Étiquette : Sarkozy

  • Le Maroc est l’instrument des conspirations occidentales en Afrique (général algérien en retraite)

    Dans un entretien accordé à EnnaharTV, le général retraité Abdelaziz Mjahed n’a pas mâché ses mots en parlant sur le Maroc. Selon lui:

    -Les risques qui entourent l’Algérie aujourd’hui ont été causés par le criminel Sarkozy. C’est lui qui a allumé la mèche en Libye, ce qui a semé le chaos dans cette région et au Sahel. Sarkozy doit être jugé pour ce crime contre l’humanité.

    – Le monde entier reconnaît que le régime du Makhzen est le plus grand producteur et exportateur des drogues. Il n’a rien fait contre le Maroc à part des déclarations et des paroles qui ne sont pas suivies d’actes concrets parce qu’il s’agit d’un pays qui est un instrument entre leurs mains. Le terrorisme est un instrument à leur disposition.

    – Les frontières seront ouvertes le jour où le peuple marocain deviendra libre de choisir un régime qui défend ses propres intérêts. Actuellement, le pouvoir au Maroc ne défend que les intérêts du colonialisme. Le jour où la France a décidé d’octroyer la pseudo-indépendance au Maroc, celle-ci était conditionnée par la formule « indépendance dans l’inter-dépendance ».

    -Ce qu’il se passe au Nord et au Sud du Maroc est la preuve que le Makhzen ne défend pas les intérêts de son peuple. Sans parler des sahraouis qui sont les victimes d’une conspiration colonialiste franco-espagnole dont le Makhzen était l’outil et le sionisme international, son auteur,.

    Tags : Algérie, Maroc, Sahara Occidental, Front Polisario, France, Libye, Sarkozy, terrorisme,

  • Le Maroc est l’instrument des conspirations occidentales en Afrique (général algérien en retraite)

    Alors qu’au Maroc, on lui déroule un tapis rouge et Mohammed VI lui offre ses palais pour ses vacances, en Algérie Sarkozy est vu comme un criminel de guerre qu’il faut juger par la CPI.
    Le général en retraite Abdelaziz Mjahed sur les antennes de EnnaharTV :
    -Les risques qui entourent l’Algérie aujourd’hui dont la cause principale est le criminel Sarkozy. C’est lui qui a allumé la mèche en Libye, ce qui a semé le chaos dans cette région et au Sahel. Sarkozy doit être jugé pour ce crime contre l’humanité.
    Lire la suite depuis la source

    Tags : Maroc, Algérie, Sahara Occidental, Front Polisario, Sarkozy, Libye, terrorisme, Afrique,

  • Financement de Kadhafi : Rebondissement dans le camp Sarkozy

    Soupçonné d’avoir touché des fonds provenant du régime libyen de Mouammar Kadhafi, pour alimenter la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy, Thierry Gaubert, un proche collaborateur de l’exprésident français a été mis en examen vendredi, pour « association de malfaiteurs ».

    Pour « association de malfaiteurs », l’ancien collaborateur de Nicolas Sarkozy, Thierry Gaubert, a été mis en examen vendredi 31 janvier, dans l’enquête sur des soupçons de financement de la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy par feu Mouammar Kadhafi, apprend-t-on.

    Thierry Gaubert, 68 ans est soupçonné d’avoir touché des fonds provenant du régime libyen de Mouammar Kadhafi, qui auraient pu alimenter la campagne de Nicolas Sarkozy. Le virement aurait été fait par une société appartenant à Ziad Takieddine qui ne serait rien d’autre qu’un intermédiaire entre les ex-alliés.

    Les juges enquêtent depuis avril 2013 sur la rude affaire Sarkozy formulée par des ex-dignitaires libyens. Dans cette affaire, Nicolas Sarkozy a été mis en examen le 21 mars 2018 pour « corruption passive », « financement illégal de campagne électorale » et « recel de fonds publics libyens ».

    Ce noir chapitre de Sarkozy n’est visiblement pas encore achevé. L’ex-secrétaire général de l’Elysée, Claude Guéant et Eric Woerth, l’ancien trésorier de la campagne ont également été mis en examen.

    La cour d’appel de Paris, saisie par Nicolas Sarkozy, doit examiner en mars sa requête d’annulation de sa mise en examen.

    La Tribune des lecteurs, 7 fév 2020

    Tags : France, Sarkozy, Kadhafi, Libye, financement illicite,

  • La Libye, éternelle épine dans le pied de l’Algérie

    Par Naoufel Brahimi El Mili

    Selon les relevés topographiques, 982 kilomètres séparent l’Algérie de la Libye. Les distances idéologiques entre les deux pays, malgré les rencontres et embrassades répétées entre les différents chefs de l’Etat, sont encore plus importantes. Côté Tripoli, un seul Président, Muammar Kadhafi, de septembre 1969 jusqu’au « printemps arabe ». Côté Alger, la liste des Présidents est plus longue.

