Étiquette : Mohammed VI

  • Maroc : L’étrange silence de la famille de Lalla Salma

    Beaucoup trop de silence au tour du mystère de la princesse Lalla Salma :

    – Le silence assourdissant du palais sur le divorce du couple royal.

    – Le silence de la presse marocaine.

    – Le silence des pseudo-démocrates marocains résidents à l’étranger

    – Le silence des rois, princes, princesses, ducs et duchesses du monde entier qui ont eu l’occasion de la côtoyer. Parmi eux, nombreux sont ceux qui ont loué son charisme, sa beauté et son élégance.

    – Le silence de son père, professeur à l’école normal supérieure de Fès.

    – Le silence de sa grand-mère maternelle (Hajja Fatma Abdellaoui Maane). C’est elle qui l’a élevée après le décès de sa mère Naïma Bensouda alors qu’elle n’avait que 3 ans.

    – Le silence de ses 4 sœurs dont 3 issues du second mariage de son père. L’une d’elle est médecin.

    Pour rappel, la « princesse fantôme », a été vue pour la dernière fois en décembre 2017. Au Maroc, les rumeurs sur sa disparition font rage. Enfermée dans un palais de Mohammed VI ? Poignardée par Lalla Hasna, sœur du Roi ? Personne ne peut répondre à ces questions. Au pays de Mohammed VI, ils se cachent derrière le silence, ce qui fait craindre le pire.

    Le roi du Maroc a menacé la presse française en raison de ses publications sur ce mystère, mais il n’apporte aucune preuve qui corrobore ses dires sur sa vie privée. Une sortie d’un membre de sa famille aiderait à atténuer les soupçons sur son sort.

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma,

  • L’Aston Martin, voiture préférée de Mohammed VI, vendue au Maroc

    Au Maroc, la marque Aston Martin défraye la chronique pour la deuxième fois en annonçant l’ouverture d’une succursale au royaume hachémite.

    La première fois c’était en 2009 lorsque la voiture Aston Martin de Mohammed VI est tombée en panne. En vue de la réparer, le roi du Maroc n’a pas lésiné sur les moyens en vue de réparer sa voiture de luxe. Il l’a fait embarquer à bord d’un C-130, avion cargo des forces aériennes marocaines.

    En faisant ainsi, il était loin de deviner que la presse britannique allait le dénoncer. En effet, dès son arrivée à l’aéroport de Cranfield, la voiture a été embarquée sur le camion approprié pour être acheminée vers les ateliers mécaniques de la compagnie constructrice au village Newport Pagnell. Quelqu’un a prévenu le journal The Sun qui était au rendez-vous et a pris en photo la délicate voiture du souverain marocain.

    Ainsi, les marocains ont découvert le penchant de leur roi pour le luxe, mais aussi pour les dépenses faramineuses au détriment du bien-être des citoyens marocains qui évoluent quotidiennement dans des conditions assez précaires.

    Mohammed VI ayant une Aston Martin, les marocains vont se bousculer pour en avoir une. La marque pourrait de bonnes affaires au Maroc.

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Aston Martin, voitures de luxe, concessionnaire,

  • Lalla Salma du Maroc citée parmi les « Meghan Markle en fuite »

    Selon le journal La Razón, Lalla Salma du Maroc fait partie des « autres Meghan Markle : des princesses en fuite à la recherche du bonheur »

    « Haya de Jordanie, Sarah Ferguson et Alexandra du Danemark sont quelques exemples de princesses qui ont renoncé à la couronne », précise le media espagnol.

    « Lalla Salma est arrivée et partie pour faire de l’histoire au Maroc. Celle qui était le symbole de l’ouverture et de la modernité à la Cour alaouite, a fait renoncer le roi Mohamed VI à avoir le droit d’avoir plus d’une femme, a été répudiée et a fini dans une mystérieuse évasion. On ne sait rien de la princesse à la crinière rousse qui, en mars 2018, s’est séparée du roi pour mener une vie plus simple et plus commune, même devant renoncer à la compagnie de ses enfants, Moulay Hassan et Lalla Khadija. Au Maroc, nombreux sont ceux qui affirment qu’elle est morte, mais il semble qu’elle s’est réfugié sur l’île grecque où elle vit son exil », conclue-t-il.

