Étiquette : pédophilie

  • Maroc : De la dissonance cognitive et de la schizophrénie marocaine

    Bernard R.

    Le Maroc est un pays étonnant.

    On avait parlé, il y a quelques temps, de la fameuse « hypocrisie » marocaine. Beaucoup d’étrangers (et quelques marocains) ont du mal à comprendre que l’on puisse s’afficher musulman pratiquant, se réclamer publiquement des valeurs morales de l’Islam, tout en ayant, dans le privé, « en cachette », une attitude totalement différente.

    Boire de l’alcool, regarder des films pornos chez soi (« Sexe » est un des mots clé les plus recherchés pendant Ramadan) est une chose.

    Mais ces derniers temps, le Maroc a porté l’art de la contradiction interne et l’art de l’évitement des questions qui fâchent à un niveau largement supérieur, dignes du Guiness des Records.

    A gauche, El Mostafa Ramid, ministre PJD (donc islamiste) des Droits de l’Homme. A droite, Sa Majesté Mohamed VI. Au milieu, les fantômes de Pierre Bergé et Yves Saint Laurent. En décor, le musée Yves Saint-Laurent à Marrakech. En fond sonore, une interview télévisée de Fabrice Thomas, ancien chauffeur et amant de Pierre Bergé et Yves Saint-Laurent.

    Notre ministre Ramid est un peu obsédé par les homosexuels. Il a un long historique de déclarations homophobes. En 2012, il avait condamné le nombre de touristes étrangers venant à Marrakech « pour s’éloigner de Dieu et commettre des péchés« . En septembre, il traite les homosexuels d’ordures, après leur avoir recommandé de changer de sexe.

    Au-delà de la colère légitime des associations marocaines, qui protestent contre les propos discriminatoires d’un ministre chargé des Droits de l’Homme, ces déclarations sont à mettre en parallèle avec la façon dont le Roi, le Maroc et Marrakech honorent Pierre Bergé et Yves Saint-Laurent, couple homosexuel notoire, comptant bien tirer des revenus touristiques substantiels du (superbe) musée qui vient d’ouvrir à Marrakech.

    En effet, quelques mois avant sa mort, Pierre Bergé reçoit des mains du Roi le Grand Cordon du Wissam Alaouite. Le Grand Cordon (ou Grande Croix) est le plus élevé des niveaux de cette décoration, équivalente à notre Légion d’Honneur, et la seule décoration marocaine qui puisse être attribuée à des personnalités étrangères.

    On est donc dans une situation où un des ministres marocains affirme que l’homosexualité est une déviance sexuelle inacceptable qui doit être punie juridiquement, tandis que le Roi décore et honore un homosexuel connu, partisan du mariage homosexuel, fondateur du journal Têtu et de la chaîne de télévision Pink et, surtout, fondateur puis président de Sidaction, soutien d’autres associations comme Act-Up.

    Bref, tout le contraire d’un homosexuel honteux et caché…

    De la même façon, toute la communication autour de l’ouverture du musée Yves Saint-Laurent à Marrakech ignore totalement la vie privée des deux hommes. Pourquoi aimaient-ils autant le Maroc ? Pourquoi partageaient-ils une maison ? Silence, on ne sait pas.

    On a un beau musée, et voilà, c’est tout. C’est tout.

    (D’ailleurs, les peintures de nus assez explicites que Jacques Majorelle faisait, dans ces jardins, de jeunes beautés locales à peine pubères sont tout aussi ignorées des medias marocains, qui ne mettent en avant que les images du Maroc traditionnel, kasbahs, ahiddous et compagnie…)

    Deux femmes nues dans les jardins Majorelle, tableau de Jacques Majorelle
    « Les deux amies » de Jacques Majorelle, dans la plus pure tradition de l’érotisme orientaliste et colonial.

    Les hasards du calendrier (peut-être un peu aidés) ont voulu que quelques jours à peine séparent l’inauguration du musée de Marrakech et la publication par Frédéric Thomas d’un livre de souvenirs où il raconte ses aventures sexuelles (sa prostitution, pourrait-on même dire) et accuse Pierre Bergé et Yves Saint Laurent d’avoir organisé des orgies et protégé des actes pédophiles dans leur villa Majorelle.

    C’est sorti sur le web, dans la presse francophone. Mais pas au Maroc. A ma connaissance, AUCUN des medias en ligne que nous suivons régulièrement pour la revue de presse d’O-Maroc n’a titré sur ce livre.