    Déjà lors de la crise frontalière entre l’Égypte et la Libye, Anouar El-Sadat voulait en finir avec le Guide qu’il surnommait « le fou de Tripoli ». En juillet 1977, les troupes libyennes avaient agressé l’armée égyptienne. La riposte du Caire était implacable. Houari Boumediène s’était rendu à la capitale égyptienne pour obtenir un cessez-le-feu. Ingrat et imprévisible, le Guide signe en 1984 le traité d’Oujda avec le roi Hassan II pour créer une union entre la Jamahirya et le royaume marocain. Une union contre nature mais surtout inamicale à l’égard de l’Algérie.

    A la fin des années 1980, ce même Kadhafi avait mis à la disposition du Front islamique du Salut (FIS) la base historique de l’ALN, octroyée par le roi Idriss lors de la guerre de Libération, comme un camp d’entraînement pour les islamistes. Les exemples d’hostilités libyennes vis-à-vis d’Alger sont trop nombreux pour être toutes recensées. Alors que le pouvoir algérien reste mesuré et ne se préoccupe que de ses intérêts régionaux.

    De son côté, le turbulent colonel Kadhafi s’adonne sans cesse au terrorisme antioccidental. Il est la cible de tout l’Occident. Même l’Algérie était sollicitée par François Mitterrand pour mettre un terme à la présidence de Kadhafi. Poli à l’égard de la France, Chadli Bendjedid promet d’étudier la question. Dans un premier temps, il s’y attache. Ainsi, le commandant « Toufik », Mohamed Mediène de son vrai nom, est envoyé à Tripoli au milieu des années 80, pour approfondir la question. Sous couverture d’attaché militaire, il évalue la situation par des contacts, des échanges. Quelques mois plus tard, il retourne à Alger avec un rapport détaillé et dont la conclusion se résume en une phrase : « Si Kadhafi est destitué, ça sera le chaos en Libye .» Mais pour l’Algérie, le Guide est mis sous surveillance.

    C’est dans ce lourd et ancien contexte que le nouveau pouvoir algérien doit reprendre la main pour éviter un incontrôlable embrasement régional.
    Inactif depuis huit longues années, le Haut Conseil de sécurité se réunit, à la fin décembre 2019, sous la présidence d’Abdelmadjid Tebboune pour évoquer les menaces sécuritaires venant de la Libye et du Sahel. Le nouveau Président connaît très vite son baptême du feu. Il s’y attendait. N’avait-il pas dit dans son discours d’investiture que rien ne se fera sans l’Algérie dans la région ?

    A Ankara, le Président turc Erdogan pense peser sur l’avenir de la région. Sur un ton guerrier, il annonce que son pays va s’engager militairement en Libye à la demande du gouvernement de Fayez El Sarraj, à Tripoli. Ce gouvernement était reconnu, suite au Sommet de Skhiret au Maroc en décembre 2015, sous l’égide de l’ONU. Seulement, les velléités guerrières turques ne répondent pas à un agenda onusien mais à une hégémonie de nature ottomane. Il est vrai que le gouvernement légitime est menacé par les soldats et miliciens du maréchal autoproclamé Haftar. Un retour en arrière est nécessaire tant pour comprendre ce chef de guerre belliqueux que les relations algéro-libyennes rarement sereines.

    Khalifa Haftar, issu de la même génération et même région, Syrte, que Muammar Kadhafi. Ils se rencontrent à l’Académie militaire royale de Benghazi en 1963. En toute logique, le jeune officier Haftar participe en septembre 1969 au renversement du roi Idriss. Une dizaine d’années plus tard, il est envoyé par le Guide à l’école de l’état-major soviétique pour suivre une formation. De retour au pays, promu au grade de colonel, il est propulsé chef de corps du corps expéditionnaire libyen, engagé dans le conflit franco-tchadien sur la bande d’Aouzou en 1987.

    La déroute des troupes libyennes fait de lui un prisonnier de l’armée française parmi des milliers d’autres. Les militaires français font le tri parmi ces détenus politiques. Hafftar et quelques dizaines d’officiers libyens se jettent dans les bras des services secrets français. Ce colonel proche de Kadhafi et formé dans une école de guerre soviétique est très vite repéré par la CIA qui installe un camp d’entraînement au Tchad.