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, Meghan Markle, Lady Di, Haya de Jordanie, princesse,

  • Lady Di, Meghan Markle, Haya de Jordanie, Lalla Salma du Maroc… les princesses rebelles

    Les révoltes familiales dans les palais royaux n’est pas un fait nouveau en Europe. A Londres, où sévit une des dynasties les plus anciennes de l’Europe, Margaret, la sœur de la Reine Elisabeth, a cassé tous les protocoles. Elle buvait, fumait et fuyait les protocoles.

    Il y a aussi Caroline de Monaco, devenue célèbre pour sa désobéissance qui s’est marié trois fois avec des hommes que ses parents n’appréciaient pas. Sous le même toit, elle avait une copie conforme d’elle, Stéphanie, la fille des Grimaldi.

    Ensuite arriva Diana, le jeune naïve que le prince Charles a épousée et qui est devenue une femme sophistiquée qui a gagné la sympathie du public même après sa mort. Son empathie avec le public, ses œuvres sociales dans les années 1980 n’étaient pas bien vues par Buckingham. Mais la bombe était l’interview qu’elle a accordée à la BBC en 1995 sur sa vie conjugale.

    L’épouse du fils de Lady Di a décidé de faire partie de la liste des princesses qui se rebellent contre le protocole de la couronne. En effet, le fils de Diana, le prince Harry a soutenu la décision de Mehgan Markle de renoncer à la royauté pour se donner le temps de vivre une vie normale.

    Mais parfois, le palais tend à dissimuler ses problèmes internes comme c’est le cas de La princesse Haya de Jordanie, sœur du roi Abdallah de Jordanie qui du jours au lendemain a quitté le toit conjugal doré de l’homme puissant d’Abou Dhabi pour se réfugier au Royaume Uni au nom de la quête de liberté.

    Un cas similaire a eu lieu au Maroc où le roi Mohammed VI poursuit son refus de donner des nouvelles de son ex, la princesse Lalla Salma, connue dans les milieux bling-bling pour sa beauté, élégance et charisme. Elle était ambassadeur d’honneur de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et présidente de l’association Lalla Salma pour la lutte contre le cancer et elle était le meilleur ambassadeur de son pays dans les tribunes de la communauté internationale. Mais, du jour au lendemain, elle est disparue. Le palais refuse même d’annoncer le divorce du couple royal officiellement.

    Le pouvoir nourrit l’espoir de faire oublier la princesse des cœurs des marocains. En vain. La popularité de Lalla Salma, autant à l’intérieur qu’à l’extérieur du Maroc, maintiendra toujours son souvenir dans les esprits de ceux qui l’ont connue et côtoyée.

    Tags : Maroc, Lalla Salma, Mohammed VI, Lady Di, Meghan Markle, prince Harry, Haya de Jordanie,

  • Maroc : nouveau mensonge du Makhzen sur Lalla Salma

    Décidémment, le Makhzen ne sait plus à quel saint s’avouer pour justifier la disparition inattendue de Lalla Salma qui jusqu’à preuve du contraire est toujours l’épouse du roi du Maroc puisqu’aucune déclaration officielle n’a été faite un présumé divorce royal.

    Pour des raisons que tous les marocains connaissent, le palais royal tentent de véhiculer des fausses informations sur la princesse marocaine disparue en diffusant des photos sorties des archives. Ni les prétendues sorties de Jamaa El Fna, ni celle du centre oncologique de Béni Mellal, ni la photo sur le prétendu séjour à New York avec ses enfants n’ont convaincu le public qui n’a plus aucun doute sur le sort de la désormais « princesse fantôme » dont le conte de fées s’est transformé en cauchemar.

