: “Digo solemnemente a V. M. que no queremos la independencia [del Sáhara Occidental]. Que lo que necesitamos es cubrir las formas y salvar nuestros compromisos internacionales y en que estemos de acuerdo para que el Sáhara sea de Marruecos”.
    Leída esta declaración de intenciones por parte de España, el plan salió a pedir de boca. El Sáhara está ocupado por Marruecos y no se ha celebrado ningún referéndum

    El 17 de octubre hay un Consejo de Ministros con Franco todavía medio vivo y, a partir de ahí, su deterioro físico es total. A partir del 20 de octubre, el presidente Arias Navarro y el ministro de la Presidencia, Carro, toman la decisión de negociar con Marruecos una solución gustosa para Marruecos. Envían a una persona de confianza como José Solís. El Gobierno español ya había ido girando hacia posiciones proMarruecos. Podemos decir que la presión de Marruecos funcionó.

    Hasta el momento, España había retenido el territorio por prestigio internacional y por intereses económicos y la última jugada de Marruecos había sido llevar el tema al Tribunal Internacional de la Haya. Cinco días antes de esa visita, el 16 de octubre, el Tribunal Internacional dictamina que Marruecos no tiene razón en su reivindicación y lo que hace Marruecos es intentar conseguir su objetivo con otra forma: la Marcha Verde. Marruecos actúa con brillantez y con una enorme voluntad. La voluntad que faltó por parte de España.

    “Estados Unidos era partidario de que el Sáhara no fuera un Estado propio y que lo ocupara Marruecos”

    ¿Por qué ese giro de la política española hacia posiciones pro Marruecos? Hasta el momento la dictadura de Franco no había dado muestras de querer salir del Sáhara y mucho menos de querer ceder el territorio a Marruecos.

    Los diplomáticos no cambian su postura y siguen trabajando en la ONU a favor de la descolonización del Sáhara. El que gira es el Gobierno de una dictadura que tiene en el Ejército a uno de sus pilares más importantes y que, por tanto, influye mucho en la toma de decisiones y máxime ahora cuando Franco está fuera de juego. La opinión de Franco había sido mantener el Sáhara como español. El cambio llega por cuestiones de política interior (crisis de sucesión de Franco, que se está muriendo), por temas de política exterior (EEUU apoya la entrega a Marruecos y no quiere un Sáhara independiente) y viene porque hay gente española que trabaja para Marruecos por un beneficio personal. El Sáhara se había convertido en un problema.

    ¿Por qué EEUU no quería un Sáhara independiente? ¿Por si se alineaban con el bloque soviético?

    Claro. El movimiento independentista saharaui estaba [y está] liderado por el Frente Polisario, que había recibido ayuda, fundamentalmente, de Argelia y Libia, que son aliados de la Unión Soviética. Si a esto añadimos la crisis de la OTAN con el cambio de Gobierno en Grecia; el conflicto con Turquía en Chipre; la revolución de los claveles en Portugal; y varios gobiernos democráticos criticando a la Alianza Atlántica… Pues Estados Unidos piensa que lo mejor es que no cambie nada en la zona y si hay algún cambio que no sea para crear un nuevo Estado. Prefiere que se lo quede Marruecos.

    “Tenemos que pensar que si el desenlace fue el que fue, será porque los que mandaban en España tomaron esas decisiones”

    ¿Hubo presiones de Estados Unidos a España para que cediera el Sáhara a Marruecos?

    EEUU desclasifica más la documentación que España. Es mucho más abierto. Lo que hemos podido ver es que no hay una presión fuerte sobre España por parte de EEUU. Sí hay indicaciones y recomendaciones. Una de las frases famosas de Kissinger es: “Yo no he leído en ningún sitio la necesidad de que surja un nuevo Estado sobre el mapa”. Era una manera de decir ¿qué necesidad hay de un nuevo Estado para 70.000 saharauis?

    Evidentemente, los políticos españoles y marroquíes hablan con EEUU porque es de sus aliados principales. También el príncipe de España (el rey Juan Carlos I) consulta con la embajada norteamericana junto al ministro de la Presidencia. Sabemos también que la administración norteamericana intenta frenar a Hassán porque a EEUU le preocupa un nuevo conflicto. EEUU juega a favor de Marruecos pero tampoco impone esta solución.