    Pour résumer, le Maroc est un pays où un proviseur de lycée peut décider d’exclure une élève pour un baiser (hétérosexuel), où un homme et une femme peuvent toujours aller en prison s’ils ont des relations sexuelles hors mariage, où le Ministre des Droits de l’Homme peut – indirectement – accuser son Roi d’avoir décoré une ordure, où une ville honore un couple homosexuel et compte bien en tirer des revenus touristiques, et où toute une presse sait se taire sur les choses « importantes ».

    Source : O-Maroc

    Tags : Maroc, Mohammed VI, Makhzen, homosexualité, Mustapha Ramid, Pierre Bergé, Yves Saint Laurent, Villa Majorelle, Frédéric Thomas, pédophilie, Marrakech,

  • Maroc : Fizazi, les manifestants et les «catins»

    Le prédicateur salafiste Mohammed Fizazi qualifie certains manifestants du DanielGate de «catins faisant l’éloge de la virginité». Lui-même a été gracié en avril 2011 et vient d’être autorisé par le ministère des Habous à reprendre ses prêches.

    Le Cheikh Fizazi, que certains décrivent comme le nouveau «fqih du Makhzen», vient de comparer sur sa page publique Facebook certains manifestants du DanielGate à «la catin qui défend la virginité». Fizazi a déclaré que certaines personnes qu’il connaît parmi les manifestants «n’ont aucune dignité et sont réputées pour leur dépravation ». Fizazi leur lance un appel : «Cessez de jouer avec l’avenir du pays. Vous êtes – à l’exception de ceux qui ont été trompés – les derniers à pouvoir parler de dignité des enfants ».

    Dans un post publié sur sa page Facebook, Fizazi ne conçoit pas que le roi puisse accorder sa grâce «à un criminel ayant commis les actes qu’a commis Daniel ». Pour le Fqih, «le roi est un père avant tout et c’est un père symbolique pour l’ensemble des enfants marocains en sa qualité de souverain et de gouvernant légitime à l’égard de ses enfants et de leurs parents…le roi est une personne saine. Il est impossible qu’une personne de cette trempe puisse faire preuve de négligence lorsque la dignité d’un seul enfant est en jeu et à fortiori lorsqu’il s’agit de 11 mineurs».

    Dans son communiqué, Fizazi n’a, à aucun moment dénoncé les violences policières dont ont été victimes des manifestants pacifiques lors du sit-in du vendredi 2 août à Rabat.

    Récemment, le ministère des Habous et des affaires islamiques a autorisé Mohammed Fizazi à reprendre ses prêches à la mosquée Tarik Ibn Ziyad de Tanger. D’aucuns pensent que ce revirement de cap chez ce prédicateur salafiste, gracié par Mohammed VI en avril 2011, est motivé par la crainte d’un retour à la case prison au cas ou l’Etat changerait sa politique vis-à-vis des mouvements salafistes.

    Lakome, 5 août 2013

    Tags : Maroc, Pédophilie, Daniel Galvan, Mohamed Fizazi, salafisme, Mohammed VI,

  • Le Maroc et le Mossad, seraient-ils derrière l’affaire Benalla?

    L’affaire » Banalla » Lahcene BENHALIA de son vrai nom, sujet Marocain qui ferait partie du corps des » moukhabarates » (services secrets marocains) nous interpelle ( si ces faits sont établis) dans le sens suivant :

    COMMENT ? Un petit espion minable a t-il pu monter si haut dans l’organigramme de la République ?

    Quel est le message que RABAT veut faire passer à PARIS ?

    Si on réfléchit bien : nous savons que le Maroc est devenu le lieu de » tous les excès et toutes les folies » du Gotha de la politique, du spectacle et des affaires … Rappelons – l’interview du ministre Luc FERRY qui déclarait devant les caméras qu’un ex-ministre s’était fait » poisser » à Marrakech en compagnie d’adolescents mineurs (il s’agissait de Jack LANG) …

    Le gouvernement français se prévaut et se vante de son appartenance à la franc-maçonnerie ! Hors, plus grand monde n’ignore de nos jours le lien entre haute franc-maçonnerie et … pédophilie !

    Et si SAS MOHAMMED VI souverain du Maroc s’était » amusé » à constituer des » dossiers secrets » avec preuves à l’appui , sur les frasques plus ou moins avouables de nos … » irréprochables » hommes d’état ???

    Quel moyen de pression imparable ce serait !

    Ce ne serait pas ça le » message » ? :

    » Vous êtes tellement pervers, pourris et corrompus, et nous en avons les preuves, que nous pouvons faire tout ce que nous voulons chez vous et PERSONNE n’osera bouger le petit doigt …

    Vous êtes tellement » tous mouillés » dans ces sales affaires que cela engendrerait un cataclysme politique dont vous ne vous remettriez pas … »

    Et si un SCANDALE PÉDOPHILE de grande envergure était derrière tout ça???