    Une fois la crise politique résolue, plusieurs mois plus tard, Hafftar avec d’autres compagnons d’armes sont exfiltrés de Libye vers Atlanta, aux Etats-Unis. Il reste sur le territoire américain une vingtaine d’années dans l’Etat de Virginie, non loin du siège de la CIA. Pour les Américains, ce colonel est une belle prise de guerre très vite transformée en agent dormant. L’espion est réveillé et réactivé lors de la normalisation des relations de la Libye avec l’Occident. Dès 2009, Kadhafi, sous pressions américaines, autorise le colonel renégat à rentrer au pays, il lui offre même une ferme dans l’est du pays. Prudent, Haftar s’installe en Égypte, autre pays sous férule américaine. Il attend son heure et les instructions américaines.

    Pourtant, le grand récit du printemps arabe était attrayant. Des peuples qui se révoltent contre d’inqualifiables despotes et qui aspirent à la démocratie, c’est beau ! Trop beau. Ces révolutions filmées par les caméras de la chaîne qatarie Al-Jazeera et romancées par des démocrates en herbe mais qui occultent la grande part de manipulations et coups tordus. La Libye s’insurge à son tour, plus précisément Benghazi. Cette ville connaît un soulèvement armé. Des manifestants sortent par milliers avec des drapeaux du temps du roi Idriss. Une révolution qui n’a rien de spontanée. Ce soulèvement est largement impulsé par l’étranger. Selon le plan préétabli depuis longtemps, Haftar retourne en Libye comme un des seigneurs de la guerre, sauf que lui, il dispose de soutiens américains et français.

    La situation en Libye est un contrecoup du printemps arabe, provoqué ensuite et salué par l’Occident et ses sous-traitants qataris. La menace d’un nouveau sous-traitant local, connu sous le nom de Haftar, est réelle. Peu à peu, avec le chaos généralisé en Libye, il devient pratiquement le seul chef de guerre, les autres officiers supérieurs libyens sont soit curieusement assassinés soit très vite marginalisés. Il reste un détail à régler : éliminer Kadhafi et récupérer un maximum d’archives sensibles. La France s’y emploie.

    Soudain, les services secrets de la région sont alertés par la présence d’un convoi qui se dirige vers la frontière algérienne. Une partie de la famille du Guide s’y trouve, sa première épouse et sa fille Aïcha, entre autres. Plus importants, des documents aussi, sans oublier or, argent et armes.L’aviation française a pour mission de stopper au plus vite cette avancée vers la liberté. Des troupes libyennes sous contrôle de l’OTAN sont à leur poursuite. L’armée de l’air algérienne est aussi alertée, elle a pour ordre de sécuriser le passage de ce convoi, de tous les enjeux vers l’Algérie.

    Après quelques roquettes air-sol lancées par les pilotes de chasse français, non pas pour pulvériser le convoi, les documents doivent être récupérés, les avions militaires algériens affichent leur détermination d’engager le combat pour remplir leur mission. Les avions français, devant une incertaine escalade, retournent à leur base. Le convoi entre dans le territoire algérien. Depuis, pour la France, sur le dossier libyen, les Algériens ne sont pas vraiment des amis. Heureusement qu’il leur reste Haftar et d’autres.

    En mai 2014, à la tête d’une force militaire autoproclamée « Armée nationale libyenne » le non moins autoproclamé général Haftar engage une offensive militaire déclenchée en Libye contre les islamistes radicaux. Il n’en faut pas moins pour que les aides militaires occidentales affluent massivement ainsi que les ralliements des Libyens de l’Est, région dont Haftar est originaire. Il devient dès lors le principal acteur militaire donc politique dans un pays où les armes ont force de loi. La donne politique change radicalement en Libye au moment où la classe politique algérienne célèbre le quatrième mandat de Bouteflika. Plus d’une année plus tard, l’Occident avec la France en tête impose une conférence sur la Libye à Skhirat au Maroc le 17 décembre 2015. Il en ressort un accord sous l’égide de l’ONU qui fait émerger un Gouvernement d’union nationale présidé par Fayez el-Sarraj et qui doit siéger à Tripoli. Mais rien n’est réglé sur le terrain.

    Devenu maréchal, Haftar s’attaque à un gouvernement libyen reconnu par l’ONU mais son offensive sur Tripoli, essentiellement aérienne, est soutenue notamment par la France, membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU. Un paradoxe? Non, une simple continuité d’une politique de déstabilisation. La Turquie, membre de l’Otan, entame une logique de guerre à nos frontières.

    Depuis le 12 décembre 2019, l’Algérie a réglé sa crise du régime, elle récupère sa centralité sur l’échiquier politique régional. S’ensuivent des réunions au sommet, Moscou et ensuite Berlin. Des visites de haut niveau à Alger, Turquie et Tunisie. Et le déplacement du ministre des Affaires étrangères algérien en Libye, il rencontre Haftar. La crise libyenne est loin d’être résolue, des armes continuent de se déverser dans ce pays ainsi que des forces étrangères. Désormais, rien ne se fera sans l’Algérie pour qui la Libye, même affranchie des frasques de Kadhafi, reste une épine dans le pied.

