Étiquette : Mohammed VI

  • Maroc : Réapparition de Lalla Salma – Le Makhzen pas très convaincant

    Le site Bladi a raison de mettre la nouvelle en conditionnel et sous interrogation. La prétendue réapparition de la princesse Lalla Salma semble être une mise en scène imposée par la presse internationale, notamment la presse people et les retombées de cette dernière sur la réputation de la monarchie marocaine.

    En effet, son divorce du roi du Maroc n’aurait suscité aucun commentaire s’il n’était pas accompagnée d’una disparition inexplicable.

    Le silence du palais sur l’affaire a suscité la réserve des médias, mais son absence lors de la visite des Rois d’Espagne et du Prince Harry et son épouse Meghan Markl a confirmé les nouvelles sur son divorce et a donné vie à des nouvelles qui, jusque-là n’étaient que des rumeurs. L’hypothèse de son assassinat a été soulevée faute d’explications sur son effacement de la scène publique et médiatique. La presse est allé jusqu’à faire le lien entre son divorce et l’orientation sexuelle du souverain marocain.

    Le palais royal a subi une forte pression et il fallait qu’il réagisse en vue de stopper cette campagne médiatique qui risque de s’en prendre à l’image créée par la machie de propagande di régime sur la prétendue modernité de la monarchie.

    C’est ainsi qu’un média proche du palais a diffusé des images dont il est impossible d’identifier la princesse disparue. Des photos floues dans un restaurant qui ne prouvent rien.

    Mohammed VI, lors de ses sorties, n’a jamais échappé aux caméras des portables des citoyens lambda. Par contre, Lalla Salma, lors de ses prétendus séjours en Italie, en Grèce et au Marocn’a jamais éte photographiée malgré qu’elle est facilement reconnaissable. Elle n’aurait jamais échappé aux paparazzis ni aux simples ressortissants marocains résidant à l’étrenger.

    Ainsi dont, sous la pressio, les autorités marocaines ont présenté une pièce qui a fait un tollé, mais pas très convaincante. Plus grave encore, cette mise en scène faire craindre le pire sur le sort d’une princesse très populaire et charismatique. Selon des rumeurs populaires, elle a été poignardée par Lalla Hasna, une des sœurs de Mohammed VI.

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, divorce, disparition,

  • WikiLeaks : Ce que pense Bouteflika du roi du Maroc

    Un fossé d’incompréhension et de préjugés sépare les dirigeants algérien et marocain. Les télégrammes révélés par le site WikiLeaks montrent à quel point les divergences sont profondes. En plus du conflit sur le Sahara occidental qui empoisonne les relations entre Alger et Rabat, les deux dirigeants ne s’apprécient guère.

    Le président algérien voit en Mohammed VI un homme non ouvert et qui manque d’expérience.

    L’aversion de Abdelaziz Bouteflika pour le roi marocain est telle qu’il promet, dans une confidence à l’assistante du président américain George Bush pour la sécurité intérieure et l’antiterrorisme, Frances Fragos Townsend, de ne pas «lui serrer la main».

    Le président algérien dit avoir une préférence pour le frère du roi, Moulay Rachid, avec lequel il affirme avoir «plaisanté et discuté agréablement» lors d’une rencontre à Séville, en Espagne, selon un autre mémo américain. «Nous avons bavardé et plaisanté avec bonheur, mais je ne peux pas faire la même chose avec le roi, car nous n’avons pas le même sens de l’humour», a-t-il déploré. Concernant le Sahara, le chef de l’Etat algérien assure que s’il pouvait résoudre le problème, il le ferait. «Mais je ne peux pas parler à la place des Sahraouis», dit-il. «Ce qu’il faut c’est que le Maroc et le Polisario trouvent une solution et ils peuvent le faire avec l’aide des Américains», aurait ajouté le président algérien.

    En février 2008, selon un autre télégramme émis après un entretien avec un diplomate américain, Abdelaziz Bouteflika a jugé qu’au lieu de faire preuve d’une approche «élégante» en acceptant une indépendance du Sahara occidental qu’ils auraient pu «contrôler» ou «superviser», les Marocains souhaitent en réalité « un «anschluss» (un rattachement) comme Saddam Hussein avec le Koweït». Le «plan d’autonomie» voulu par Rabat à la place du référendum d’autodétermination n’offre, d’après Bouteflika, qu’un semblant d’autonomie. Les provinces algériennes en ont davantage vis-à-vis d’Alger, soutient-il.

    Les visées malsaines de Paris

    A en croire les mémos diffusés par WikiLeaks, le président algérien rumine sa rancune auprès de la France qui n’aurait, selon ses mots repris par Le Monde, «jamais vraiment accepté l’indépendance algérienne» et tente de régler ses comptes avec l’Algérie «en appuyant le Maroc».Les Français, «du fait du poids de leur histoire coloniale au Maghreb, sont incapables de jouer un rôle constructif dans le conflit» du Sahara, a-t-il aussi estimé lors d’une rencontre avec Frances Fragos Townsend, conseillère du président George W. Bush pour les affaires de sécurité, selon ces mémos rendus publics par Le Monde. Il semble que le président français a été assez maladroit dans sa diplomatie envers les pays du Maghreb. Alors que le président algérien lui attribue des visées malsaines, le Maroc s’est senti «trahi» par le fait qu’il ait réservé son premier déplacement hors d’Europe à l’Algérie.

    Si le président critique sans ménagement le royaume chérifien, les proches du roi lui rendent la pareille. Ils expliquent, en juin 2009, au représentant personnel du secrétaire général de l’ONU, Christopher Ross, que «le pouvoir est toujours entre les mains de généraux dogmatiques», «pétrifiés» à l’idée du plan d’autonomie pour le Sahara présenté par Rabat. L’Algérie est décrite comme une «menace», un pays qui ferait barrage au Maroc pour lutter efficacement contre le terrorisme et qui chercherait à se doter de l’arme nucléaire.

    Dans la note du 31 juillet 2007, Fouad Ali Himma, adjoint du ministre de l’Intérieur, souligne, après un voyage effectué à Alger, que «les efforts marocains répétés pour réduire le fossé diplomatique ont été rejetés». «Nous avons dit aux Algériens que le Maroc était prêt à rouvrir sa frontière et à prendre d’autres mesures pour rétablir la confiance, mais les Algériens ne nous ont jamais dit ce qu’ils voulaient», prétend-il. Les Américains jugent, eux aussi, sévèrement le Maroc.