    Depuis le début, je pressentais que le MOSSAD était derrière tout ça, et puis, j’ai découvert qu’il y avait aussi le Maroc (vendu à Israël) directement impliqué !

    Le niveau élevé  « d’amateurisme » révélé par cette affaire m’a déstabilisé, c’est pour cela que je suppute en toile de fond une sordide histoire de «mœurs» …

    La morale de cette affaire est de mettre au grand jour l’ état de déliquescence et d’effondrement de la présidence française, dont, encore une fois, l’inexpérience et l’amateurisme clairement affichés sont une véritable gifle infligée chaque jour au peuple de ce pays …

    J’ ai HONTE A LA FRANCE

    Source

  • Maroc: Quand Jack Lang était accusé de partouze à Marrakech

    En 2011, Luc Ferry évoquait un ex ministre qui se serait fait poisser Marrakech lors d’une partouze en présence de mineurs. Beaucoup ont pensé qu’il parlait de Jack Lang, qui a même cru utile de se justifier et de menacer tous ceux qui l’associeraient à cette sortie, mais ce n’était pas de lui dont parlait Ferry. Et accessoirement, il semble qu’ils étaient plusieurs ministres ou anciens ministres à cette partouze.

    Car en réalité, des ministres français qui se tapent des mineurs à Marrakech, c’est loin d’être une originalité, hélas. Tous ceux qui travaillent sur nos élus pédocriminels savent que la Mamounia, un hôtel de luxe qui est directement piloté par le roi du Maroc qui y invite qui il veut, est un spot prisé de nos VIP, parmi lesquels des pédophiles, et cela depuis au moins les années 80.

    « La déclaration de Luc Ferry réveille un souvenir enfoui chez un journaliste de France Télévisions. « Dans les années 2000 », alors qu’il était de permanence un soir à sa rédaction, il affirme aux enquêteurs avoir vu passer une dépêche de l’Agence France-Presse (AFP) annonçant la présence de Jack Lang, ex ministre socialiste, dans un commissariat de Marrakech suite à son arrestation « dans un riad […] avec de jeunes mineurs de 15 ans ». Problème : cette dépêche aurait rapidement disparu des écrans, selon le journaliste, mais les policiers n’ont pu en retrouver la trace. Et ce malgré des recherches auprès de trois agences de presse internationale installées au Maroc, dont l’AFP », précise encore VSD. Comme c’est étonnant…

    Tour récemment, l’auteur du site web Panzama, dont je ne partage pas les idées mais qui, en matière de pédorcriminalité, a le mérite de dénoncer les choses, a été convoqué par les flics suite à une plainte en diffamation de Pierre Bergé en personne. Pourquoi? Tout simplement parce que l’auteur a évoqué un autre article de VSD, assez embêtant, dans lequel on évoque clairement des partouzes qui auraient eu lieu dans la villa d’X et Y[1], à Marrakech.

    originalLes journalistes de VSD ont rencontré un prêtre du sud de la France qui s’est rendu en 2003 et en 2007 à Marrakech. Lors ces vacances, il a recueilli des témoignages de parents de victimes disant que des mineurs se prostituaient auprès de « français connus », notamment dans la villa, qui appartenait donc, à Y, l’auteur du livre vomitif « La Vilaine Lulu », qui raconte des rituels sataniques et des viols de mineurs, et à X, grand financier du parti socialiste. Le prêtre précisait aussi que le ministre qu’on a déjà évoqué plus haut était « régulièrement invité » à ladite villa.

    L’article mentionne aussi l’avocat de l’association Touche pas à mon Enfant, selon qui les autorités françaises et marocaines avaient tout intérêt à enterrer le dossier.

    Si l’auteur du site Panamza a été poursuivi, ce n’est pas le cas, semble-t-il, des journalistes de VSD.

    Dans Le Point, on nous raconte une scène particulière qui s’est déroulée à La Mamounia: « On se souvient de cette fameuse nuit de décembre 2005 où Philippe Douste-Blazy, ministre des Affaires étrangères, a conclu sa mythique scène de ménage avec sa compagne Dominique Cantien, en se retrouvant en caleçon dans le couloir aux petites heures du matin. Ils avaient un peu endommagé la suite 312… »

    Simple « scène de ménage » en « petite tenue » de la part de l’ex poulain de Dominique Baudis à Toulouse, devenu ministre de la Santé?