    Les autorités marocaines ont tenté de manipuler le journaliste espagnol Ignacio Cembrero dans l’espoir de convaincre que Lalla Salma qu’elle a été rencontrée par la sœur du prince Hicham Alaoui. C’était peine perdue ! Aucun argument n’est acceptable par l’opinion publique nationale et internationale si ce n’est l’apparition en chair et en os de la princesse Lalla Salma. Aujourd’hui, les dirigeants marocains veulent faire croire que Lalla Salma est triste du sort du champion de basket-ball Kober Bryant et qu’à l’occasion de sa mort, elle présente ses condoléances à la famille du joueur américain.

    L’histoire de Lalla Salma dévoile la nature de la monarchie alaouite. Une monarchie misogyne qui a utilisé cette pauvre femme pour donner une fausse image de la monarchie pour être ensuite cruellement assassinée ou emprisonnée dans un des palais du souverain marocain.

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, disparition,

  • Maroc : « Lalla Salma, une sorte de Meghan Markle maghrébine » (journal italien)

    Sous le titre de « le Maroc des mystères : qu’est-il arrivé à la cour de Mohammed VI », se demande le journal Dagospia.com en quête de réponse sur le sort de la princesse Lalla Salma qu’il qualifie de « sorte de Meghan Markle maghrébine ».

    Pour le média italien, les scandales du palais se multiplient. Le dernier en date, une histoire de vol de bijoux appartenant au roi du Maroc. « Les bijoux du roi dont une montre Patek Philippe qui coûte 1,2 millions, incrusté de 893 diamants », précise-t-il. « La date du vol n’est pas précisée, la liste des biens volés n’est pas précisée: la presse nationale en parle peu et ce qui se passe au palais – dans les 12 palais du roi Mohammed, cinquième homme le plus riche d’Afrique – reste au palais », a-t-il ajouté.

    Pour le média italien, « il arrive souvent qu’un mystère en rouvre un autre: et ainsi, alerté dès le début du procès des voleurs de la cour – 25 accusés, dont une dame et divers bijoutiers – la presse internationale a repris la question de la princesse consort Lalla Salma, qui n’a pas été vue en public depuis décembre 2017 ».

    D’après Dagospia, le site Afrik.com, «rapporte des rumeurs dans l’entourage du roi sur le « chaos » dans lequel l’absence de Lalla aurait précipité le ménage du palais. Et précisément parmi les «connaissances équivoques» que le roi fréquente en son absence, il y aurait à chercher les «taupes» qui ouvraient la porte aux vulgaires voleurs de rue ».

    Pour lui, « la richesse de Mohammed, roi d’un pays pauvre, les soupçons sur la fin de son mariage, ses voyages fréquents à l’étranger ne font pas bon ménage à l’image du « roi des pauvres » qu’il veut véhiculer auprès de ses sujets ».

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, diamants, bijoux, Pattek Philippe, montres, palais royal,

  • Maroc : Quand Abdelmalek Alaoui traite Ali Lmrabet de « traître »

    Dans cet email, Abdelmalek Alaoui, directeur de Global Partnership Intelligence, traite Ali Lmrabt de « traître » en raison d’un article sur Hicham Alaoui.

    Voici l’article :

    Ali Lmrabet

    J’ai accroché ce matin sur ce mur l’interview du prince Hicham El Alaoui dans le quotidien espagnol El Pais. L’idée était de donner l’information mais aussi d’étudier certaines réactions.

    Voilà un prince alaouite, petit-fils de roi, neveu de roi et cousin de roi, et de surcroît troisième dans la ligne de succession au trône, qui assur…e à contrecourant de tout ce qui s’écrit et se dit au Maroc, que notre pays n’est pas une « exception » dans la région, et que s’il n’introduit pas des réformes urgentes et profondes il y aura inévitablement des troubles autrement plus graves que ceux de Tunisie.

    Son analyse appelle à un débat. Parce que c’est un intellectuel, parce qu’il n’est pas n’importe qui et enfin par le sérieux, ou la gravité, des choses qu’il avance.