    Un câble diplomatique daté du 4 août 2008 et provenant de l’ambassade américaine à Rabat, répercuté par El Pais, Thomas Riley, ambassadeur des Etats-Unis au Maroc de 2003 à 2009, est longuement revenu sur la «coopération exemplaire» entre les armées des deux pays. Mais il insiste également sur la corruption au sein de l’armée marocaine en citant nominativement un général.D’autres mémos évoquent des pratiques frauduleuses dans le secteur immobilier au Maroc.

    El Watan, 5 déc 2010

  • Bouteflika méprise le roi du Maroc à qui il ne serrera jamais la main

    Abdelaziz Bouteflika méprise le roi Mohamed VI. Et il l’a fait savoir aux Américains au cours d’entretiens au Palais d’El Mouradia, selon des documents du site WikiLeaks révélés vendredi 3 novembre dans la soirée par le quotidien espagnol El Pais. Mais le président algérien a assuré à ses interlocuteurs que l’Algérie ne fera pas la guerre au Maroc à cause du Sahara occidental et ne permettra pas au Front Polisario de combattre depuis le territoire algérien. Toutefois, la frontière restera fermée jusqu’à la résolution du conflit au Sahara Occidental, a expliqué le président Bouteflika.

    « Je ne serrerai pas la main du roi ». Le président Bouteflika a fait cette déclaration en juin 2006 à l’assistante du président américain George Bush pour la sécurité intérieure et l’antiterrorisme, Frances Fragos Townsend, en visite à Alger. Avant de décrire le monarque marocain comme « pas ouvert » et « sans expérience », selon la même source.

    Selon Abdelaziz Bouteflika, feu Hassan II et Moulay Rachid, frère de l’actuel roi, sont plus ouverts. Le président Bouteflika évoque une rencontre avec Moulay Rachid lors d’un match à Séville, en Espagne. « Nous avons bavardé et plaisanté avec bonheur, mais je ne peux pas faire la même chose avec le roi, car nous n’avons pas le même sens de l’humour », a-t-il déploré.

    Selon un document daté du 1er juillet 2006, le président Boutelika a avoué, d’après l’ambassadeur américain à Alger, qu’il croyait au dialogue pour résoudre les problèmes avec le Maroc. Mais il ne croit pas à un dialogue avec le roi Mohamed VI.

    Les présidents Bush et Chirac ont essayé de rendre le président Bouteflika plus clément à l’égard du roi. Le président algérien a rappelé que le roi était encore un enfant quand lui-même était déjà un vétéran de la diplomatie. Mais le roi a fait subir un affront au président Bouteflika en annulant à la dernière minute une visite du Premier ministre à Rabat. « Je ne suis pas Jésus, je ne vais pas tendre l’autre joue », avait alors déclaré Bouteflika.

    Samir Allam

    Source: OSSIN, 21/12/2010

    Tags : Algérie, Maroc, Bouteflika, Mohammed VI, Wikileaks, Sahara Occidental,

  • Maroc : Makhzen ou tumeur du Maroc

    La tumeur en question est une augmentation pathologique de la corruption, d’un enrichissement disproportionné de la famille royale ainsi que de hauts fonctionnaires civils et militaires.

    Cette tumeur est due à une prolifération de l’analphabétisme, l’illettrisme, l’émigration, d’un manque d’engagement politique et de revendications socioculturelles fortes de la population.

    Le but de cette tumeur qu’est le Makhzen, c’est de cancériser le Maroc en le tenant dépendant de sa volonté. Car le Makhzen, système féodal qui n’a plus lieu d’être au 21ème siècle, a limité la population au seul niveau d’avoir le souci du lendemain : nourrir sa famille, se vêtir … les éléments basiques d’une vie décente.

    Il est vrai que quand le lendemain n’est pas garanti sur des choses aussi simples que la nutrition, on est moins en crin à se révolter, militer etc… car les soucis sont autres. Le genre de souci qui vous paralyse et peu sont prêts à prendre le risque d’une balle perdue, d’un emprisonnement à vie qui pousserait au suicide.

    Le Makhzen est tel un désherbant qui veut assécher les racines, greffer sa propagande et rabaisser au rang de citoyens de seconde zone la grande majorité du peuple, suivant aveuglement sa doctrine et ayant peur de la répression.

    Changer et ne plus être sous l’emprise du Makhzen c’est partir, et s’en aller c’est traverser la méditerranée sans conditions d’âge et de sexe car au fond tout le monde veut s’enfuir. A chaque tumeur son hémorragie, celle des marocains est l’émigration.

    Où sont donc les infrastructures, les hôpitaux, les écoles et universités qui manquent tant dans ce pays ? Où est donc la rétribution de l’engagement de nos aïeux dans la libération du pays ? Etc…

    Tant de questions sans fin qui restent sans réponses puisque les marocains ignorent tout de leur passé, ils n’honorent même pas le sacrifice de ceux qui ont eu le courage de prendre les armes et de combattre l’ennemi chez lequel une partie d’eux vit aujourd’hui.

    Ils honorent un Roi qui commence tous ses discours par « Cha3biya l3aziz… », un pantin pour les grandes puissances occidentales qui convient pour l’instant, à croire que le Maroc est encore sous l’emprise du protectorat. Un Makhzen qui gave ses oies avec la rétrospective royale chaque jour au journal télévisé répétant sans cesse qu’il descend du prophète et qu’il est celui qui voit grand et qui fait tout pour ce pays.

    Quelle est au juste la légitimité de ce pouvoir ? Celui d’un Roi alaouite descendant du prophète !! Nous sommes des millions à descendre du prophète voire des centaines de million, est ce que pour autant nous avons le droit d’une quelconque autorité sur celui qui ne l’est pas…

    Il n’y a pas de changement sans révolution et de révolution sans pertes humaines. Ce qu’il manque aux marocains, c’est le courage dont ont su faire preuve ceux d’antan mais s’en souviennent ils donc ?

    Outre les belles plages, des paysages magnifiques, de la bonne cuisine… voici la réalité du Maroc, celle d’un pays où la populasse pourtant lasse de la précarité, ne peut décider librement et démocratiquement de son sort et celui de ses enfants.