    Dans Le Monde à cette époque, on pouvait lire que cette « scène de ménage » a « suscité la colère de Jacques Chirac » et que « les ministres en font, depuis quelques semaines, des gorges chaudes ». Quand Douste Blazy entrait dans l’hémicycle, ses collègues scandaient « Mamounia! Mamounia! ».

    Screenshot – 01_10_2015 , 18_20_48Le Monde revenait sur la « scène de ménage » en avril 2006: « Un différend peu discret, puisque des voisins du couple, au troisième étage de l’hôtel, ont pu en suivre les péripéties et voir le ministre et sa compagne, légèrement vêtus, s’invectiver dans le couloir.

    Le ministre, rompant finalement la querelle, a dû rejoindre la chambre de l’un de ses gardes du corps, avant de quitter précipitamment l’hôtel, à 5 heures du matin. Là, suivi par une voiture de la sécurité, « Douste » a pris la route de Casablanca, d’où il s’est envolé pour Paris.

    L’histoire a aussitôt fait l’objet d’un rapport des services de sécurité au ministère de l’intérieur, mais aussi à l’ambassade de France à Rabat qui en a informé l’ambassadeur, Philippe Faure, alors en vacances dans l’océan Indien, lequel en a rendu compte à Matignon et à l’Elysée. »

    Question: depuis quand une simple « scène de manage » d’un ministre entraîne une exfiltration du pays par une « voiture de la sécurité », et une information par les « services de sécurité » auprès du « ministère de l’Intérieur » et de « l’ambassade de France à Rabat », qui elle même informe « Matignon et l’Elysée » sur le champ?

    Le Canard Enchaîné, qui a ébruité l’affaire en premier le 22 mars 2008, précisait que les dégâts causés par le couple s’élevaient à 30.000€, payés par le palais royal, ce que Douste a nié.

    D’autres ont carrément parlé de la présence de « jeunes garçons ».

    Et pourquoi Dominique Cantien, productrice à la télé française, s’est rendue sur Europe 1 et sur le plateau d’On n’est pas couché sur France 2, pour dire que tout est « faux », un « mensonge », un « fantasme », qu’il y a juste eu une vague dispute? Et pour préciser : « Je ne l’ai pas retrouvé dans une chambre avec de jeunes garçons, comme on l’a laissé supposer »?

    leonardo-1103593-La_Mamounia_View_S-image »Il n’était pas l’homme qu’on a dit qu’il était, voilà », a déclaré Dominique Cantien. C’est bizarre, parce que dans la presse commerciale, « on » n’a rien dit du tout. C’est seulement dans les dîners en ville qu’ « on » a parlé de la présence de mineurs, et même d’une partouze, ce soir-là, le 31 décembre 2005, alors que de nombreuses « personnalités » françaises étaient présentes à la Mamounia.

    « Je pense qu’il y avait des gens qui nous accompagnaient et qui avaient tout intérêt à détruire Douste-Blazy », a-t-elle dit sur France 2. Encore la théorie du complot!

    C’est drôle comme une chose que le public ne sait pas ou n’est pas censé savoir, est dénoncée comme « fausse » sur ces mêmes médias qui n’ont parlé de rien, au final.

    En tout cas, on apprend donc que Douste n’était pas seul ce soir-là. Il est donc probable que si Douste a été le seul à être cité dans la presse, c’est que quelqu’un lui en voulait.

    Dans Le Figaro, on évoquait plusieurs « participants » à la partouze, l’arrivée de la police qui prend des « adultes » en « flagrant délit », et d’un ancien ministre emmené au poste de police avant d’être réexpédié en france dans la foulée. On précise aussi que l’affaire a été étouffée et qu’aucune procédure n’a été déclenchée.

    Bref, on se saura jamais, du moins officiellement, le fin mot de l’histoire. Douste reste innocent, le ministre, X et Y aussi, tous les autres aussi. Officiellement, tout cela ne reste que des « rumeurs », n’est-ce pas.

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    Ils veulent nous faire croire qu’ils sont au-dessus de nous, d’ailleurs ils se comportent comme si c’était le cas. Ils nous parlent de valeurs à longueur de temps mais sont les premiers à se protéger quand l’un d’eux se comporte comme un porc (et encore, je ne crois pas que les cochons sodomisent les porcelets). Toutes ces affaires, et bien d’autres que j’ai déjà évoquées sont censées n’être que des « rumeurs ».

    Sauf que, c’est pas de chance: il y a des gens qui parlent, dans ce pays. En off, certes, mais à des gens comme moi, qui passent une bonne partie de leur temps à compiler et recouper les informations. Il y en a quelques-uns, de ces ministres « pédophiles », au sujet desquels on commence à accumuler un certain nombre de dossiers. Ce n’est pas incongru: il suffit de regarder ce qu’il se passe en Grande-Bretagne, même si les autorités s’acharnent depuis 3 ans maintenant à éteindre les dizaines de feux allumés par des victimes aussi nombreuses qu’excédées.