    ¿Y el rey Juan Carlos? El 30 de octubre de 1975 asume la jefatura del Estado y el día 2 de noviembre viaja al Sáhara.

    Para saber con precisión el papel que jugó Juan Carlos nos hace falta mucha documentación que sigue en cajones y que no están al alcance de los investigadores. No quieren que salga a la luz. Nos falta documentación de la Casa Real, de las actas del Consejo de Ministros, de la Junta de Defensa, del Estado Mayor, de las reuniones de los jefes militares, de las reuniones del jefe de Gobierno y el jefe del Estado. En definitiva, nos falta muchísima documentación.

    “Con Franco la política había sido quedarnos el máximo tiempo posible. Con Juan Carlos I, de repente, se cambia radicalmente el posicionamiento de España”

    Ahora bien, tenemos que pensar que si el desenlace fue este (la marcha de España y la ocupación del Sáhara por Marruecos) será porque los que mandaban en España tomaron esas decisiones. El rey fue al Sáhara fundamentalmente a pedir disciplina porque había una parte del Ejército que era contraria a la entrega del territorio. Es un viaje de buenas formas pero para entonces España ya había negociado y continuaba negociando con Marruecos.

    ¿Traicionó la voluntad de Franco?

    Nos falta documentación de archivos importantes porque no quieren que salga a la luz. Sí que es claro que el nuevo jefe del Estado cambió la política del anterior. Con Franco la política había sido quedarnos el máximo tiempo posible. Con Juan Carlos I, de repente, se cambia radicalmente el posicionamiento de España. Sin embargo, Juan Carlos I podría decir, siempre, que el cambio de política fue anterior a que él fuera jefe del Estado. De hecho, Solís viajó a Marruecos el 21 de octubre enviado por el presidente del Gobierno de Franco.

    ¿Había riesgo real de una guerra por el Sáhara? ¿Qué hubiese pasado si España hubiera respetado su propia palabra y el derecho internacional y hubiera completado el proceso de descolonización con un referéndum?
    Interpreto que hay gente que sí piensa que hay riesgo de conflicto. Los diplomáticos con los que he hablado dicen que apenas había riesgo porque Marruecos no se iba a atrever a atacarnos. El riesgo de guerra era mínimo. Si España hubiese aguantado el tirón no hubiese pasado nada. La amenaza marroquí no era real porque su ejército se desplazó a la frontera con Argelia, la zona donde el país argelino podía abastecer al Frente Polisario. El mensaje que muestra con este movimiento es que no piensa atacar a España. No obstante, aquí hay dos opciones: Marruecos se mueve por miedo a España o porque ya tiene un acuerdo con España. El riesgo de guerra fue limitado. España tenía planes de defensa y también de respuesta. Eso Marruecos también lo sabía y el rey Hassan II se estaba jugando el trono. Le han intentado matar dos veces sus propios militares.

    “La imagen internacional de España quedó muy deteriorada. Había prometido la descolonización y lo que hizo es entregar el territorio a dos países”

    ¿España ganó algo de los acuerdos de Madrid con Marruecos y Mauritania?
    Pierde la posibilidad de tener un Estado amigo en el Sáhara. En el momento de marcharse, perdió la posibilidad de firmar acuerdos en materia económica con el futuro gobierno saharaui. Ese gobierno iba a ser amigo de Argelia pero también podría haber sido amigo de España. Era una oportunidad para firmar acuerdos en materia pesca, fosfatos, uranio, cobre e, incluso, de desarrollo agrario. Eso se se perdió en ese momento. España obtiene, a cambio, la firma de una declaración de intenciones de Mauritania y Marruecos para establecer en el futuro acuerdos económicos y un gobierno tripartito en el Sáhara. España cumple su parte, de retirarse, y Marruecos y Mauritania no cumplen la suya. Y, después, a Marruecos, que le hemos regalado el territorio, no es un aliado muy fiable. Nos habían dicho de firmar acuerdos pesqueros, buenos para los dos partes, y tampoco se firman.