    Ceux qui arrivent à s’organiser, militer etc… finissent par être manipulé soit de l’intérieur, soit de l’extérieur. Pire, même la corruption aide à les neutraliser car tout s’achète au Maroc. L’honneur et la fierté ne sont plus depuis que cette tumeur de Makhzen a prostitué la si belle femme vertueuse et pudique qu’était le Maroc, cela y a fort longtemps mais on s’en souvient plus car la maladie nous a fait perdre l’esprit.

    Tags : Maroc, Makhzen, Mohammed VI, corruption, népotisme, clientélisme, favoritisime, enrichissement illicite,

  • Maroc – Algérie : Bouteflika, le cauchemar de Mohammed VI

    Dans ses dernières révélations, « WikiLeaks » rapporte que Mohammed VI et sa cour sont obsédés par tout ce qui concerne l’Algérie. Il est arrivé aux responsables marocains comme à cette personne qui a un marteau et qui, de ce fait, voit partout des clous.

    Le roi Mohammed VI et sa cour sont obnubilés par l’Algérie. Selon les dernières révélations du site « WikiLeaks », la préoccupation majeure de l’Armée royale concerne l’Algérie. Selon les documents de « WikiLeaks », l’Armée marocaine possède des « plans d’attaque d’urgence » et effectue des simulations stratégiques pour contrer un éventuel assaut algérien.De son voisin de l’Est, l’Algérie, Mohammed VI n’y voit que des menaces et se lance alors, dans une campagne de dénigrement international, particulièrement envers les Américains. En témoignent les documents irréfutables publiés par le site « WikiLeaks ».

    Dans ses notes, Rabat accuse l’Algérie de vouloir s’attaquer au Maroc, de refuser la collaboration sécuritaire, d’avoir favorisé la création d’« Al Qaîda » au Maghreb et, comble de la lubie royale, l’Algérie serait même sur le point de fabriquer la bombe atomique !

    C’est à peine si Rabat n’avait pas écrit que l’Algérie infestait la jeunesse marocaine par les tonnes de drogue qu’elle expédiait via les frontières. Dans leurs échanges avec les responsables américains en visite à Rabat, les officiels marocains accusent les Algériens de ne pas coopérer avec eux dans la lutte antiterroriste.Le directeur général pour la surveillance du territoire (services de renseignements intérieurs), Abdelatif Hammouchi, se livre d’une manière déconcertante aux Américains. Lors de la visite à Rabat de l’assistante du président américain pour la sécurité intérieure et l’antiterrorisme, Frances Fragos Townsend. « La coopération avec les Algériens est erratique » affirme Hammouchi. « Parfois ils nous fournissent de très bonnes informations et parfois on dirait qu’il s’agit d’impasse. Ce sont des partenaires difficiles », ajoute Yassine Mansouri (chef de la direction générale des études et de la documentation, le service de contre-espionnage marocain), citant une note diplomatique du 31 juillet 2007, publiée par « WikiLeaks ».

    Plus tôt, la même année, le directeur général des affaires bilatérales au ministère marocain des Affaires étrangères Youssef Amrani, avait ainsi « suggéré que l’émergence d’+ Aqmi + était principalement due aux échecs du gouvernement algérien », rapporte une note du 18 mai. Une position que ne partagent visiblement pas les Etats-Unis qui défendent la politique antiterroriste de l’Algérie. A l’accusation de Amrani, un diplomate américain répond que « le + GSPC + a été forcé de s’associer avec + Aqmi + parce que le gouvernement algérien a réussi à le marginaliser ». Dans la même note, le diplomate américain constate que Khalid Zerouali, en charge de la sécurité des frontières marocaines au ministère de l’Intérieur, « s’est hérissé » lorsque les officiels américains ont cité l’Algérie comme « un modèle » dans la lutte antiterroriste en Afrique du Nord. Les documents de « WikiLeaks » révèlent aussi que le Maroc soupçonne depuis longtemps l’Algérie de chercher à développer un programme nucléaire militaire. Cette inquiétude a été rapportée dans une note diplomatique américaine du 21 novembre 2006 transmise cinq jours après un entretien entre le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères marocains, Omar Hilale, et l’ambassadeur américain à Rabat au sujet du programme nucléaire de l’Iran. Hilale affirme ainsi qu’ «un Iran doté de l’arme nucléaire serait un désastre pour la région et spécialement pour le Maroc.

    Les diplomates américains en poste à Rabat évoquent « une armée marocaine minée par la corruption et la bureaucratie »

    « Cela provoquerait une course à l’armement dans la région et cela accélèrerait la poursuite de ce qu’il a décrit comme un programme nucléaire militaire algérien similaire, même s’il n’est que naissant ».« Si l’Iran réussit, dans les dix ans, d’autres pays du Moyen-Orient auront la bombe et les Algériens suivront peu après », a-t-il dit, précise la note. Au cauchemar algérien s’ajoute l’épine du Sahara occidental. A une certaine période, près de 70% des effectifs des forces armées marocaines étaient déployés au Sahara occidental.Les masques sont tombés: il s’agit d’une armée d’occupation. Avec de pareilles révélations, il sera maintenant difficile au Maroc de justifier ses exactions et surtout les massacres que cette même armée vient de commettre au Sahara occidental. Par ailleurs, le site « WikiLeaks » a fait d’autres révélations, notamment le portrait peu flatteur que font d’elle les Américains. Dans un câble classé « secret » daté d’août 2008, les diplomates américains en poste à Rabat évoquent « une armée marocaine minée par la corruption et la bureaucratie, de faibles niveaux d’éducation dans ses rangs, une marginalisation politique, des équipements vieillissants et un déploiement de la plupart de ses forces dans le Sahara occidental ».