    Il y a des victimes qui parlent, d’anciens policiers, quelques journalistes, quelques anciens des RG, des magistrats aussi. Et tous ces gens qui ne se connaissent pas racontent les mêmes choses, notamment une classe politique et une justice corrompues, des systèmes de clientélisme, des pédocriminels au plus haut niveau qui sont systématiquement protégés, une machine répressive contre les victimes et ceux qui osent les croire, etc.

    Alors de deux choses l’une: soit tout ce petit monde est bon pour l’hôpital psychiatrique, soit il y a réellement un problème dans ce pays.

    (1) Vu l’omerta sur les noms de ces deux types, je préfère ne pas les citer ici.

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    Tags : Maroc, Marrakech, tourisme sexuel, pédophilie, Jack Lang, Luc Ferry, partouze,

  • Le Kazakhstan commence la castration chimique des pédophiles, les autorités étant prêtes à procéder à 2 000 injections cette année

    L’ancienne république soviétique du Kazakhstan s’apprête à commencer la castration chimique des pédophiles condamnés.

    Kazakhstan president Nursultan Nazarbayev, whose government introduced a new law on chemical castration at the start of this year

    Un agresseur sexuel anonyme de la région du Turkestan sera le premier à se faire injecter une drogue sous la supervision du ministère de la Santé du pays, ont annoncé des responsables.

    La castration forcée est une punition pour avoir été reconnu coupable d’une agression sexuelle contre un enfant en avril 2016.
    Le président Nursultan Nazarbayev a alloué 20 500 livres sterling pour quelque 2 000 injections à des hommes qui commettent des infractions sexuelles sur des enfants cette année.

    Le vice-ministre de la santé, Lyazat Aktayeva, a déclaré : « Pour l’instant, il y a eu une demande de castration chimique, conformément à une décision de justice ».

    Le Kazakhstan a introduit une nouvelle loi sur la castration chimique au début de cette année.

    Des fonds ont été alloués pour plus de 2 000 injections « , a révélé Aktayeva.
    Lors de l’adoption de la loi, le sénateur Byrganym Aitimova a déclaré que la castration serait » temporaire « , consistant en une » injection unique » basée sur » la nécessité d’empêcher l’homme de (commettre) des violences sexuelles « .

    Les crimes sexuels impliquant des enfants sont également passibles de peines d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 20 ans au Kazakhstan.

    Contrairement à la castration chirurgicale, la castration chimique laisse les organes intacts et est considérée comme réversible dans la plupart des cas ; bien que les drogues réduisent la libido, elles n’empêchent pas une personne de ressentir des pulsions sexuelles indéfiniment.
    Les sceptiques soutiennent que la mesure, mise en œuvre pour la première fois dans les années 1940, n’empêche pas nécessairement de futures attaques.

    Les rapports indiquent que la procédure au Kazakhstan sera effectuée dans des cliniques psychoneurologiques régionales.

    Les médecins administreront Cyproterone, un anti-androgène stéroïdien développé pour combattre le cancer.
    Le nombre de viols d’enfants dans le pays a doublé, passant à environ 1 000 par an entre 2010 et 2014.

    En 2016, le président indonésien Joko Widodo a autorisé la castration chimique d’enfants délinquants sexuels condamnés à la suite d’un tollé national sur le viol collectif et le meurtre d’une jeune fille de 14 ans.

    La castration chimique n’est pas tout à fait inhabituelle et un certain nombre de pays – dont la Pologne, la Corée du Sud, la Russie, l’Australie, ainsi que certains États américains – échangent des peines de prison plus clémentes avec les pédophiles qui y consentent.

    En 1952, le célèbre décrypteur britannique de la Seconde Guerre mondiale, Alan Turing, a subi une castration chimique forcée pour éviter une peine de prison comme punition pour homosexualité.

    Traduit par Dr.Mo7oG

    DAILYMAIL.CO

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    Tags : Kazakhstan, pédophilie, castration,

  • Grenoble : 3 enfants âgés entre 4 et 10 ans abusés sexuellement lors de «soirées privées familiales»

    Selon des informations rapportées par Sud Info, les services de police ont procédé lundi dernier à l’interpellation de 10 individus entre 30 et 64 ans près de Grenoble, en France. Ils sont accusés d’abus sexuels sur 3 enfants issus d’une même fratrie lors de soirées privées. Parmi les accusés, sept personnes feraient partie de la famille des victimes, les trois autres étant des proches. Les trois enfants abusés présumés se trouvent actuellement sous protection judiciaire et hors de danger.