    N. B. E. M.

    Le Soir d’Algérie, 9 fév 2020

    Tags : Algérie, Libye, Kadhafi, France, Sarkozy, Haftar,

  • Sarkozy y la maldición de Gadafi

    Además de embustero, el ex-presidente francés Nicolas Sarkozy, también es soñador. La idea de volver, con música y tambores, a la política nunca abandonó su corrupto pequeño cerebro. Un sueño que quizás habría realizado si no tuviera un expediente tan « pesado » en asuntos criminales.

    En efecto, el íntimo amigo del Rey de Marruecos Mohammed VI, Dios los crea y ellos hacen todo para encontrarse, va a ser juzgado por cargos de « corrupción » y « tráfico de influencias » después de que el Tribunal Supremo haya rechazado su última apelación.

    Sarkozy, su abogado Thierry Herzog y el ex juez Gilbert Azibert enfrentan cargos derivados de las acusaciones de que Sarkozy aceptó pagos ilícitos de la heredera de L’Oréal, Liliane Bettencourt, durante su exitosa campaña presidencial de 2007.

    Los fiscales sospechan que Sarkozy y Herzog estaban buscando información sobre los desarrollos en esa investigación y reclamación, y Sarkozy le ofreció a Azibert un trabajo prestigioso en Mónaco a cambio de una actualización sobre el desarrollo de la investigación.

    La prensa internacional también se ha hecho eco de otro escándalo en el que figura el nombre del ilustre criminal galo.

    Fuentes judiciales confirmaron que el expresidente de la UEFA, Michel Platini fue detenido este martes en Nanterre, Francia  por supuesta corrupción en la concesión del Mundial Qatar 2022

    De acuerdo con El País, también fue detenida una antigua consejera del expresidente francés Nicolas Sarkozy, Sophie Dion, mientras que el exsecretario general del Palacio del Elíseo, Claude Guéant prestó declaración bajo el estatus de “sospechoso libre”.

    En 2016, la Fiscalía Nacional Financiera abrió unainvestigación por supuesta corrupción en la atribución del Mundial 2022 a Qatar, por la que el propio Platini ya declaró como testigo en diciembre de 2017.

    La investigación se centra en la reunión que mantuvieron en noviembre de 2010 las autoridades cataríes con Sarkozy y Platini en el Palacio del Elíseo, a la que también asistieron Guéant y Dion.

    Platini, que dirigió la UEFA de 2007 a 2015, cumple una inhabilitación de cuatro años, la cual expira en octubre, por violar el código ético de la organización al aceptar en 2011 un cobro, autorizado por el entonces presidente de la FIFA, Joseph Blatter, de cerca de 1.8 millones de euros por trabajos hechos entre 1998 y 2002.

    Tags : Francia, Sarkozy, Platini, corrupción, Libia, campaña electoral, financiación ilícita,

  • Cette drôle de campagne européenne

    Il y a 34 listes en France, ça donne le tournis. Ces derniers jours, les panneaux électoraux ont été installés le long des futurs bureaux de vote.

    Bizarrement, les odieux propagandistes du mythe du « Grand Remplacement » ont eu le droit à leur liste, incarné par Renaud Camus.

    Sans surprise, LREM refait son chantage au FN malgré ses prises de positions factuellement xénophobes à l’encontre des migrants.

    Bizarrement, la droite tient sa place autour de Bellamy, le jeune bourgeois ultra-conservateur auquel même Estrosi a fini par se rallier.

    Sans surprise, à gauche, chacun y va de ses petites piques contre ses plus proches voisins. A ce petit jeu là, les candidats insoumis sont plus économes ou avares en vacheries. Manon Aubry suit son chemin, merci à elle.

    Bizarrement, l’UDI fait chambre à part (qui ça ?).

    Sans surprise, les médias ont peu parlé d’Europe; LREM a peu parlé d’Europe et caché son programme. le RN a braillé contre l’Europe mais caché son effroyable et inefficace bilan.

    Bizarrement, EELV fait des clins d’oeil à l’électorat macroniste (« écologie pragmatique », « rapprochement des régimes des fonctionnaires et du privé ») et les macronistes font des clins d’oeil appuyés aux sympathisants écolos en verdissant leur discours. Et Le PS moribonds veut chiper la place de EELV, mais ses alliés européens voudraient adhérer au même groupe que les macronistes (vous avez compris ?).

    Sans surprise, la campagne insoumise a été calme, argumentée avec un programme plus détaillée et dévoilée plus tôt que les autres principaux partis. Mais parlez de programme en pleine campagne… qui donc s’en soucie ?

    Source : Les coulisses de Juan, 16 mai 2019

    Tags : France, élections européennes, Sarkozy, Macron, LREM, EELV, PS, UDI, FN, gauche, droite,