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  • Comment fut inventé le peuple juif

    Les Juifs forment-ils un peuple ? A cette question ancienne, un historien israélien apporte une réponse nouvelle. Contrairement à l’idée reçue, la diaspora ne naquit pas de l’expulsion des Hébreux de Palestine, mais de conversions successives en Afrique du Nord, en Europe du Sud et au Proche-Orient. Voilà qui ébranle un des fondements de la pensée sioniste, celui qui voudrait que les Juifs soient les descendants du royaume de David et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars.

    par Shlomo Sand

    Tout Israélien sait, sans l’ombre d’un doute, que le peuple juif existe depuis qu’il a reçu la Torah (1) dans le Sinaï, et qu’il en est le descendant direct et exclusif. Chacun se persuade que ce peuple, sorti d’Egypte, s’est fixé sur la « terre promise », où fut édifié le glorieux royaume de David et de Salomon, partagé ensuite en royaumes de Juda et d’Israël. De même, nul n’ignore qu’il a connu l’exil à deux reprises : après la destruction du premier temple, au VIe siècle avant J.-C., puis à la suite de celle du second temple, en l’an 70 après J.C.

    S’ensuivit pour lui une errance de près de deux mille ans : ses tribulations le menèrent au Yémen, au Maroc, en Espagne, en Allemagne, en Pologne et jusqu’au fin fond de la Russie, mais il parvint toujours à préserver les liens du sang entre ses communautés éloignées. Ainsi, son unicité ne fut pas altérée. A la fin du XIXe siècle, les conditions mûrirent pour son retour dans l’antique patrie. Sans le génocide nazi, des millions de Juifs auraient naturellement repeuplé Eretz Israël (« la terre d’Israël ») puisqu’ils en rêvaient depuis vingt siècles.

    Vierge, la Palestine attendait que son peuple originel vienne la faire refleurir. Car elle lui appartenait, et non à cette minorité arabe, dépourvue d’histoire, arrivée là par hasard. Justes étaient donc les guerres menées par le peuple errant pour reprendre possession de sa terre ; et criminelle l’opposition violente de la population locale.

    D’où vient cette interprétation de l’histoire juive ? Elle est l’œuvre, depuis la seconde moitié du XIXe siècle, de talentueux reconstructeurs du passé, dont l’imagination fertile a inventé, sur la base de morceaux de mémoire religieuse, juive et chrétienne, un enchaînement généalogique continu pour le peuple juif. L’abondante historiographie du judaïsme comporte, certes, une pluralité d’approches. Mais les polémiques en son sein n’ont jamais remis en cause les conceptions essentialistes élaborées principalement à la fin du XIXe siècle et au début du XXe.

    Lorsque apparaissaient des découvertes susceptibles de contredire l’image du passé linéaire, elles ne bénéficiaient quasiment d’aucun écho. L’impératif national, telle une mâchoire solidement refermée, bloquait toute espèce de contradiction et de déviation par rapport au récit dominant. Les instances spécifiques de production de la connaissance sur le passé juif — les départements exclusivement consacrés à l’« histoire du peuple juif », séparés des départements d’histoire (appelée en Israël « histoire générale ») — ont largement contribué à cette curieuse hémiplégie. Même le débat, de caractère juridique, sur « qui est juif ? » n’a pas préoccupé ces historiens : pour eux, est juif tout descendant du peuple contraint à l’exil il y a deux mille ans.

    Ces chercheurs « autorisés » du passé ne participèrent pas non plus à la controverse des « nouveaux historiens », engagée à la fin des années 1980. La plupart des acteurs de ce débat public, en nombre limité, venaient d’autres disciplines ou bien d’horizons extra-universitaires : sociologues, orientalistes, linguistes, géographes, spécialistes en science politique, chercheurs en littérature, archéologues formulèrent des réflexions nouvelles sur le passé juif et sioniste. On comptait également dans leurs rangs des diplômés venus de l’étranger. Des « départements d’histoire juive » ne parvinrent, en revanche, que des échos craintifs et conservateurs, enrobés d’une rhétorique apologétique à base d’idées reçues.