    D’après la même source qui cite le Dauphiné libéré, la famille des victimes est issue d’un milieu social défavorisé et elle a été interpellée après plusieurs mois d’enquête menée par les services de sécurité de Grenoble.

    Elle a commencé lorsque l’aîné de la famille, âgé de 10 ans, a confié à sa famille d’accueil les atrocités que lui faisaient subir les agressions sexuelles et les viols que sa mère et son beau-père lui faisaient subir fréquemment, depuis de nombreuses années.

    Au cours de l’enquête, les autorités ont découvert que de nombreux autres membres de la famille et d’autres proches étaient concernés, dont les grands-parents et l’oncle des victimes. Les enfants ont multiplié les déclarations accablantes à l’encontre de leur famille. Les faits se seraient déroulés entre l’été 2016 et fin 2018, soit depuis l’arrivée du beau-père dans la vie de la mère.

    Le récit des trois enfants relève de l’horreur. Ils ont décrit des scènes lors desquelles ils étaient utilisés comme « jouets sexuels » lors de « soirées privées ». Ils subissaient des actes sexuels mais devaient aussi en réaliser entre eux, ou encore avec le chien de la famille. Ils ont désormais un retard de « structuration mentale » et ont été placés sous protection judiciaire.

    Après avoir nié les faits qui leur sont reprochés, les dix individus incriminés ont fini par passer aux aveux. Parmi eux, cinq ont alors été déférés au parquet, dont la mère et le beau-père. Si ces deux derniers sont en détention provisoire, les trois autres individus interpellés ont été relâchés sous contrôle judiciaire.

    Tags: pédophilie, abus sexuels, Grenoble, jouets sexuels, soirées privées,

  • Maroc : L’enquête impossible sur la pédophilie à Marrakech

    En mai 2011, Luc Ferry accusait sans le nommer un ex-ministre français de s’être livré à la pédophilie au Maroc. Depuis, une enquête a été diligentée et classée sans suite. « VSD » en révèle la teneur.

    Dix-huit mois d’investigations, près d’une vingtaine de témoins auditionnés, parmi lesquels un ancien ministre, des diplomates de haut rang, des responsables policiers, plusieurs journalistes et même un ecclésiastique, et, au terme d’efforts menés à Paris, dans le sud de la France et à Marrakech… un classement sans suite.

    C’est la maigre récolte engrangée par la Brigade de protection des mineurs de Paris, chargée, depuis juin 2011, d’une enquête sur l’existence possible de réseaux pédophiles au Maroc impliquant des personnalités françaises. À l’origine de cette procédure, une dénonciation publique fracassante, celle de Luc Ferry, philosophe et ministre du gouvernement Raffarin de 2002 à 2004.

    Souvenez-vous donc : nous sommes le 30 mai 2011, devant les caméras du « Grand Journal » de Canal+. L’affaire du Sofitel déboulonnant Dominique Strauss-Kahn vient d’éclater. Le climat est propice aux révélations. Ce soir-là, l’ex-ministre de l’Éducation nationale Luc Ferry déclenche une nouvelle tempête médiatico-judiciaire en déclarant qu’un « ancien ministre s’est fait poisser à Marrakech lors d’une partouze avec des petits garçons ».

    VSD a reconstitué l’enquête menée par les policiers français. Au début de l’automne 2012, un rapport judiciaire dresse le compte rendu des investigations. Rumeurs connues mais non vérifiées, récits indirects ou dépositions fantaisistes : ce document confidentiel, que VSD a consulté, préfigure le classement sans suite qui interviendra fi novembre. Tout ça pour ça ? S’agit-il d’un scandale majeur que l’on cherche à étouffer ? Ou bien est-on en présence d’une rumeur élaborée qui gangrène depuis des années les sommets du pouvoir ?

    Revenons à Luc Ferry : sur Canal+, il s’est d’abord abrité derrière un entrefilet publié dans Le Figaro magazine* deux jours avant son esclandre. L’article évoque « un ancien ministre français », surpris par des policiers de Marrakech lors d’« une descente nocturne dans une villa de la palmeraie où une fête spéciale bat son plein ». L’affaire lui aurait été « racontée par les plus hautes autorités de l’État, en particulier par le Premier ministre ».