    Pour Bouteflika, la France tente de régler ses comptes avec l’Algérie « en appuyant le Maroc »

    Les quotidiens « El Pais (Espagne) » et « Le Monde (France) », montrent des divergences de vues importantes entre Alger et Rabat au sujet du conflit au Sahara occidental. Des divergences qui viennent s’ajouter à la mésentente totale entre le président Bouteflika et le roi Mohamed VI. « Si je pouvais résoudre le problème je le ferais. Mais je ne peux pas parler à la place des Sahraouis » . Ce qu’il faut, c’est que « le Maroc et le Polisario trouvent une solution, et ils peuvent le faire avec l’aide des Américains », a déclaré le président algérien lors d’une rencontre. C’est ce qu’a déclaré en 2007 à Alger le président Bouteflika à l’assistante du président américain George Bush pour la sécurité intérieure et l’antiterrorisme, Frances Fragos Townsend. Les Français, confiera le président Bouteflika lors d’une autre rencontre relatée par des diplomates américains, « du fait du poids de leur histoire coloniale au Maghreb, sont incapables de jouer un rôle constructif dans le conflit ». Selon lui, « la France n’a jamais vraiment accepté l’indépendance algérienne ». Elle tente aujourd’hui de régler ses comptes avec l’Algérie « en appuyant le Maroc ». En février 2008, recevant un diplomate américain, le président algérien dénonce « le plan d’autonomie » voulu par Rabat à la place du referendum d’autodétermination au Sahara occidental. Pour lui, la proposition marocaine n’offre qu’un semblant d’autonomie. Les provinces algériennes ont d’avantage d’autonomie vis-à-vis d’Alger que ce que propose Rabat pour le Sahara occidental, a fait remarquer le président algérien. Une position réaffirmée, en novembre 2009, devant le chef du commandement américain pour l’Afrique (Africom), le général William Ward. « Vous ne pouvez pas défendre l’application d’un principe pour la Palestine et un autre principe pour le Sahara occidental ».

    Doutes sur la zone de libre échange maghrébine- Bouteflika et Mohammed VI, distance et f roideur

    La zone de libre-échange maghrébine sera opérationnelle en 2011. L’annonce faite par le secrétaire général de l’« Union du Maghreb Arabe », Habib Ben Yahia aurait du soulever l’enthousiasme des médias maghrébins, elle les a laissé presque froids. Et pour cause. Une zone de libre-échange suppose un minimum de convergence politique qui n’existe pas. Les premiers documents « Wikileaks » sur les relations entre Alger et Rabat, sans faire de grosses révélations, le confirment. Les premières révélations de « Wikileaks » sur les relations algéro-marocaines, hormis certaines appréciations crues, confirment des positions connues. Les divergences entre l’Algérie et le Maroc sur le dossier du Sahara Occidental sont de l’ordre du fondamental et constituent un facteur bloquant.

    La distance est si grande entre les deux plus grands pays maghrébins qu’on voit mal comment une zone de libre-échange dans laquelle ils seraient inclus serait possible. Quand à l’idée d’une zone de libre-échange à quatre – Tunisie, Libye, Mauritanie sans le Maroc ou sans l’Algérie – aucun des pays de l’« UMA » ne se risquerait à l’accepter car elle passerait pour une prise de position inamicale vis-à-vis de « l’exclu ». Dans ce contexte, la zone de libre-échange annoncée risque de n’être qu’un autre texte juridique ou accord sans traduction concrète. A l’évidence, c’est cela le vrai objet de l’annonce de M. Habib Ben Yahia. La Convention sur la zone de libre-échange va être finalisée avant la fin de l’année par le groupe de travail installé lors de la 9e session du conseil des ministres maghrébins du Commerce, tenue en mai à Tripoli. Les sherpas ont donc travaillé et mis au point le document. Il lui restera à passer par les sas des ministres du Commerce des pays de l’« Union du Maghreb », puis aux ministres des Affaires étrangères. « La convention relative à la création de cette zone est fin prête et sera signée par les ministres du commerce des pays de l’UMA avant de la soumettre au Conseil des ministres des Affaires étrangères », a indiqué Habib Ben Yahia. Cela constituerait déjà un progrès si des pays comme l’Algérie et la Libye acceptent une zone de libre-échange qui ne leur sera pas d’un grand bénéfice économique dans l’immédiat contrairement à la Tunisie et le Maroc, mais les obstacles d’ordres politiques ou psychologiques restent entiers.

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Wikileaks, Bouteflika, Algérie, Sahara Occidental,

  • Buteflika y el Sáhara, según las revelaciones de Wikileaks

    Argel 001219 CONFIDENCIAL

    EO 12958: DECL: 01/07/2016
    TAGS: PREL, PBTS, WI, MO, AG
    TEMA: SAHARA OCCIDENTAL, Bouteflika, relaciones con MARRUECOS

    Archivado por: Richard Ambassador W. Erdman: Razones 1.4 (b), (d)

    1. (C) La Consejera Frances Fragos Townsend, Asesora del Presidente sobre Seguridad Nacional y Contraterrorismo, se reunió con el Presidente Bouteflika durante tres horas y media el 18 de junio, en presencia del Director Superior de Contra-Terrorismo del NSC. y Malvesti DCM Michele Townsend. El asesor de antiterrorismo de Bouteflika, el señor Rezzag Bara, y un tomador de notas también estuvieron presentes. Este cable se centra en sus discusiones sobre el Sahara Occidental y las relaciones con Marruecos.

    2. (C / NF) Durante gran parte de la reunión, Bouteflika planteó la cuestión del Sahara, señalando que los visitantes de los Estados Unidos siempre han querido discutirlo con él. Townsend señaló que tanto el presidente Bush había pedido a Bouteflika como al rey Mohamed VI que buscaran la manera de resolver la disputa. Townsend dijo que apreciaba el papel de Bouteflika en la liberación por el Polisario el verano pasado de 404 prisioneros marroquíes, y señaló que « no habría ocurrido sin su corage ». Se le preguntó a Bouteflika sobre la resolución histórica sobre este tema.

    3. (C / NF) Bouteflika respondió que el país más grande del mundo, los Estados Unidos, debería respetar las decisiones de la ONU sobre el Sahara Occidental. Recordó que en su primera reunión con el presidente Bush en 2001, el presidente le había pedido que trabajara con James Baker. « Bouteflika notó que había apoyado el Plan Baker, aunque sin la solicitud del presidente Bush, no lo habría hecho.

    Ahora, dice, Argelia está bloqueada con Marruecos; « Aceptan todo lo que rechazamos y viceversa ».

    Bouteflika comentó sobre el impase, recordando dos importantes decisiones de Argelia: « El Sáhara Occidental nunca será un casus belli para Argelia », y recordó que « claramente le he dicho a los marroquíes que Argelia no tenía reivindicaciones sobre el Sahara Occidental, ni en territorio ni en recursos.