    Le judaïsme, religion prosélyte
    Bref, en soixante ans, l’histoire nationale a très peu mûri, et elle n’évoluera vraisemblablement pas à brève échéance. Pourtant, les faits mis au jour par les recherches posent à tout historien honnête des questions surprenantes au premier abord, mais néanmoins fondamentales.

    La Bible peut-elle être considérée comme un livre d’histoire ? Les premiers historiens juifs modernes, comme Isaak Markus Jost ou Leopold Zunz, dans la première moitié du XIXe siècle, ne la percevaient pas ainsi : à leurs yeux, l’Ancien Testament se présentait comme un livre de théologie constitutif des communautés religieuses juives après la destruction du premier temple. Il a fallu attendre la seconde moitié du même siècle pour trouver des historiens, en premier lieu Heinrich Graetz, porteurs d’une vision « nationale » de la Bible : ils ont transformé le départ d’Abraham pour Canaan, la sortie d’Egypte ou encore le royaume unifié de David et Salomon en récits d’un passé authentiquement national. Les historiens sionistes n’ont cessé, depuis, de réitérer ces « vérités bibliques », devenues nourriture quotidienne de l’éducation nationale.

    Mais voilà qu’au cours des années 1980 la terre tremble, ébranlant ces mythes fondateurs. Les découvertes de la « nouvelle archéologie » contredisent la possibilité d’un grand exode au XIIIe siècle avant notre ère. De même, Moïse n’a pas pu faire sortir les Hébreux d’Egypte et les conduire vers la « terre promise » pour la bonne raison qu’à l’époque celle-ci… était aux mains des Egyptiens. On ne trouve d’ailleurs aucune trace d’une révolte d’esclaves dans l’empire des pharaons, ni d’une conquête rapide du pays de Canaan par un élément étranger.

    Il n’existe pas non plus de signe ou de souvenir du somptueux royaume de David et de Salomon. Les découvertes de la décennie écoulée montrent l’existence, à l’époque, de deux petits royaumes : Israël, le plus puissant, et Juda, la future Judée. Les habitants de cette dernière ne subirent pas non plus d’exil au VIe siècle avant notre ère : seules ses élites politiques et intellectuelles durent s’installer à Babylone. De cette rencontre décisive avec les cultes perses naîtra le monothéisme juif.

    L’exil de l’an 70 de notre ère a-t-il, lui, effectivement eu lieu ? Paradoxalement, cet « événement fondateur » dans l’histoire des Juifs, d’où la diaspora tire son origine, n’a pas donné lieu au moindre ouvrage de recherche. Et pour une raison bien prosaïque : les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple.

    Une partie d’entre eux se convertit au christianisme au IVe siècle, tandis que la grande majorité se rallia à l’islam lors de la conquête arabe au VIIe siècle. La plupart des penseurs sionistes n’en ignoraient rien : ainsi, Yitzhak Ben Zvi, futur président de l’Etat d’Israël, tout comme David Ben Gourion, fondateur de l’Etat, l’ont-ils écrit jusqu’en 1929, année de la grande révolte palestinienne. Tous deux mentionnent à plusieurs reprises le fait que les paysans de Palestine sont les descendants des habitants de l’antique Judée (2).

    A défaut d’un exil depuis la Palestine romanisée, d’où viennent les nombreux Juifs qui peuplent le pourtour de la Méditerranée dès l’Antiquité ? Derrière le rideau de l’historiographie nationale se cache une étonnante réalité historique. De la révolte des Maccabées, au IIe siècle avant notre ère, à la révolte de Bar-Kokhba, au IIe siècle après J.-C, le judaïsme fut la première religion prosélyte. Les Asmonéens avaient déjà converti de force les Iduméens du sud de la Judée et les Ituréens de Galilée, annexés au « peuple d’Israël ». Partant de ce royaume judéo-hellénique, le judaïsme essaima dans tout le Proche-Orient et sur le pourtour méditerranéen. Au premier siècle de notre ère apparut, dans l’actuel Kurdistan, le royaume juif d’Adiabène, qui ne sera pas le dernier royaume à se « judaïser » : d’autres en feront autant par la suite.

    Les écrits de Flavius Josèphe ne constituent pas le seul témoignage de l’ardeur prosélyte des Juifs. D’Horace à Sénèque, de Juvénal à Tacite, bien des écrivains latins en expriment la crainte. La Mishna et le Talmud (3) autorisent cette pratique de la conversion — même si, face à la pression montante du christianisme, les sages de la tradition talmudique exprimeront des réserves à son sujet.