    Dans le Tout-Paris médiatico-politique, chacun croit connaître la personnalité visée. Pour les uns, il s’agirait de Jack Lang, cible récurrente de rumeurs de pédophilie. Pour les autres, c’est un autre ancien ministre qui serait concerné. Excédé par cette sortie, irresponsable à ses yeux, du philosophe, Jack Lang choisit de prendre les devants et de répondre à la presse qui cite son nom. « Seront poursuivis pénalement tous ceux – journaux et personnes – qui mettront mon honneur en cause », prévient-il. Son avocat, Me Laurent Merlet, fait alors délivrer par huissier à Luc Ferry une sommation interpellative, document lui intimant de révéler le ou les noms de celui ou ceux que le philosophe accuse. « Faisant preuve d’un manque de courage, Luc Ferry n’a jamais confirmé ou démenti que ses propos avaient pu viser ou non Jack Lang », relève Me Merlet. Stupéfait, Jean-Pierre Raffarin, locataire de Matignon quand Luc Ferry siégeait au gouvernement, s’est, lui, fendu d’une réaction : « Je n’ai jamais été saisi de près ou de loin d’informations de cette nature. »

    Entendu par les policiers le 3 juin 2011, Luc Ferry dit avoir eu connaissance de cette histoire à son entrée au gouvernement, soit en mai 2002, « sans citer le moindre nom », déplore le rapport d’enquête. Il n’empêche. Ses propos font l’effet d’un révélateur. La déclaration de Luc Ferry réveille un souvenir enfoui chez un journaliste de France Télévisions. « Dans les années 2000 », alors qu’il était de permanence un soir à sa rédaction, il affirme aux enquêteurs avoir vu passer une dépêche de l’Agence France-Presse (AFP) annonçant la présence de Jack Lang, ex ministre socialiste, dans un commissariat de Marrakech suite à son arrestation « dans un riad […] avec de jeunes mineurs de 15 ans ». Problème : cette dépêche aurait rapidement disparu des écrans, selon le journaliste, mais les policiers n’ont pu en retrouver la trace. Et ce malgré des recherches auprès de trois agences de presse internationale installées au Maroc, dont l’AFP. Interrogé par VSD, le journaliste auteur de ce témoignage confirme sa déposition : « Il était tard, j’ai lu cette dépêche mais je ne l’ai pas imprimée. Et je me suis dit que, le lendemain, il y aurait sans doute le feu à la rédaction. A ma grande surprise, il n’en a rien été. Personne n’était au courant de cette info. Pourtant, cette dépêche, je l’ai lue. Je ne suis pas dingue ».

    Le journaliste oriente les enquêteurs vers l’un de ses fixeurs (guide-interprète employé par les équipes de télévision). « Ce dernierm indique le rapport judiciaire consulté, reconnaissait avoir entendu parler par ses compatriotes marocains d’une interpellation de Jack Lang (…) ». Mais, retrouvé par VSD, ce collaborateur et au Maroc. Sollicitée par VSD, la reporter regrette de ne disposer « que d’informations de seconde main ». Autre témoim entendu dans ce dossier : le désormais célèbre Yves Bertrand, anciendirecteur central des Renseignements Généraux. Dans ses  fameux « carnets secrets », saisis lors de l’enquête sur l’affaire Clearstream, cet in fluent policier de l’ombre avait rédigé la phrase suivante, qu’il date de février 2002 : « Lang, à La Mamounia en novembre, s’est tapé des petits garçons ». « Des rumeurs tellement insistantes que l’on m’aurait reproché de ne pas les relayer, confie-t-il aujourd’hui à VSD. A l’époque, je voyais le Tout.Paris, mais ces renseignements n’étaient pas recoupés. Des preuves, je n’en avais aucune ».

    Retour, donc, à la case départ. Mais alors, qui a bien pu tuyauter Luc Ferry à son arrivée dans le gouvernement, début mai 2002 ? L’ambassadeur de France à Rabat de 1995 à 2002, Michel de Bonnecorse, assure n’avoir « jamais reçu d’informations » de cette nature. Ce diplomate de haut rang sera nommé chef de la cellule africaine de l’Elysée au début du second mandat de Jacques Chirac. Au moment exact où Luc Ferry hérite, lui du maroquin de l’Education Nationale. L’ambassadeur devenu conseiller présidentiel est-il ce représentant « au plus haut niveau de l’Etat » évoqué sur le platequ du « Grand Journal »?

    Au milieu de cette savoureuse galerie de témoins, plus étonnante encore est la présence du prête d’une paroisse du sud de la France. Au cours de congés passés au Maroc en 2003 ouis en 2007, celui-ci aurait reçu des « confidences » indiquant que « au cours de séjours de Français connus (…) des événements festifs avaient été organisés dans lesquels des mineurs se seraient livrés à la prositution ». Ses sources : « Des hôteliers et des Marocains de condition modeste, qui s’étaient ouverts à lui en raison de sa position écclésiastique ». Le prêtre fait ainsi état de cas de « prostitution de mineurs à la villa Majorelle, propriété d’Yves Saint Loaurent (décédé en 2008, NDLR) et de Pierre Bergé, où Jack Lang était régulièrement invité ».