    Qu’il ait raison ou pas c’est une autre histoire. Chacun est libre d’interpréter à sa manière ces déclarations et s’il a des arguments contraires à ceux du prince il peut les présenter dans un débat d’idées comme dans tout pays civilisé. Le Maroc est bien un pays civilisé, n’est-ce pas ?

    Or, depuis une bonne dizaine d’heures depuis que j’ai accroché cette interview aucun cybermakhzenien, aucun « flic dans sa tête », aucun vrai flic de la DST, de la DGED, des RG, des renseignements de la gendarmerie ou des bureaux de l’armée, ne s’est manifesté, ni n’a osé critiquer ce qui normalement, pour infiniment moins que ça, vaut à ce mur un tombereau d’injures et d’accusations malveillantes de la part des services, des désaxés et des ignorants.

    Si je peux comprendre qu’un « nihiliste » ou qu’un citoyen marocain qui espère le vrai changement n’ait rien à redire de ce qu’avance ce prince, si je peux comprendre qu’un cyberchékam de l’Etat doive attendre des instructions pour oser (sinon ikazbou babah) émettre une critique au cousin du roi, par contre ce que je ne comprends vraiment pas c’est l’édifiant silence des cybermakhzeniens ou autres « flics dans leur tête ».

    Alors que normalement cette meute est aux avant-postes pour veiller au grain, surveiller la moindre déviation et protéger la patrie en danger, là face à Hicham El Alaoui ils se taisent. Ils fuient. Ils font comme s’il n’y avait rien.

    J’avais vraiment espéré que ces courageux patriotes, flics vrais ou simulés, ou en apprentissage, se lancent à l’attaque du prince : « Combien l’Espagne vous a payé a Moulay pour faire cette interview dans un quotidien espagnol ennemi du Maroc ? », « Etes-vous un traître Moulay Hicham ? », « Pourquoi vous versez de l’huile sur le feu avec cette interview ? », etc… La littérature habituelle.

    Et pourtant, à part une ébauche de remarques assez ternes, il n’y eu aucune attaque contre Hicham El Alaoui, aucun battement d’aile de mouche. Rien.

    Mais pourquoi donc ? Si comme nous le chantent ces cybermakhzeniens, ainsi que ces écervelés de la monarchie, le Maroc est en train de changer et que c’est le pays de la démocratie et de la liberté d’expression, pourquoi ne peut-on pas critiquer un prince ? Pourquoi ne pas le contredire dans un débat démocratique ? Pourquoi ne pas s’en prendre à lui comme on le fait souvent, « courageusement », derrière un ordinateur ?

    La vérité, c’est que cette bande de lâches et de serviles, je parle de ces cybermakhzeniens et de ces monarchistes de la dernière heure, ces amoureux du baisemain et des marches de « l’amour », ces « naâmistes», cette tribu d’habitués de la prosternation, ont peur. Oui, ils ont peur que l’article 179 du code pénal qui punit toute critique à un membre de la famille royale leur tombe sur la gueule.

    Et oui, On est courageux jusqu’à une certaine limite. Au delà, rien n’est sûr.

    Mais alors que fait-on des convictions ? Quand on aime sa patrie on doit être prêt à se sacrifier pour elle, aller en prison et même, dans les cas extrêmes, à mourir. Ce prince, ce « Moulay Hicham » s’en prend à la stabilité de notre patrie, croit-on ? Attaquons-le, donc ! Et tant pis pour l’article 179 du code pénal. Sur ce mur nous l’avons critiqué maintes fois, mais sans jamais l’injurier ou porter atteinte à sa dignité comme le fait une certaine presse téléguidée par qui de droit.

    Triste réalité de ce monde, le patriotisme s’éteint quand on éteint son ordinateur ou quand il y a risque de se retrouver privé de liberté, convoqué devant un tribunal, sans son précieux portable et sans le net. Défendre la monarchie avec un ordinateur relié à un router, et au chaud chez soi, oui, oui et oui, aller en taule pour des idées, des convictions, fréquenter des taulards qui ne viennent pas des beaux quartiers, subir les humiliations des gardiens, « la khouya ». Mali ana ?