    La victoire de la religion de Jésus, au début du IVe siècle, ne met pas fin à l’expansion du judaïsme, mais elle repousse le prosélytisme juif aux marges du monde culturel chrétien. Au Ve siècle apparaît ainsi, à l’emplacement de l’actuel Yémen, un royaume juif vigoureux du nom de Himyar, dont les descendants conserveront leur foi après la victoire de l’islam et jusqu’aux temps modernes. De même, les chroniqueurs arabes nous apprennent l’existence, au VIIe siècle, de tribus berbères judaïsées : face à la poussée arabe, qui atteint l’Afrique du Nord à la fin de ce même siècle, apparaît la figure légendaire de la reine juive Dihya el-Kahina, qui tenta de l’enrayer. Des Berbères judaïsés vont prendre part à la conquête de la péninsule Ibérique, et y poser les fondements de la symbiose particulière entre juifs et musulmans, caractéristique de la culture hispano-arabe.

    La conversion de masse la plus significative survient entre la mer Noire et la mer Caspienne : elle concerne l’immense royaume khazar, au VIIIe siècle. L’expansion du judaïsme, du Caucase à l’Ukraine actuelle, engendre de multiples communautés, que les invasions mongoles du XIIIe siècle refoulent en nombre vers l’est de l’Europe. Là, avec les Juifs venus des régions slaves du Sud et des actuels territoires allemands, elles poseront les bases de la grande culture yiddish (4).

    Ces récits des origines plurielles des Juifs figurent, de façon plus ou moins hésitante, dans l’historiographie sioniste jusque vers les années 1960 ; ils sont ensuite progressivement marginalisés avant de disparaître de la mémoire publique en Israël. Les conquérants de la cité de David, en 1967, se devaient d’être les descendants directs de son royaume mythique et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars. Les Juifs font alors figure d’« ethnos » spécifique qui, après deux mille ans d’exil et d’errance, a fini par revenir à Jérusalem, sa capitale.

    Les tenants de ce récit linéaire et indivisible ne mobilisent pas uniquement l’enseignement de l’histoire : ils convoquent également la biologie. Depuis les années 1970, en Israël, une succession de recherches « scientifiques » s’efforce de démontrer, par tous les moyens, la proximité génétique des Juifs du monde entier. La « recherche sur les origines des populations » représente désormais un champ légitimé et populaire de la biologie moléculaire, tandis que le chromosome Y mâle s’est offert une place d’honneur aux côtés d’une Clio juive (5) dans une quête effrénée de l’unicité d’origine du « peuple élu ».

    Cette conception historique constitue la base de la politique identitaire de l’Etat d’Israël, et c’est bien là que le bât blesse ! Elle donne en effet lieu à une définition essentialiste et ethnocentriste du judaïsme, alimentant une ségrégation qui maintient à l’écart les Juifs des non-Juifs — Arabes comme immigrants russes ou travailleurs immigrés.

    Israël, soixante ans après sa fondation, refuse de se concevoir comme une république existant pour ses citoyens. Près d’un quart d’entre eux ne sont pas considérés comme des Juifs et, selon l’esprit de ses lois, cet Etat n’est pas le leur. En revanche, Israël se présente toujours comme l’Etat des Juifs du monde entier, même s’il ne s’agit plus de réfugiés persécutés, mais de citoyens de plein droit vivant en pleine égalité dans les pays où ils résident. Autrement dit, une ethnocratie sans frontières justifie la sévère discrimination qu’elle pratique à l’encontre d’une partie de ses citoyens en invoquant le mythe de la nation éternelle, reconstituée pour se rassembler sur la « terre de ses ancêtres ».

    Ecrire une histoire juive nouvelle, par-delà le prisme sioniste, n’est donc pas chose aisée. La lumière qui s’y brise se transforme en couleurs ethnocentristes appuyées. Or les Juifs ont toujours formé des communautés religieuses constituées, le plus souvent par conversion, dans diverses régions du monde : elles ne représentent donc pas un « ethnos » porteur d’une même origine unique et qui se serait déplacé au fil d’une errance de vingt siècles.