    Interrogé par VSD, l’écclésiastique précise toutefois n’avoir « pas cité de noms par déontologie professionnelle ». « Je souhaite protéger ces personnes en faiblesse sociale, poursuit l’homme de l’Église. Dans la médina, des parents de jeunes victimes se sont confiés à moi. Mais, compte tenu du fossé culturel, ils ne s’adresseront jamais aux institutions. Faute de témoignage directs, les policiers se trouvent dans une impasse ».

    Toutes les investigations possibles ont-elles été menées ? Ou bien, comme le soutient Me Jean Chevais, avocat de l’association marocaine Touche pas á mon enfant (lire ci-dessous), les autorités à Paris et à Rabat n’auraient-elles pas tout intérêt à enterrer le dossier ?

    Sollicités par VSD, Luc Ferry et Pierre Bergé n’ont pas donné suite. Parmi les personnalités citées, seul l’ancien ministre de la Culture et de l’Education a fait l’objet d’une discrète audition en tant que témoin. « Jack Lang est parfaitement trtanquille, assure son avocat, Me Merlet. Il n’y aura jamais l’ombre d’un élément. On peut démentir et déposer quarante plaintes, ces rumeurs ressurgiront toujours, malgré les condamnations judiciaires ».

    (*) A Marrakech, un ex-ministre « s’amuse », publié le 28 mai 2011 sur lefigaro.fr.

    La suite :

  • Scandale : Le cardinal pédophile prétend que les garçons fantasmaient d’être victimes de violence sexuelle

    Le cardinal déshonoré George Pell, reconnu coupable d’avoir violé deux enfants de chœur, a lancé un appel pour faire annuler sa condamnation, tout en déclarant que les témoignages des garçons contre lui, dans lesquels ils détaillent ses abus sexuels violents, sont simplement des « fantasmes » sexuels.

    Disgraced Cardinal George Pell, found guilty of raping two choirboys, has launched an appeal to overturn his conviction, while stating that the boys’ testimonies against him, in which they detail his forceful sexual abuse, are simply sexual « fantasy. »

    Alors que le cardinal Pell, 77 ans, s’adapte à la vie en prison, l’interview vidéo exposant les allégations d’abus sexuels contre les deux garçons a été libérée pour la première fois.

    Selon M. Pell, qui a été reconnu coupable de cinq accusations d’agression sexuelle d’enfants en décembre, les garçons ont créé les versions détaillées des événements dans lesquelles il les a forcés à se livrer à des actes sexuels sur lui comme un « produit du fantasme ».

    Les bras croisés et secouant la tête, il a dit au sergent Christopher Reed d’ » arrêter » alors qu’il lisait le souvenir d’une victime qui se souvenait de Pell piégant de jeunes garçons dans une pièce et exposant ses organes génitaux sous sa robe de cérémonie.

    « Quel tas d’inepties absolues et honteuses. Complètement faux. De la folie « , a-t-il déclaré.

    Lorsque les actes sexuels qu’il a commis sur les garçons lui ont été décrits – comme la victime survivante l’a dit à la police en 2015, un an après le décès de la deuxième victime – il a de nouveau nié.

    La victime qui a témoigné au procès de Pell a déclaré, après que la condamnation a été révélée, qu’il ressentait encore » de la honte, de la solitude, de la dépression et des difficultés » des décennies après l’agression sexuelle. Dans sa déclaration, l’homme a dit qu’il lui avait fallu des années pour comprendre l’impact de l’agression sur sa vie.

    L’avocate Lisa Flynn a déclaré que la famille de la deuxième victime, décédée d’une surdose d’héroïne en 2014 à l’âge de 31 ans, prévoit poursuivre l’église ou Pell individuellement une fois l’appel réglé.

    Le cardinal George Pell est le plus haut dignitaire religieux catholique jamais accusé d’abus pédosexuels et risque maintenant jusqu’à 50 ans de prison, portant un nouveau coup à la crédibilité du pape François et du Vatican après un an de révélations mondiales d’abus et de dissimulation.

    Le cardinal George Pell, principal conseiller financier du pape François et trésorier du Vatican, s’est vu interdire de célébrer la messe en public par le pape François à la suite de cette condamnation.

    Traduit par Dr.Mo7oG

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