    Quel beau patriotisme, quel beau nationalisme, sincère et vigoureux…

    Je n’ai donc que mépris pour ces makhzeniens qui vont d’un mur à un autre en criant « vive le roi !», sans connaître le sens de ce mot, « parce que c’est comme ça », « parce que tout le monde le dit », et « parce que si on ne le dit pas on peut aller en prison ». Sans faire fonctionner leur tête, sans lire l’histoire et les histoires de ce pays.

    Cher amis, le Maroc que nous voulons est celui où tout le monde pourra critiquer, émettre des doutes, des opinions différentes et même anachroniques, sans qu’on le menace, de prison ou de stigmatisation. Un Maroc éloigné de la peur du Makhen, débarrassé de la pensée unique et où chacun cultive ses propres convictions dans le respect d’autrui.Dans le respect mutuel.

    Si certains veulent vivre éternellement dans la servitude et la prosternation perpétuelle, libres à eux, mais ils n’ont pas le droit de nous empêcher d’aspirer à la liberté.

    Vive le Maroc et vive la liberté !

    Source : mail confidentiel (voir image ci-jointe)

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Ali Lmrabet, Abdelmalek Alaoui, Hicham Alaoui,

  • Le roi du Maroc est dans son château à Betz de peur d’une révolution

    « Le roi du Maroc est dans son château à Betz de peur d’une révolution ». C’est le titre de cet article qui a attiré l’attention de la boîte d’Abdelmalek Alaoui, une boîte chargée de ce qu’on appelle « veille médiatique » et qui consiste à surveiller tout ce qui est publié sur la toile, notamment sur le Maroc.

    Cet article a été publié par le site « ghazli.com » qui n’existe plus, mais dont nous avons une copie grâce à un email confidentiel de la DGED.

    Voici son texte intégral:

    Le roi du Maroc est dans son château à Betz de peur d’une révolution

    Le courage du roi du Maroc l’a amené à se planquer en France dans un château confortable sur le dos de son peuple.

    Il a fait de son pays une attraction pour les Français, Anglais et Espagnoles en livrant son peuple comme de la main d’œuvre à bas coût.

    Il a donné l’opportunité aux femmes de devenir la femme de ménage, la cuisinière et selon les lieus à la prostitution comme à Marrakech et à Agadir.

    Les hommes doivent se contenter au métier de service mais au même tarif.

    Le seul avenir au Marocain c’est la révolution ou venir en Europe car il est impossible de survivre au Maroc.

    Marine Lepen ne dit rien quand 60000 Français vivent au Maroc pour profiter des bas salaires et le prix de l’immobilier moins cher.

    Avant la vente de son pays aux étrangers un Marocain pouvait acheté un Riad pour 15000 euros mais après l’invasion des étrangers le même Riad vaut 150 000 euros alors que le salaire de 200 euros ne donnera jamais la possibilité un marocain a être propriétaire.

    Le roi du Maroc vie vraiment comme un roi et détient dans chaque ville impérial un énorme palace .

    Lundi 31 Janvier 2011

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Château de Betz, luxe, vacances, loisirs,

  • Comment Mohammed VI a fait du Maroc sa machine à cash

    Surnommé le roi des pauvres, lors de son accession au pouvoir, grâce à ses nouveaux conseillers Mohammed VI a mis au point une véritable machine à cash, faisant main basse sur tous les marchés du pays grâce à sa holding royale. Plus riche que l’émir du Qatar, le roi du maroc règne sur un pays qui pointe à la 126ème place mondiale du point de vue du développement humain, dont il a fait sa pompe à finances. Dans «le Roi prédateur», les journalistes Catherine Graciet et Eric Laurent démontent le mécanisme de ce business royal.