    Además, la imagen internacional de España queda muy deteriorada. Había prometido la descolonización y lo que hace es entregar el territorio a dos países. ¿A qué altura quedó la diplomacia española? ¿Es España un país fiable? La actuación lastró la imagen de España como un país difícil de confiar.

    Desde el punto de vista colonialista, ¿España ganó dinero con la colonización del Sáhara?

    No lo he medido económicamente con precisión, pero entiendo que no. La colonia tiene gastos importantes. El Sáhara otorga pesca y lo que paga la flota japonesa y soviética por pescar. Los otros ingresos provienen de las aduanas. Son ingresos pequeños. En el capítulo de gastos, España está construyendo carreteras, desarrollando la sanidad y la educación y subvencionando a los jefes de las tribus saharauis para que protesten poco.

    “Creo que España perdió dinero con la colonización del Sáhara Occidental”

    El gasto mayor fue en prospecciones y en la construcción de infraestructuras para las empresas que explotan el terreno. Creo que se perdió dinero. Allí había cobre, uranio y petróleo y España nunca llegó a explotarlo. Marruecos está explotando pozos de petróleo en zonas del Sáhara español. Lo lógico, en política internacional, es que España lo hubiera aprovechado de la mano de un gobierno saharaui.

    Parece que independientemente de la óptica España no hizo nada bien. No respetó la legalidad internacional, quedó como un país sin palabra, no ganó dinero y provocó la violación sistemática de los derechos de la población saharaui.

    Por eso es un tema del que no se quiere hablar. Como de la descolonización de Guinea, que tampoco salió bien. Y por eso es prácticamente imposible acceder a los archivos. Se cierran los archivos porque España tomó unas decisiones que no podía tomar en derecho internacional. España incumplió su palabra y ahí está el nombre de las personas responsables. Y como resulta que en España hay una tradición de sagas políticas y de sagas militares, que se han sucedido familias que siguen teniendo influencias, pues hay cosas que afectan a los descendientes, que siguen teniendo influencia en el mundo político, económico y militar.

    Fuente: publico.es

    Tags: Sahara Occidental, España, descolonización, traición, Franco, Marruecos,

  • La juventud saharaui atrapada en el desierto (documental)

    « Hamada » es el retrato de una juventud saharaui en los campamentos de refugiados de Tinduf, en Argelia. Pasan los días sin ningún tipo de actividad y no tienen perspectivas de futuro. Están atrapados por el conflicto del Sáhara Occidental que lleva enquistado 43 años.

    Según Rodríguez Serén, director de la publicación, « tiene una visión claramente feminista. Es una mujer muy determinada, muuy activa y muy osada. En ese sentido, al público le sorprende mucho porque el público tal vez no está acostumbrado a ver el retrato de una mujer árabe, musulmana y con esta determinación ».

    Tags : Sahara Occidental, Frente Polisario, Marruecos, Hamada, juventud, desierto, resistencia, mujer saharaui,

  • Mohamed VI reivindica el Peñón Velez de la Gomera

    La prensa española acordó mucho espacio al lujoso velero que el rey de Marruecos acaba de comprarse por la suma de 90 millones de dólares. Sin embargo, ningún medio se paró en el detalle del nombre ćon el que el monarca marroquí bautizó a su nuevo juguete marino : Badis, que es ni más ni menos que el nombre del peñón español Vélez de la Gomera.

    La iniciativa de Mohamed VI equivale a una declaración de guerra que no parece haber molestado a las autoridades españolas a pesar de ser una provocación en todas sus formas.