    4. (C / NF) « Este problema, lo resolvería si pudiera », pero « No puedo hablar en nombre de los saharauis ». Marruecos y el Polisario deben encontrar una solución, con ayuda estadounidense. Argelia apoyará un acuerdo entre Marruecos y el Polisario. Pero, la solución no puede ser impuesta a la población saharaui. En este caso, Argelia defenderá el derecho de los saharauis a la autodeterminación.

    5. (C / NF) « No quiero estrechar la mano del rey ». Sin embargo, Bouteflika agregó: « Hace poco me encontré con el hermano del rey, el príncipe Moulay Rachid, en Sevilla, donde ambos fuimos invitados del rey juan carlos. Bouteflika dice que tuvo una larga conversación con Moulay Rachid. « Bromeamos. Charlamos y bromeamos alegremente, pero no puedo hacer lo mismo con el rey porque no tenemos el mismo sentido del humor ». El Rey Mohamed VI, « no es abierto, y le falta experiencia ». En un raro momento de autocrítica, Bouteflika dijo que tenía un punto débil: cree que los problemas deben resolverse a través del diálogo, pero no cree en el diálogo entre él y Mohamed VI.

    6. (C / NF) Townsend dijo que la cuestión del Sáhara Occidental seguía siendo un tema de gran interés para el Presidente Bush. Añadió que la ausencia de un arreglo obstaculizaría la cooperación regional en la lucha contra el terrorismo y evitaría que los países del Magreb alcanzaran un nivel de relaciones económicas que fuera rentable para todos. Bouteflika sugirió que James Baker sería una buena fuente de consejos para el presidente, es un hombre con « cualidades excepcionales ». Se preguntó si el presidente podría convencer a Baker para que retomara su rol anterior. Bouteflika concluyó que la oferta de concesiones a Marruecos « daría una bonificación a los más indisciplinados de la clase. » Estados Unidos « no deberían otorgar a Marruecos una bonificación por mal comportamiento ».

    7. (U) El Asesor del Presidente sobre Seguridad Nacional y la Lucha contra el Terrorismo Frances Fragos Townsend ha autorizado este mensaje.
    Erdman.

    – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – –
    ALGUERES CONFIDENCIALES 000733

    SIPDIS

    E.O. 12958: DECL: 25/06/2028
    TAGS: PREL, MO, WI, AG
    ASUNTO: BOUTEFLIKA EN EL SAHARA OCCIDENTAL: NUESTROS RESPALDOS SON
    CONTRA LA PARED – AYUDA

    1. El Embajador Robert S. Ford, clasificado por razones 1.4 (b) y (d). 1. (C) El presidente Bouteflika plegó por que los Estados Unidos ayuden a romper el estancamiento en el Sahara Occidental durante la visita de despedida del embajador el 24 de junio. Bouteflika dijo que Estados Unidos siempre ha apoyado la autodeterminación, y el cambio aparente en su política de apoyo a la posición de Marruecos es doloroso y confuso para los argelinos. Agregó que tuvo mucho cuidado de no dejar que las relaciones bilaterales sufran debido al cambio en la política de Estados Unidos sobre el Sáhara Occidental, pero con el apoyo de Estados Unidos y Francia a Marruecos, « estamos la espalda contra la pared ».

    2. (C) El embajador le dijo a Bouteflika que Estados Unidos siempre ha apoyado la idea de autonomía como una forma de superar los problemas de una manera pragmática. Dijo que si las dos partes no adoptaban una actitud realista, el estancamiento actual podría durar otros 30 años o incluso más. El embajador dijo que sería mejor para los refugiados saharauis vivir con una buena autonomía en lugar de seguir viviendo en campamentos de refugiados. Añadió que Estados Unidos no le pidió al Polisario que aceptara el plan de Marruecos, sino que aceptara la negociación sobre la autonomía y que pusiera su propia propuesta sobre la mesa. El embajador continuó diciendo que Estados Unidos favorecería una amplia autonomía. Citó el ejemplo de los kurdos en Irak que aceptan operar en un estado iraquí unido.

    3. (C) Bouteflika respondió que Argelia no comprometería el derecho saharaui a elegir la independencia, y agregó que los argelinos estaban considerando este tema como principio. Los estados poderosos no deberían permitirse aplastar a los débiles. Bouteflika dijo que Estados Unidos ha apoyado la independencia de Timor Oriental y, por lo tanto, también debería apoyar a los saharauis. El Polisario tiene su propia influencia diplomática en el continente africano, agregó, que es algo que Argelia no puede simplemente ignorar. Bouteflika dijo que los marroquíes habían cometido un error al vincular la seguridad del trono con el Sahara Occidental. Argelia no ha tratado de desestabilizar a Marruecos. La estabilidad de Marruecos, insistió, es esencial para la estabilidad en Argelia.

    4. (C) Bouteflika le dijo al embajador que era decisión de los saharauis decidir si quieren o no la independencia, incluso si la solución final se haga por etapas a lo largo de varios años. Añadió que esta es la razón por la que Argelia ha abrazado el Plan Baker con entusiasmoo. Después de que el embajador señalara que el plan Baker no generó un movimiento hacia una solución, Bouteflika volvió a suplicar a Estados Unidos que ayude a romper el estancamiento actual. 5. (C) Comentario: Está claro que Bouteflika no presionará a los saharauis para que discutan solo de autonomía con los marroquíes; Los argelinos nos han dicho lo mismo en los últimos nueve meses. Dicho esto, como lo hizo con el subsecretario de AEN Welch (ref), Bouteflika dijo que quería encontrar una salida a este impase. Simplemente no hay nuevas ideas oara llegar a esto. FORD

    Tags : Marruecos, Argelia, Sahara Occidental, Wikileaks, Bouteflika, Mohammed VI,

  • Le Mystère du Maroc : Où est la femme du roi ?

    Source: NOS (Pays Bas)

    On l’appelle l’un des plus grands mystères du Maroc : la disparition de l’épouse du roi Mohammed VI. La princesse Lalla Salma n’a pas été vue depuis presque deux ans. Depuis fin 2017, elle n’apparaît plus en public.

    Ce week-end, le prince britannique Harry et la duchesse Meghan visiteront le Maroc, eux aussi ne verront certainement pas la princesse. Où est-elle allée de toute façon ?

    Lalla Salma, la première femme d’un roi à apparaître dans la publicité
    Retour à 1999. Le roi Mohammed a connu Lalla Salma à une fête. Le choix qu’il a fait pour la jeune fille civile qui a travaillé en tant qu’officier des TIC a été surprenant, mais a été applaudi.