    Plus riche que l’émir du Qatar, les ressources naturelles que lui offre son sous-sol sont infiniment moindres que celles de l’émir, tout juste quelques « espoirs pétroliers » et des mines d’or. Sa fortune personnelle a pourtant doublé en 5 ans. Le budget de fonctionnement du « Palais » est deux fois supérieur à celui de l’Elysée alors que le PNB du pays est plus de 25 fois plus faible à celui de la France.

    Il s’est relativement bien sorti, en comparaison de ses « confrères », des bouleversements politiques qui ont frappé le monde arabe. Mohamed VI, que l’on surnomme « M6 », ne connaît pas la crise financière. En revanche, il règne sur un pays classé 126ème (sur 177) du point de vue du développement humain. Plus de 5 millions d’habitants du royaume vivent avec moins de 1 euro par jour et son taux de pauvreté dépasse les 18% !

    Les journalistes Catherine Graciet et Eric Laurent ont consacré leur dernière enquête à ce « Roi prédateur », tant il a fait de son royaume sa holding personnelle. Le livre fait l’impasse, on pourra le regretter, sur le bilan politique de Sa Majesté, pour faire le point sur son bilan financier. Globalement très positif ! En moins de dix ans de règne M6 s’est livré, selon les auteurs à « une sorte de holp-up à l’encontre de l’économie de son pays ». Un véritable coup d’état économique, que son père Hassan II, connu pour son autoritarisme, qui était aussi un habile politique et un homme d’affaires averti n’avait pas su ou pu réaliser.

    Les auteurs décrivent un véritable « village Potemkine qui dissimulerait les prédations royales ». Car le bas-peuple doit tout ignorer du niveau de fortune du roi: le numéro de Forbes qui révélait son niveau de fortune (1,8 milliards d’euros) a été interdit sur le territoire marocain.

    LE TGV MAROCAIN PAYÉ PAR LES CONTRIBUABLES FRANÇAIS !

    Mis en cause lors des manifestations à travers ses collaborateurs les plus proches, M6 a senti le vent de l’opinion tourner. Et c’est pour mieux asseoir son règne qu’il a su concéder certaines réformes, très relatives. Le « makhzen » qui désigne l’appareil d’état a été réformé mais il est toujours en place et demeure une « une mine à ciel ouvert, un monde où le sens de l’intérêt général et l’intérêt national n’existe pas ».

    Le souverain perçoit un salaire royal mensuel de 40.000 dollars, auquel s’ajoute 2,5 millions d’euros par an pour la famille proche, et 31 millions d’euros de subventions répartis selon son bon vouloir : « une somme dont l’usage échappe naturellement à tout contrôle, mais on sait qu’au temps d’Hassan II, elle servait de caisse noire pour s’assurer les faveurs de certaines personnalités politiques, marocaines ou étrangères et récompenser pour sa fidélité l’étrange tribu française des « amis du Maroc », composée de journalistes, d’académiciens d’avocats et d’anciens responsables des services de renseignements…». Ces hôtes le lui rendent bien. Hassan II qui voulait intervenir à la télé française se fera inviter –à sa demande- à l’émission « 7 sur 7 » sur un simple coup fil à Bouygues…

    Passons sur ses innombrables voitures de luxe, ses jets, ses tableaux, son festival royal subventionné par le royaume, ses « frais » vestimentaires qui s’élèvent à 2 millions d’euros par an, les immenses palais rénovés ou édifiés par son père pour des centaines de millions de dollars où il ne passait parfois que quelques heures.

    A l’absolutisme politique teinté de terreur d’Hassan II a ainsi succédé, avec Mohammed VI, un système de confiscation organisé et légalisé. Où plutôt même au dessus des lois. Tout ce qu’il dépense dispendieusement ou « donne » au peuple lors de ses déplacements sort des poches de l’Etat et tout ce que dépense Sa Majesté est payé par le peuple à travers l’impôt. L’Etat subventionne même les entreprises du roi. Chaque jour le peuple enrichit Sa Majesté. Un système gagnant-gagnant à sens unique.