    Le développement de toute historiographie comme, plus généralement, le processus de la modernité passent un temps, on le sait, par l’invention de la nation. Celle-ci occupa des millions d’êtres humains au XIXe siècle et durant une partie du XXe. La fin de ce dernier a vu ces rêves commencer à se briser. Des chercheurs, en nombre croissant, analysent, dissèquent et déconstruisent les grands récits nationaux, et notamment les mythes de l’origine commune chers aux chroniques du passé. Les cauchemars identitaires d’hier feront place, demain, à d’autres rêves d’identité. A l’instar de toute personnalité faite d’identités fluides et variées, l’histoire est, elle aussi, une identité en mouvement.

    Shlomo Sand

    Historien, professeur à l’université de Tel-Aviv, auteur de Comment le peuple juif fut inventé, à paraître chez Fayard en septembre.

    (1) Texte fondateur du judaïsme, la Torah — la racine hébraïque yara signifie enseigner — se compose des cinq premiers livres de la Bible, ou Pentateuque : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome.

    (2) Cf. David Ben Gourion et Yitzhak Ben Zvi, « Eretz Israël » dans le passé et dans le présent (1918, en yiddish), Jérusalem, 1980 (en hébreu) et Ben Zvi, Notre population dans le pays (en hébreu), Varsovie, Comité exécutif de l’Union de la jeunesse et Fonds national juif, 1929.

    (3) La Mishna, considérée comme le premier ouvrage de littérature rabbinique, a été achevée au IIe siècle de notre ère. Le Talmud synthétise l’ensemble des débats rabbiniques concernant la loi, les coutumes et l’histoire des Juifs. Il y a deux Talmud : celui de Palestine, écrit entre le IIIe et le Ve siècle, et celui de Babylone, achevé à la fin du Ve siècle.

    (4) Parlé par les Juifs d’Europe orientale, le yiddish est une langue slavo-allemande comprenant des mots issus de l’hébreu.

    (5) Dans la mythologie grecque, Clio était la muse de l’Histoire.

    Source : Le Monde Diplomatique, août 2008

    Tags : Israël, juif, peuple juif, Talmud, Palestine,

  • A propos de Tsahal et du sionisme

    Il a été établi maintenant,malgré la propagande mensongère des tenants de cette idéologie, que le sionisme est d’essence homophobe et raciste au même titre que le nazisme duquel il s’inspire.

    Le Dr Hajo Meyer, rescapé d’Auschwitz, avait dit d’appeler les sionistes comme ils sont : des criminels nazis(1).

    Même appréciation d’Albert Einstein (2).

    La manière dont les sionistes traitent les Palestiniens n’ont rien à envier aux méthodes nazies.

    Pour comprendre l’état d’esprit des mercenaires criminels sionistes appelés sous le vocable « Tsahal(3),il faut jeter un coup d’œil sur leur livret de chevet : « la Torah des rois »(Torath Hamelekh) dans laquelle il est dit de tuer les non-juifs,bébés compris !(4)

    Rédigé par les rabbins Dov Lior et Yaakov Yossef, ce traité de théologie légitime l’exécution d’innocents non juifs en cas de guerre, y compris des enfants comme le montrent ces versets de la torah:

    Rouleau de la Torah complet (capture d’écran)

    Nombre 33.51 à 55 :

    51.Parle aux fils d’Israël et dis-leur : Lorsque, ayant passé le Jourdain, vous serez entrés dans le pays de Canaan,

    52.Vous déposséderez tous les habitants du pays devant vous, et vous détruirez toutes leurs pierres sculptées, et vous détruirez toutes leurs images de métal, et vous dévasterez tous leurs hauts-lieux,

    53.Et vous prendrez possession du pays et vous vous y établirez ; car je vous ai donné le pays, pour le posséder.

    54.Et vous partagerez le pays par le sort, selon vos familles : à ceux qui sont en plus grand nombre, vous donnerez un héritage plus grand, et à ceux qui sont en plus petit nombre, vous donnerez un héritage plus petit. À chacun appartiendra ce que le sort lui assignera ; vous tirerez au sort selon vos tribus patriarcales.