    Jusque-là, la femme d’un roi marocain n’était pas autorisée à apparaître en public, même les photos étaient inhabituelles. Mohammed VI a rompu avec cette tradition. La princesse n’était aussi régulièrement vue que pour des fonctions cérémonielles, comme l’inauguration de Willem-Alexander, ou pour son travail pour l’Organisation mondiale de la santé OMS.

    Salma, qui a maintenant 40 ans, est très populaire auprès du peuple marocain. Elle était vêtue d’une élégante couture française, portait fièrement son énorme bouquet de boucles rouges et était impressionnée par un discours à l’ONU sur les droits des femmes. En 2014, elle a été élue  » femme la plus inspirante du monde arabe « .

    Salma disparaît

    Avance rapide jusqu’en octobre 2017 : le dernier moment où Salma a été vue en public. Après cela, elle a complètement disparu des projecteurs.

    Parce qu’elle a été la première femme du roi à apparaître en public, il est encore plus frappant qu’elle ne le fasse plus.

    Les médias marocains sont anxieusement silencieux, mais cela ne s’applique pas aux collègues espagnols. L’année dernière, ils ont écrit que le roi et sa princesse étaient séparés. Cette nouvelle est arrivée une semaine après que le roi ait subi une chirurgie cardiaque à Paris.
    Fait remarquable, la princesse Salma était absente alors que le reste de la famille se tenait à son chevet. La famille royale marocaine elle-même ne commente pas : rien n’est confirmé, rien n’est nié.

    Le divorce est autorisé au Maroc et le roi Mohammed VI lui-même a légiféré en 1999 pour mettre fin aux mariages forcés et aux mariages entre plusieurs épouses. Mais le divorce pour quelqu’un qui a une fonction aussi exemplaire reste inhabituel.

    En parler est tabou, dit le correspondant Willemijn de Koning. « Quand la question sur son divorce a été posée à un porte-parole, ils se sont sentis vraiment gênés.

    Visites d’État sans Salma

    Au début de ce mois, la princesse Salma n’était pas présente lors d’une visite officielle du roi d’Espagne Felipe et de la reine Letizia. Et c’était frappant : lors de visites précédentes, Salma Letizia avait fait le tour du Maroc et ils semblaient s’entendre très bien. C’est ainsi que la rumeur de sa mystérieuse « disparition » s’est relancée.

    Sa belle-sœur, la princesse Lalla Meryem, a rempli le rôle de première dame lors de cette visite d’État. Harry et Meghan la verront probablement aussi ce week-end. Une fois de plus, aucune question n’a été posée dans les médias marocains sur l’absence de Salma. Reste à voir si cela se fera ce week-end, avec la visite de Harry et Meghan.

    Pourquoi ne savons-nous rien ?

    Entre-temps, il y a beaucoup de spéculations sur Lalla Salma et le roi : un divorce est une possibilité et la rumeur dit que Salma a acheté une villa sur l’île grecque Kea. Révéler ce qui se passe vraiment, c’est ne pas le faire, dit De Koning. « Aucune source marocaine n’en parle. Au Maroc, toute la question est gardée secrète.

    L’attitude du roi précédent joue toujours un rôle important, explique le correspondant. « Le roi précédent était un grand dictateur dont on ne pouvait rien dire si l’on voulait être sûr de sa vie. Cette peur joue toujours un rôle, tant chez les gens que dans les médias. C’est fou quelque part, parce que le roi actuel est généralement très populaire. Mais c’est précisément pour cela que les gens ne parlent pas de certaines choses qu’ils acceptent, comme la disparition de sa femme du domaine public.

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, divorce,

  • Média belge : La disparition de Lalla Salma, a-t-elle quelque chose à voir avec la nature gay du roi du Maroc?

    La disparition de la princesse marocaine Lalla Salma a-t-elle quelque chose à voir avec une prétendue orientation homosexuelle du roi marocain Mohammed VI ?

    Depuis deux ans, les médias mondiaux se demandent où est la princesse Lalla Salma. L’épouse du roi marocain Mohammed VI (55 ans) a disparu depuis deux ans. Et maintenant que la famille royale a récemment interdit la publication d’un article révélateur sur le sujet, l’énigme ne fait que s’agrandir.

    Selon plusieurs sources proches du palais, le roi et la princesse marocains sont maintenant séparés et la famille royale veut à tout prix garder cela du monde extérieur. Mais maintenant que la publication d’un nouvel article du journaliste Ferran Sales Aige, intitulé « Mohamed VI, le prince homosexuel devenu roi du Maroc », a été bloquée par la cour marocaine, plus de questions que de réponses se sont ajoutées.

    Selon le journaliste Ferran Sales Aige, le mariage entre le roi Mohammed VI et sa femme a été brisé parce que le roi aurait été homosexuel. L’article présumé couvrait plusieurs témoins et examinait également les anciennes escapades sexuelles du Roi pendant ses études à Bruxelles, ce qui montre que le Roi était un client régulier d’un certain nombre de bars gays connus dans notre capitale pendant ses études. Le père de Mohammed VI aurait également fait contrôler son fils par un détective et serait intervenu lorsque son fils aurait reçu un nombre impressionnant de visiteurs masculins dans son palais princier.

    Il se peut que nous ne sachions jamais si les affirmations sont vraies ou non. Le palais royal n’a jamais confirmé ou nié la prétendue séparation entre Mohammed VI et Lalla Salma. L’homosexualité est également un sujet extrêmement sensible dans le pays islamique. La prétendue orientation de Mohammed VI aurait même suscité des doutes quant à son aptitude à diriger le pays, car le roi est aussi le chef religieux du Maroc. L’homosexualité est un  » haraam  » parmi les musulmans, strictement interdit. En outre, des rumeurs suggèrent que la princesse vit sur l’île grecque de Kea, tandis que d’autres rumeurs suggèrent qu’elle a pu être assassinée.

    Le fait que le tribunal marocain interdise la comparution de l’article du journaliste en question ne fonctionne qu’au détriment du tribunal, et beaucoup se demandent si c’est un signe sur le mur ? De plus, il semble que le roi Mohammed VI fasse tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher la publication prochaine d’un livre de Gérard Fauré, un ancien chef de la mafia française. Ce livre révélerait que le roi pourrait bien être responsable de la mort de son propre père, le roi Hassan II du Maroc. Dans le livre, l’auteur promet de fournir des preuves du  » meurtre ordonné  » de l’ancien monarque.