    Autre exemple avec le « TGV marocain», marché remporté par la France, en compensation du fiasco sur le Rafale, considéré comme un caprice royal que l’Agence Française pour le Développement a financé à 50%. Ainsi, le TGV marocain aura coûté 1 milliard aux contribuables français !

    UNE PUISSANCE POLITIQUE QUI FAIT MAIN BASSE SUR LE DOMAINE ÉCONOMIQUE

    A mesure, que la génération Mohammed VI s’affirme au pouvoir, écartant, les conseillers d’Hassan II, naît la « Monarchie des copains et coquins» où la compétence ne se révèle pas toujours un critère déterminant pour accéder aux entrailles du royaume.

    Quand la holding royale (ONA) bat de l’aile, plusieurs dirigeants se succèderont à sa tête. Les nouveaux conseillers du roi, le duo Mahidi-Bouhemou concocte la stratégie des « champions nationaux » : des entreprises en situation de monopole ou quasi-monopole dont le roi est actionnaire. L’épreuve de force est engagée avec les anciens partenaires, Axa, Danone et Auchan etc. Chacun revendra ses parts royales ou quittera le Maroc, laissant le Roi régner sur les marchés de l’assurance, les télécoms, l’agro-alimentaire, l’immobilier, l’énergie et la distribution. Ce dernier représente aujourd’hui 25% du chiffre d’affaires de l’ONA. Le Maroc devient la machine à cash du roi : « Une pieuvre royale » envisagée « comme le moyen d’asseoir une puissance politique qui, absolutisme monarchique oblige, s’exprimait jusque dans le domaine économique » écrivent les auteurs.

    Ce n’est rien à côté du racket social auquel se livrera M6 avec la Caisse de dépôt et de gestion qui gère les retraites de millions de Marocains. Par quelques entourloupes financières détaillée dans le livre, le Roi a fait une OPA sur l’institution qui participe désormais au financement des projets royaux.

    Prédations , pressions, intrigues, courtisaneries, excès, corruption délits d’initiés présumés, les exemples sont légion.

    Le nouveau roi a mis au point un régime aux conditions très avantageuses pour la couronne : une forte capacité à mâter le peuple pour éviter toute révolte et un royaume entièrement tourné vers le développement de la fortune royale. Une monarchie « néo-féodale » dont M6 profite chaque jour.

    Marianne.net, 7 mars 2012

    Pour lire les commentaires d’Abdelmalek Alaoui sur « Le roi prédateur », cliquez ici 

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Makhzen, le roi prédateur, Catherine Graciet, Eric Laurent,

  • Maroc : Nées le jour du mariage de Lalla Salma, des milliers de filles portent son prénom

    Le jour de son mariage, le roi du Maroc a organisé à ses frais, le mariage de milliers de couples marocains. Ces couples gardent le souvenir de leurs noces synchronisés avec un événement royal de grande importance.

    Mais il y a aussi les filles qui sont nées ce 22 mars 2002. Elles se comptent par milliers, elles ont aujourd’hui 17 ans et elles portent le prénom de Salma. Leurs mères leur ont donné ce prénom en guise de respect et considération envers celle qui est devenue la première dame du Maroc et la première épouse du souverain marocain à s’afficher en public et à mener des activités de la royauté moderne. C’est aussi une façon de leur souhaiter la même chance que celle de la princesse marocaine.

    Il y a lieu d’imaginer le déception de ces jeunes filles en sachant que celle qui porte leur prénom a disparu de la scène d’une manière pour le moins bizarre. Personne ne l’a vue ni entendue depuis ce fameux jour de décembre 2017 où elle s’est présentée avec une nouvelle coiffure au Musée Mohammed VI d’Art Moderne. Celles parmi elles qui sont superstitieuses vont probablement chercher à changer de prénom par crainte de subir le même sort que Lalla Salma.

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Lalla Salma, mariage royal, divorce, disparition,