     Al sur del mar de Alborán, de cara a la acantilada costa del Rif y en otros tiempos hostil nido de piratas, se alzan el peñón de Vélez de la Gomera, las islas de Alhucemas (peñón de Alhucemas, isla de Mar e isla de Tierra) y las islas Chafarinas (isla de Isabel II, isla del Congreso e isla del Rey Francisco).
    Todos estos territorios, que en su conjunto no suman más de tres km2, son, junto con las ciudades de Ceuta y Melilla, los territorios españoles en el norte de Africa. Su diminuta extensión y su alejamiento de las rutas habituales de tráfico marítimo los hace hoy en día languidecer con pequeñas guarniciones militares que los custodian. Estos «presidios», como a veces se los llama haciendo referencia a su pasado como prisiones (aunque el término «presidio» en español hace referencia a las guarniciones militares que se mantenían en las fronteras, no necesariamente a prisiones), se encuentran hoy en día sin población civil que habite permanentemente en ellos, exceptuando algunos pescadores que de vez en cuando se acercan a sus puertos para intercambiar alimentos o bebida a las guarniciones españolas, o para refugiarse de alguno de los temporales del estrecho de Gibraltar. Antiguamente, estos tres territorios llegaron a disfrutar de una población y de una importancia muy superior a lo que de su reducida extensión se podría esperar. Siempre fueron parte del territorio español, dependientes de Ceuta y Melilla. No formaron parte del Protectorado que España tuvo en el norte de Marruecos desde 1912, y tras la independencia de este país, en 1956, quedaron como lo que desde hace cuatro siglos han sido, plazas de soberanía aisladas de las costas peninsulares.

    Situado a unos 80 km al oeste de Alhucemas y unos 117 al este de Ceuta, el peñón surge de repente al doblar un cabo. Es un gran peñasco triangular, de unos 225 metros de largo y unos 77 de alto, unido por un minúsculo puente de madera a una isleta llamada de San Antonio. El peñón de V élez de la Gomera, llamado así por una deformación de los nombres de Hades (la antigua ciudad que había en la costa) y la comarca rifeña de la Gomara, fue ocupado por España en 1508, cuando una expedición al mando de Pedro Navarro expulsó a los piratas que poblaban la zona y que saqueaban insistentemente las costas andaluzas y levantinas de la Península Ibérica.

    Acorralado por el derecho a la autodeterminación del pueblo del Sahara Occidental, Marruecos mantiene la presión sobre España que para la ONU sigue siendo la potencia administradora del territorio no autónomo saharaui y como tal, su posición pesa en la solución de este contencioso que lleva más de 43 años y que atraviesa actualmente una etapa decisiva a raiz de la dimisión del Enviado Personal del Secretario General de la ONU para el Sahara Occidental, Horst Kohler.

    Tags : Marruecos, Sahara Occidental, España, autodeterminación,

  • El Yate del Sátrapa de Marruecos

    El sátrapa de marruecos Mohamed VI se ha regalado un velero de 90 millones de Euros, uno de los 10 más grandes del mundo, mientras sus súbditos tiene que marcharse de su tierra.

    Las excelentes relaciones de este sinvergüenza con los Borbones permiten que el estado español tenga que hacer frente a elevados gastos de asistencia de quienes se ven obligados a huir.

    Cada Euro que se destina a ello es dinero que le permite al sátrapa comprarse relojes de más de dos millones o pasar largas temporadas en París en donde da rienda suelta a su mente viciosa mientras los contribuyentes de aquí pagamos lo que debería pagar su corrupto país.

    Ante esta depravación, silencio absoluto no se vaya a ofender el amigo de Felipe y admirador ferviente de Letizia. Jo qué asco.

    Iñaki Anasagasti

    Fuente : Su blog

    Tags : Marruecos, Mohamed VI, España, velero, barco, lujo, menas, menores no acompañados, immigración,

  • Las princesas que se fugaron de su reino.

    Son hermosas, ricas y privilegiadas; son princesas de Oriente Medio. Y, sin embargo, decidieron dejar a sus palacios, sus familias y, a veces, incluso su país. Lalla Salma, esposa del rey de Marruecos, Latifa Al Maktoum, de los Emiratos Árabes Unidos, y hoy Haya, que abandonó a Dubai. Todas estas princesas se han fugado para escapar de una vida que probablemente estaba lejos de ser un cuento de hadas …

    Las imaginamos disfrutando en el corazón de suntuosos palacios orientales … ¡Pero en realidad, su vida es más como una travesía del desierto que los famosos cuentos de « Las mil y una noches »! En los últimos años, varias princesas orientales han huido de su país para encontrar la serenidad. Privados de libertad en su reino, prefirieron buscar refugio en Occidente. ¿Quiénes son estas herederas que desaparecieron de la noche a la mañana?