    L’homosexualité est punissable au Maroc et les gens risquent toujours trois ans de prison. Le pays n’a pas de loi sur l’égalité des droits et le gouvernement continue de  » chasser  » régulièrement les homosexuels et les transgenres. La communauté LGBT marocaine vit dans la clandestinité et est soutenue par l’organisation Kif-Kif, qui, en tant qu’organisation de défense des droits LGBT, a été interdite et harcelée à plusieurs reprises par le gouvernement. En 2017, le ministre marocain des droits de l’homme, Mustafa Ramid, a déclaré aux membres des Nations unies que les homosexuels sont des déchets. C’était sa réponse à la demande de l’ONU de retirer l’homosexualité du droit pénal au Maroc. Sa déclaration a été fortement critiquée dans le monde entier, y compris par nos politiciens belges Geert Bourgeois (N-VA) et Ann Brusseel (Open Vld).

    Holebi.info, 11 mars 2019

    Tags : Maroc, Mohammed VI, gay, homosexuel, homosexualité, Lalla Salma, divorce, disparition,

  • Lalla Salma et Mohammed VI du Maroc « ont divorcé » : la révélation qui dérange…

    Un divorce surprise au lieu de noces de saphir ?

    Pour vivre heureux, vivons cachés ? Pas nécessairement, dans le monde de la royauté… Alors que la plupart des familles royales, du Royaume-Uni à la Jordanie et de l’Espagne à la Scandinavie, partagent avec le public les grands événements qui jalonnent la vie personnelle de ses membres (mariages, naissance, etc.), la famille royale marocaine tend au contraire à cultiver la discrétion. Et c’est avec surprise qu’on apprend que le mariage du roi Mohammed VI du Maroc et de la princesse Lalla Salma, en apparence solide, pourrait être terminé…

    L’hebdomadaire espagnol Hola! s’est chargé de jeter le pavé dans la mare royale : « Le roi Mohammed VI du Maroc, 54 ans, et la princesse Lalla Salma, 39 ans, ont divorcé, divorce qui est déjà effectif, comme l’ont confirmé plusieurs sources proches du palais à Hola! », a avancé la publication sur son site Internet le 21 mars 2018, soulignant au passage qu’il s’agissait du jour même où le couple, qui avait été uni le 21 mars 2002 à Rabat, aurait dû célébrer son 16e anniversaire de mariage. De cette union sont issus le prince héritier Moulay El Hassan, qui aura 15 ans le 8 mai prochain et assume déjà un nombre croissant de missions officielles (le grand et très élancé adolescent prenait part mardi dans la capitale marocaine à un dîner offert en l’honneur de François Hollande, en visite culturelle), et la princesse Lalla Khadija, qui a fêté le 28 février ses 11 ans.

    TROUBLANTE DISPARITION…

    La revue ibérique souligne que la princesse Lalla Salma (née Bennani) avait disparu de la scène publique depuis avril 2017 et la visite officielle qu’elle avait faite à Cuba et Miami au côté du souverain marocain. Depuis, sa dernière – superbe – apparition publique sur le sol marocain avait eu lieu à l’occasion de l’inauguration du Musée Yves Saint Laurent à Marrakech, en octobre 2017, et, fait suffisamment remarquable pour être signalé, alors qu’elle prenait part quelques jours plus tard à une conférence de l’OMS en Uruguay, elle n’avait plus mené aucune action publique pour le compte de sa fondation contre le cancer, le plus notoire de ses combats philanthropiques – il lui a notamment valu le Tribute Award du Bal de la Riviera en 2016 et la médaille d’or de l’OMS en 2017.

    Elle ne se trouvait pas non plus au chevet de son époux le roi Mohammed VI lorsque celui-ci a été opéré fin février en France à la clinique Ambroise-Paré de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) à la suite d’un « trouble du rythme cardiaque », quelques mois après une précédente intervention également pratiquée en France, en septembre 2017, pour une lésion bénigne à l’oeil.

    L’intervention chirurgicale passée, le palais royal avait communiqué des nouvelles assorties d’une photo du successeur du roi Hassan II entouré de toute sa famille : ses enfants Moulay El Hassan et Lalla Khadija, son frère le prince Moulay Rachid et ses soeurs les princesses Lalla Meryem, Lalla Asma et Lalla Hasna… mais pas de Lalla Salma. Une absence, difficile à expliquer, qui sautait aux yeux.

    ET MAINTENANT ?

    Le roi Mohamed VI, qui règne depuis 1999 et fut le premier souverain marocain à donner à son épouse un titre royal (Son Altesse Royale la princesse Lalla Salma) et un rôle public, réagira-t-il à cette révélation de Hola!, alors qu’il poursuit actuellement sa convalescence (il a d’ailleurs été salué cette semaine par des compatriotes en plein Paris, dans le Marais et en voiture, comme l’a observé le site Le 360) ? Ou bien Lalla Salma, ingénieur en génie informatique de formation et régulièrement citée parmi les premières dames les plus stylées de la planète, réapparaîtra-t-elle pour clarifier la situation ?

    En attendant, Hola! se penche déjà sur ce à quoi pourrait désormais ressembler sa vie, entre éducation de ses enfants et retoPure Peopleur dans l’ombre, et spécule sur le fait qu’elle va peut-être passer prochainement un peu de temps « en France, où elle a des amis, ou en Grèce, où elle possède une maison ».

    Du côté des médias d’information marocains en revanche, on a en tout cas accueilli cette nouvelle avec beaucoup de circonspection.

    Le portail Yabiladi se borne ainsi à parler de « rumeurs insistantes sur la famille royale marocaine », que le journaliste espagnol Ignacio Cembrero avait initiées suite à la fameuse photo du 26 février en s’interrogeant, s’appuyant aussi sur des rumeurs relayées par le site Le Crapouillot marocain : « Doit-on conclure que Lalla Salma ne fait plus partie de la famille royale ? », écrivait-il sur Facebook. Une question qui reste pour l’heure en suspens…

    Pure People, 22 Mars 2018

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, divorce, disparition, rumeurs,

  • Salma du Maroc, sa prison dorée

    L’ex- princesse consort vivrait toujours au Maroc, à Dar Es Salam, résidence royale située à Rabat. La princesse quadra y vit avec sa fille , la princesse Khadija, 13 ans.