    55.Et si vous ne dépossédez pas devant vous les habitants du pays, ceux d’entre eux que vous épargnerez seront comme des épines dans vos yeux et comme des aiguillons dans vos flancs, et ils vous traiteront en ennemis dans le pays que vous habiterez.

    D’autres versets du Talmud

    ( interprétation de la Torah) autorisent les sionistes à voler, à usurper, à tuer, à mentir, à pratiquer l’usure, etc… pourvu que ce soit à l’encontre des goyim(non-juifs) :

    Talmud, Kerithuth 6b p. 78 : Les juifs sont des humains, non les goyim, ce sont des animaux.

    Talmud Kethuboth 110b : Pour l’interprétation d’un psaume un rabbin dit : ” le psalmiste compare les goyim à des bêtes impures “.

    Talmud, Orach Chaiim 225, 10 : Les goyim et les animaux sont utilisés de manière équivalente dans une comparaison.

    Talmud, Schene Luchoth Haberith p. 250b : Bien qu’un goy ait la même apparence qu’un juif, il se comportent envers les juifs de la même manière qu’un singe envers un homme.

    Talmud, Yebamoth 98a : Tous les enfants des goyims sont des animaux.
    Talmud, Zohar II 64b : Les goyim sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes.

    Talmud, Orach Chaiim 57, 6a : Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les goyim que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins.

    Talmud, Babha Bathra 54b : La propriété d’un goy appartient au premier juif qui la réclame.

    Talmud, Babha Kama 113a : Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour tromper ou faire condamner un goy.

    Talmud, Babha Kama 113b: Le nom de Dieu n’est pas profané quand le mensonge a été fait à un goy.

    Talmud, Baba Mezia 24a: si un juif trouve un objet appartenant à un goyim, il n’est pas tenu de le lui rendre.

    Talmud, Choschen Ham 183, 7: Des juifs qui trompent un goy doivent se partager le bénéfice équitablement.

    Talmud, Abhodah Zarah 54a: L’usure peut être pratiquée sur les goyim, ou sur les apostats.

    Talmud, Choschen Ham 226, 1: Les juifs peuvent garder sans s’en inquiéter les affaires perdues par un goy.

    Talmud, Iore Dea 157, 2 hagah: Si un juif a la possibilité de tromper un goy, il peut le faire.

    Talmud – Babha Kama 113a: Les incroyants ne bénéficient pas de la loi et Dieu à mis leur argent à la disposition d’Israël.

    Talmud, Schabbouth Hag. 6d: Les juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge.

    Talmud, Abhodah Zarah 4b: Vous pouvez tuer un goy avec vos propres mains.

    Talmud, Abhodah Zarah 26b T. : Même le meilleur des goy devrait être abattu.

    Talmud, Bammidber Raba c 21 & Jalkut 772: Tout juif qui verse le sang de goyim revient à la même chose qu’une offrande à Dieu.

    Talmud, Ialkut Simoni 245c : Répandre le sang des impies est un sacrifice agréable à Dieu.

    Talmud, Pesachim 49b : Il est permis de décapiter les goyim le jour de l’expiation des péchés, même si cela tombe également un jour de sabbat. Rabbin Eliezer : “Il est permis de trancher la tête d’un idiot, un membre du peuple de la Terre (Pranaitis), c’est-à-dire un animal charnel, le jour de l’expiation des péchés et même si ce jour tombe un jour de sabbat “. Ses disciples répondirent : ” Rabbi ! Vous devriez plutôt dire “de sacrifier” un goy. ” Mais il répliqua : ” En aucune façon ! Car lors d’un sacrifice, il est nécessaire de faire une prière pour demander à Dieu de l’agréer, alors qu’il n’est pas nécessaire de prier quand tu décapites quelqu’un.”

    Talmud, Sanhedrin 57a: si un juif tue un goy, il ne sera pas condamné à mort. Ce qu’un juif vole d’un goy, il peut le garder.

    Talmud, Sanhedrin 58b : Si un goy frappe un juif, il faut le tuer, car c’est comme frapper Dieu.

    Talmud, Sepher Ou Israël 177b : Si un juif tue un goy, ce n’est pas un péché.

    Talmud, Zohar I, 25a : Les goyim doivent être exterminés car ce sont des idolâtres.

    Talmud, Sepher Ikkarim III c25: Il est permis de prendre le corps et la vie d’un goy.