    La princesa Haya huyó de Dubai recientemente

    La esposa del Emir de Dubai, Haya Bint al Hussein, conocida como « Haya de Jordania », ha escapado recientemente para buscar refugio en el Reino Unido, pasando primero por Alemania. Una vez llegada este miércoles 3 de julio a Londres, esta dama de 45 años quisiera divorciarse, pero no es tan simple.

    Ella es la última y más joven esposa de Sheikh Mohammed bin Rachid Al Maktoum, Emir de Dubai. Actualmente, vive enclaustrada en su lujosa residencia de Kensington Palace Gardens, acompañada por sus dos hijos de 11 y 7 años.

    La prensa británica informa que ella tiene « miedo de ser asesinada o devuelta a Dubai ». Según « Detained in Dubai », una ONG que apoya la liberación de prisioneros en el país, este reciente ejemplo de fuga sería « la acusación más grave de su marido ». La organización también se pregunta sobre las motivaciones profundas que empujaron a su Alteza Haya, una mujer social y comprometida, a tomar una decisión tan radical …

    Por su parte, Sheikh Mohammed aún no consigue contener su ira, sobre todo porque la pareja parecía muy enamorada hasta hace poco. En las redes sociales, se dirigió públicamente a su esposa con vehemencia: « Has traicionado la más preciosa de las confianzas », « para mí, ya no tienes ningún lugar en mi corazón », « Me importa un pito que estés viva o muert ».

    Sheikha Latifa había intentado de escapar el año pasado.

    En marzo de 2018, pocos meses antes de la desaparición de Haya, Cheikha Latifa Al Maktoum, la hija de 33 años del Emir, ya había tratado de huir. ¿Están vinculadas las dos desapariciones? El hecho es que esta última había intentado huir en barco con la ayuda de Hervé Jaubert, un antiguo espía francés; pero su plan de instalación en los Estados Unidos finalmente fracasó al final, fue interceptada fuera de la India y devuelta por la fuerza al palacio, donde según alguna fuentes, ahora está detenida.

    Después de su intento de fuga en marzo de 2018, la joven había publicado un largo video en las redes sociales, en el que predijo lo peor: « Si ves este video, es que la cosa está fea. O estoy muerta o estoy en una situación muy, muy mala « , advirtió.

    También sabemos que ella ya había intentado irse cuando era adolescente, y que luego fue maltratada, encarcelada durante varios años después de su regreso. ¿Se repite el caso otra vez, está castigada actualmente por este nuevo intento? Desafortunadamente, no hay noticias de Latifa desde su regreso al palacio.

    Entonces, bien podría ser que esta abortada partida de Latifa, la hija del Sheikh, esté relacionada con la reciente decisión de huir de Haya, su suegra. La armonía de la pareja real habría, tal vez, haya volado en pedazos, señala « Madame Figaro ». Además, según la BBC, « fuentes cercanas a la princesa Haya dijeron que recientemente descubrieron hechos preocupantes detrás del misterioso regreso a Dubai de la Sheikha ». Ahora que está libre en el extranjero, ¿Haya de Jordania revelará el final de la historia? Por ahora, el misterio permanece intacto …

    Lalla Salma, desaparecida de Marruecos hace dos años.

    Al igual que Haya y Latifa, la heredera marroquí Salma Bennani, conocida como Lalla Salma, también desapareció hace cerca de dos años. La esposa del rey Mohammed VI, había sido una pionera, una mujer de carácter a la que se había acordado más libertad.

    Su esposo le había permitido aparecer en la prensa nacional e internacional, pero luego quiso divorciarse por razones oscuras. Esta reina, un viento de modernidad en esta monarquía conservadora, se vio obligada a irse y vivir hoy reclusa y en el anonimato.

    En un esfuerzo grave para intentar que vuelva, Mohammed VI no proporciona ninguna información sobre la causa que llevó a Lalla Salma a desaparecer. Un motivo que parece embarazoso para el palacio real, que prefiere cubrir sus escándalos. La Princesa Lalla Salma, sin embargo, dos años después, sigue sin paradero conocido. Sigue invisible, pero probablemente libre.

    Etiquetas: Marruecos, Dubai, Lalla Salma, Princesa Haya, Sheikha Latifa, Mohammed VI, Sheikh Mohammed ben Rachid Al Maktoum,