    L’élégant prince Moulay Hassan , 16 ans, est lui parti vivre à Marrakech depuis septembre 2018. Il a en effet quitté le collège royal de Rabat pour entamer des études au lycée préparatoire aux techniques aéronautiques, en vue de passer un bac spécialisé.

    Il souhaite devenir pilote, et son père en est d’accord. J’espère qu’il n’arrivera rien au prince dans ce type de carrière , car il n’y a pas pléthore d’héritiers et je doute qu’une femme puisse régner au Maroc… Le brave garçon apprend à cumuler études, stress familial et apprentissage de prince. A 16 ans, c’est un peu beaucoup.

    Marqués par la séparation de leurs parents, les deux enfants auraient vu leurs résultats scolaires baisser . Ils auraient souffert » plus que prévu » du choc, selon le magazine espagnol. Moulay Hassan rentre dès qu’il le peut passer le weekend à Rabat auprès de sa mère et de sa soeur.

    Le roi, lui, voyage beaucoup pour se faire soigner. Il souffrirait de soucis cardiaques et d’une maladie auto-immune. Il se ressource auprès de sa fratrie, et de ses copains. Il prépare activement la transmission à son fils, au cas où.

    On peut imaginer que les deux enfants n’apprécient pas de voir leur maman vivre une vie de prisonnière recluse, esseulée, rejetée par leur propre père et la Cour.

    Non seulement Salma vit-elle recluse dans son palais, mais ses appels téléphoniques sont filtrés. La flamboyante et businesswoman cheikha du Qatar essaie de l’appeler ? On lui répond que Salma n’est pas « disponible ». Idem pour d’autres dames royales arabes qui auraient tenté de joindre leur amie. En vain . Vraiment charmant. On peut imaginer qu’elle est surveillée en permanence.

    Salma ne pourrait sortir sans autorisation personnelle du roi. On l’a vu aller au cinéma Atlas ou au Mega Mall avec ses enfants. On a aussi vu en 2018-2019 la princesse et ses enfants à Nice, en Grèce ou à Portofino.

    Ciné, shopping, déjeuner, vacances dolce vita, tout semble très normal et tranquille, mais en fait rien ne serait possible sans l’autorisation expresse de M6. M6 aurait très envie d’isoler encore plus son ex en la reléguant dans une autre résidence non royale, où elle ne serait plus à la vue de la Cour. En effet, dans les résidences royales, Salma pourrait encore croiser des gens de la famille royale. M6 avait prévu une villa rachetée à un ancien ministre de l’Intérieur, mais il a finalement décidé d’y loger un ami boxeur marocain allemand qu’il admire énormément, et ses deux frères. Priorité aux copains.

    Très clairement, la famille royale marocaine a tourné le dos à Salma. D’ailleurs, Salma a aussi perdu tous ses « amis » et autres obséquieux prudents , et autres faux culs. En effet, elle ne leur sert plus à rien et on craint d’être trop proche d’une femme en disgrâce. Dans un pays autoritaire comme le Maroc, il vaut mieux faire attention. Lui reste sa famille.proche, pere et soeurs .

    En novembre 2018, la mise au ban de Salma apparut de façon éclatante à la mort de sa grand-mère, celle qui l’avait élevée. ( Salma a perdu sa maman quand elle avait 3 ans) . Salma se retrouva assez seule aux funérailles, car « personne » ne vint ou n’osa venir. A peine, un cousin de M6, plutôt en bisbille avec le roi, osa se fendre d’un tweet de condoléances. D’aucuns présentèrent leurs condoléances, et encore en toute discrétion. Bien sûr, le prince héritier vint soutenir sa mère. On comprend que ses résultats scolaires en aient pâti : déménagement, divorce des parents, perte de sa grand-mère, voir la détresse de sa mère…

    Même
    M6 eut vent de ce boycott indécent et en prit ombrage. Aux 40 jours suivant la mort de ladite grand-mère, eut lieu un service religieux traditionnel en l’honneur de la défunte et cette fois, il y eut bien plus de monde autour de Salma…

    La Fondation contre le cancer de Salma tourne au ralenti, faute de fonds et de la présence de sa Présidente, qui est interdite d’apparition. C’est la secrétaire générale de la fondation qui assure désormais les événements publics. La princesse n’a plus le droit de rien faire visiblement. Elle se doit de devenir une ombre, oisive et inutile ?

    Si vous êtes en France, en Italie, observez si vous croisez une dame aux beaux cheveux flamboyants et chapeautée, cela pourrait être Salma.

    Salma avait injecté un vernis de modernité, mais force est de constater que la monarchie marocaine s’avère aussi archaïque qu’avant avec la Mère des princes cachée ( Lalla Latifa vit désormais entre Neuilly et Versailles avec l’ancien chef de la sécurité du Roi Hassan II, dont la rumeur dit qu’il est le vrai papa de M6…)

    Ce n’est pas très élégant de la part du roi de traiter ainsi la propre mère de ses enfants, comme une chose, un truc à cacher. Il aura beau chouchouter sa fillette, cela ne change à rien. Il y a quelque chose de dérangeant de voir le roi ériger ses enfants en substituts, alors qu’ils devraient déjà aller à l’école.

    On ne peut que déplorer qu’il reproduise ce que son propre père avait fait à sa mère en la blacklistant, la mettant au secret . A la ( grande) différence qu’il laisse cependant les enfants voir leur mère , une chance qu’il n’avait pas eue, souffrant d’être isolé de sa génitrice. Bon, il y a du progrès.

    Néanmoins , le roi pourrait laisser le droit à son ex de mener quelques opérations caritatives. Elle est charismatique et il craint qu’elle ne fasse de l’ombre à son auguste majesté. Salma est populaire , belle, charismatique, moderne, et aurait tout pour devenir une Diana marocaine, a fortiori sans contrôle royal. Pour éviter tout risque, comme à Tokyo, M6 choisit de nous la transformer en Masako du Maroc: aux oubliettes et muselée.

    D’ailleurs, j’attends de voir ce que va faire Masako quand elle deviendra impératrice la semaine prochaine…eh oui, c’est bientôt !

    Source: L’EFFET COLIBRI, THE HUMMINGBIRD EFFECT

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, divorce,