    Talmud, Zohar II, 43a : L’extermination des goyim est un sacrifice agréable à Dieu.(5)(6)

    C’est la mentalité transmise par ce brûlot qui faisait dire à Ovadia Yosef, grand rabbin d’Israël : « Les Goyim sont nés seulement pour nous servir. Sans cela, ils n’ont pas de place dans le monde.»

    En fait, Tsahal est une armée de mercenaires sionistes terroristes criminels qui est composée d’organisations criminelles de triste mémoire dont la plus importante la Haganah avec l’Irgoun, le Lehi et le Stern.

    En fait, Tsahal est une armée de mercenaires sionistes terroristes criminels qui est composée d’organisations criminelles de triste mémoire dont la plus importante la Haganah avec l’Irgoun, le Lehi et le Stern.

    Parmi ces massacres, celui de Saliha (du 30 Octobre 1948 au 2 Novembre 1948 perpétré par le sinistre général Moshe Carmel) ,
    de Deir Yassin (9 avril 1948), de Lydda (juillet 1948, perpétré par le criminel Moshé Dayan) ,
    d’al-Dawayima (29 octobre 1948) , d’Abou Shousha (24 mai 1948), de Kafr Qassem (29 octobre 1956) et de Bilad Echeikh (31 décembre 1947) entre autres massacres.

    Rosemary Esber, chercheuse à l’universite de Londres et celle de Johns Hopkins, rapporte que Aryeh Yitzhaki, un historien israélien, ancien directeur des archives de Tsahal, a écrit que » dans presque chaque village conquis , les forces sionistes commirent des crimes de guerre tels que des tueries sans discrimination, des massacres et des viols. »(7)
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    En conclusion et en regard de ce qui précède,on ne verse pas dans l’antisémitisme en disant que le sionisme est un danger mondial. (8)
    Il n’y à qu’à lire les citations des élites sionistes pour le constater.(9)

    Ahmed Miloud 

    Notes

    (1) Voir article à ce sujet :
    http://mohamedlouizi.eu/2009/11/15/la-torah-des-rois/comment-page-2/

    (1) Voir article sur le Dr Hajo Meyer :
    http://www.ujfp.org/spip.php?article3482

    (2) Voir « Lettre d’Albert Einstein après le massacre de Deir Yacine » :
    http://m.alterinfo.net/Une-lettre-d-Albert-Einstein-ecrite-peu-de-temps-apres-le-massacre-de-Deir-Yacine_a39804.html

    (3) Signification de « Tsahal » :
    De l’hébreu צה״ל, Tsahal, initiales de l’hébreu צבא הגנה לישראל, Tsva Haganah Lé-Yisrael (« Armée de défense d’Israël »).
    Vous l’avez compris ? Tsahal est l’abréviation de Tsva HAGANAH Lé-Yisrael.(Wikipédia)

    (4) Torah des rois : http://mohamedlouizi.eu/2009/11/15/la-torah-des-rois/comment-page-2/

    (5) Voir plus ici : http://www.contre-info.com/talmud-un-best-of

    (6)Voir article « Qu’est-ce-que le talmud? » :
    https://www-la–croix-com.cdn.ampproject.org/v/s/www.la-croix.com/amp/309750?amp_js_v=a2&_gsa=1&usqp=mq331AQCCAE%3D#aoh=15525804716692&_ct=1552580538935&referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com&_tf=Source%C2%A0%3A%20%251%24s&share=https%3A%2F%2Fwww.la-croix.com%2FArchives%2F2008-01-05%2FQu-est-ce-que-le-Talmud-_NP_-2008-01-05-309750

    (7) Voir livre « Under the Cover of War: The Zionist Expulsion of the Palestinians,2008) by Rosemary Esber.

    (8) Voir article de Chantal Dupille :
    http://chantaldupille.over-blog.com/article-la-vraie-menace-pour-le-monde-c-est-le-sionisme-pourquoi-124273885.html

    (9) Voir article » Paroles de sionistes » :
    https://dzmewordpress.wordpress.com/2018/01/22/paroles-de-sionistes-2/

    A propos de Tsahal et du sionisme

    Tags : Talmud, Tora, Israël, sionisme, répression, Palestine, Ghaza,